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How Israel bombed London the 07th July 2005 : Blair, Brown, Straw and the israeli connection

Israel et ses agents Blair, Straw, Brown ont frappe le 7 Juillet 2005 le metro de Londres...
Reposé après une bonne nuit de sommeil à l'hôtel de Gleneagles, Tony Blair jeta nerveusement un coup d'oeil sur sa montre et se demanda si le bombardement du système de transport de Londres aurait lieu dans les délais. Le chef de la police de Londres, Sir Ian Blair, et le patron du MI5, Eliza Manningham-Buller, avaient promis de le maintenir bien informé; et Jack Straw lui avait signalé que les Israéliens avaient été calmés.

Blair entrevit son reflet dans (le miroir de) la table de toilette et vérifia son profil. Carole, son conseiller personnel au niveau de l'image, lui avait indiqué d'adoucir sa mâchoire prononcée lorsqu'il était assis à côté de Bush. "Vous exagérez le truc de Winston," lui avait-elle dit d'un ton sarcastique. "Tuer les gens, c'était hier; les Africains affamés et les forêts pluviales sont maintenant la chose d'actualité." Elle avait tort au sujet de la tuerie, naturellement. Le bon Miz Caplin ne comprendrait jamais ses rites de passage, du moins pas dans le sens des frères. Et pourtant quelque chose le tracassait toujours. Les services d'intelligence avaient été attrapés en situation de déséquilibre par l'intrusion fâcheuse du Mossad dans des sujets qu'ils considéraient être une affaire strictement britannique. Faire le gros titre "Israel avait averti Blair deux jours avant l'attaque" à sur les premières pages d'un média de presse généralement complice était une chose qui devait être évitée à tout prix. Binyamin Netanyahu continuerait les préparatifs pour sa conférence de presse et lui permettrait d'être "averti" par Scotland Yard peu de temps après la première explosion.

Si le MI5 devaient traînasser dans leurs attaques sur des banlieusards, il n'aurait pas d'autre choix que de déclarer que Scotland Yard l'avait averti avant l'événement, et le gouvernement de Blair devrait espérer que le peuple britannique ne remarquerait pas l'irrégularité évidente. De retour à Londres, Netanyahu laissa tomber le protocole de sécurité et regarda avec précaution hors de la fenêtre de l'hôtel. Réfléchissant à ses longues années d'expérience dans l'aide apportée pour financer et organiser des attaques de terreur sur les citoyens israéliens pour provoquer l'outrage du monde entier contre les habitants légitimes de son pays qui avait été volé, il savait que des erreurs seraient commises et que des fonctionnaires laisseraient leur langue fourcher quand on serait au moment le plus chaud des événements. Des articles de presse devraient être altérés à brève échéance et le volume sonore mis à pleine puissance jusqu'à ce que tout le monde n'entende rien d'autre que "Al Qaeda, Al Qaeda, Al Qaeda". Cela avait fonctionné auparavant et cela fonctionnerait encore. Le Goyim, qu'il soit Américain ou Anglais, serait une fois de plus mené par le bout du nez afin de croire la version officielle des événements. Binyamin ricana intérieurement rn ce cui concernait le titre choisi par Eliza Manningham-Buller pour son groupe de terreur factice. L'absurde "groupe secret de l'organisation Al Qaeda en Europe" lui suggérait que Manningham-Buller avait probablement passé son enfance à ne lire rien d'autre que les livres d'aventures "Famous Five" et "Secret Seven" d'Enid Blyton. Oui, c'était ça, le Secret Seven le sept juillet. Comme c'était convenable. Comme c'était cabalistique.

De toute manière, les Anglais avaient insisté pour bombarder près du lieu auquel il avait été annoncé pour donner une conférence importante, afin de donner seulement aux attaques, selon les mots d'un officier de liaison du MI6, "un véritable air d'Al Qaeda". Le bombardement de Liverpool Street soulèverait même l'hôtel dans lequel l'ancien maire de New York City, Rudy Giuliani, résidait. Le premier ministre de l'Ontario, Dalton McGuinty, se trouvait également près de l'épicentre. Le gouvernement britannique et leurs caissiers fancs-maçons dans la ville de Londres envoyaient certainement un message aux Américains et aux Canadiens: "Nous sommes de retour aux commandex du jeu de la terreur, à présent. Cette fois, la couronne britannique joue pour ses subsistances." Mais l'horloge faisait tic tac, et toujours aucun mot. "Hashem," grogna doucement Netanyahu, "délivrez-nous des ignorants Goyim et de leur lenteur d'esprit."
À 8:40 du matin, "Mad Dod" Spencer entra dans le troisième wagon d'un métro en direction des stations d'Aldgate et de Liverpool Street. Il savait qu'il aurait très peu de temps pour abandonner le paquet dans un sachet en plastique minable et pour mettre suffisamment de distance entre lui-même et les dix livres d'explosifs attachés à un temporisateur. Le traitement au latex, qui lui avait donné l'aspect facial d'un clochard, commençait à démanger. De tels dérangements n'auraient signifié rien pour lui en ces jours passés, lorsqu'il travaillait à Kaboul avec son vieil ami du MI6, Clive Newell. C'était Newell qui l' avait présenté au capital financier légendaire de la C.I.A, Osama bin Laden, alors connu par son nom de code américain, "Tim Osman". C'était en ces jours-là : lorsqu'on combattait les Soviétiques dos-à-dos avec des groupes islamiques artificiels de terreur financés par Londres, avec la grâcieuse permission de la Bank of Credit and Commerce International (banque de crédit et de commerce internationale).
Spencer se souvint de Clive adulant Osama commeétant "notre bébé", et sa rage contre les incursions sans garantie de la CIA sur le droit de la couronne britannique à utiliser la troupe de débutants d'Al Qaeda pendant qu'il voyait l'ajustement. Après tout, les Anglais avaient établi la Confrérie Musulmane occulte en Egypte pendant les années 20 dans le but exprès de détruire le nationalisme arabe pro-Américain en tant que contre-pouvoir à la règle impériale britannique continue et en tant qu'un moyen de diffamer la religion qui grandissait la plus vite au monde. L'Amérique avait payé pour son entêtement le 11 septembre 2001, bien que l'administration de Buch ait délibérément laissé la porte grande ouverte à tous les arrivants, y compris le Mossad et l'aile mercenaire du SAS britannique. Bush a obtenu ce qu'il a voulu. Maintenant c'est notre tour.
Si "J-boy" avait été télépathe, il aurait sans aucun doute partagé les pensées de Spencer. Ils étaient de vieux amis et étaient plus ou moins passés par la même chose. J-boy balaya les visages de ses compagnons banlieusards sur le train de la ligne méridionale vers Piccadilly. Ils seront tout morts dans moins de trois minutes, pensa-t-il. Cependant, tout cela concourt au bien de la reine et du pays, et Tony obtiendra ses toutes nouvelles cartes d'identité nationales. Une honte que cela ait dû être un "wet job"", mais ses nombreuses années d'expérience passées à aider l'IRA à effectuer des atrocités terroristes en Irlande du Nord et sur le continent britannique lui avaient prouvé que seule l'attitude proactive en vue de forcer une décision tenait ses promesses politiques. Les bombardements de 1974 du café de Birmingham. Oui, monsieur, c'était nous; et six Irlandais innocents étaient allés à la prison. Cela ne s'était pas arrêté là. Le bon temps pour J-boy avait seulement commencé sérieusement en travaillant pour le Gordon Kerr. En tant qu'employé pour le 14ème peloton DET de l'intelligence, J-boy avait tué des républicains et des loyalistes, changeant de côté aussi fréquemment qu'il l'était exigé à la fois par le MI5 et le SAS. Le meurtre du pensionné Francisco Notarantonio était le moment le plus agréable de J-boy parce que, contrairement aux bombardements avec un nombre élevé de victimes, cela avait exigé un niveau de tromperie inégalé dans tous les assassinats précédents du MI5 en Irlande et en Grande-Bretagne. Sir John Stevens avait finalement mit fin à l'amusement, en dépit des efforts du MI5 pour le tuer aussi. Mais malgré tout, le gouvernement de Sa Majesté avait sauvé la mise en interdisant à la presse d'indiquer tout autre nom. Ce n'est pas que la presse nécessite la censure de nos jours - les gars de la tendance traditionnelle le font eux-mêmes. C’est du gâteau.

J-boy permit au paquet de glisser d'une manière ordonnée entre ses pieds, et il le mit doucement de côté, dans le coin des places debout, devant les doubles portes du wagon. Quand le métro arriva en gare, J-boy était parti. Il disparaîtrait dans la foule et ferait une sortie expéditive avant que l'explosion réclame les vies de vingt et un "mangeurs inutiles", et laisse au moins cent survivants sans organes essentiels pour le reste de leur vie. Pendant que J-boy disparaissait dans le siège arrière d'une Astra Cabrio avant d'être conduit vers une maison sûre du MI5, Tony Blair entrait dans le hall de réception de l'hôtel de Gleneagles avec un sourire sur son visage. Il savait que les trois premières bombes avaient explosé, séparées seulement de quelques secondes. Mentalement, il parcourut rapidement les lignes qu'il avait préparées la nuit précédente. Il dirait quelque chose de Churchillien avec une allusion à l'attaque éclair du temps de guerre et au courage à toute épreuve des Londoniens. Ce serait un discours bravement provoquant. Personne ne suspecterait que les bombardements étaient son propre ouvrage. Pourtant, jusqu'à cette heure-là, il devrait jouer les sourds-muets et attendre que Jonathan Powell ou Ian Gleeson l'avertissent officiellement. Powell, il le savait, n'avait pas été mis au courant, mais il le serait suffisamment tôt une fois que John Scarlett l'aurait informé du problème.

Sir Ian Blair, le chef de la police de Londres, essaya de sembler surpris une fois qu'on l'informa des bombardements. La police des transports avait déjà, comme convenu dans les exercices antérieurs, donnés des instructions à la presse au sujet d'une panne de courant non expliquée. Le raisonnement pour une telle explication serait basé sur la soi-disant nécessité de réduire au minimum la panique et, comme corollaire utile, afin de maximiser tous les accidents potentiels aux emplacements où des bombes devaient encore exploser. Le MI5 avait, de façon tout à fait délibérée, mal informé Sir Ian sur le nombre de détonations qu'ils avaient planifiées, juste pour le maintenir sur le qui-vive. C'était la première fois qu'une opération si énormement complexe était connue des figures aînées des cadres supérieurs britanniques, de Scotland Yard et des services de l'intelligence. En fait, vu le potentiel pour une révélation accidentelle, elle était sans précédent dans sa portée et audacieuse.

Sir Ian était nerveux, et ce de façon légitime. Il avait voulu suspendre tous les services de réseau GSM, mais cela avait été rejetéé à la fois par Eliza Manningham-Buller et Tony Blair, ce dernier disant que des "l'on devrait donner aux banlieusards la chance d'enregistrer numériquement la pleine horreur des attaques". Pourtant, Sir Ian savait que les journalistes seraient curieux concernant le fait de savoir pourquoi on avait permis à ces services de continuer à fonctionner, étant donné le fait largement connu que les bombardements de Madrid avaient été provoqués par des dispositifs mobiles. Ce serait un dur appel. Bien sûr, il ne pourrait pas dire qu'il savait bien à l'avance que les temporisateurs avaient déclenché les explosifs. Il devrait simplement ESPÉRER QUE LES JOURNALISTES IGNORERAIENT CET INDICE FLAGRANT et tombent pour le mantra sur lequel leurs rédacteurs insisteraient en répétant: "Al Qaeda, Al Qaeda, Al Qaeda." Sir Ian inspira profondément et remercia tranquillement en son coeur Moloch pour avoir fait du vrai journalisme d'investigation une chose du passé.
Eliza Manningham-Buller se découvrit un pas léger. C'était la première fois qu'on lui avait permis de participer au massacre d'un grand nombre de personnes innocentes. C'était un jour splendide pour l'Angleterre. Cela signifiait qu'elle et John Scarlett regagneraient le plein contrôle d'Al Qaeda et de tous les autres groupes terroristes qui avaient déserté pour la C.I.A. après l'attaque symbolique et disciplinaire de Clinton à l'aide de missiles ballistiques sur les Talibans. Eliza avait également fait le ménage. Il n'y avait plus de David Shaylers dans les parages pour alerter les gens sur les paiements effectués à Osama. Plus de tentatives d'exposer sa protection par rapport aux terroristes entraînés et financés par les Britanniques, tels qu'Abu Qatada, un gentilhomme pro-Britannique et anti-Américain avec un savoir-vivre impeccable et un coeur dévoué à la reine. Le département K avait déjà confirmé que Spencer et J-boy étaient tous les deux en lieux sûrs et étaient en train de faire leur compte-rendu. Avec l'explosion d'Edgware Road qui avait été également un succès, Simpson ne serait pas lointain derrière. Cela laissait juste 'Aigle Vert', Lawton et Pettigrew. Blair aurait dû avoir été maintenant pleinement informé et elle prendrait seule la conférence téléphonique. Il restait le problème du faux site web d'Al Qaeda. La DNS INDIQUAIT toujours UN SERVICE D'ACCES A INTERNET DANS LE MARYLAND, EN AMÉRIQUE. L'interne israélien avait, selon un officier de devoir qui parle couramment le Farsi et l'arabe classique, fait un travail faible en ce qui concernait la grammaire et avait même mal cité les ayahs choisis dans le Coran. Le traducteur Jacob Keryakes, de MSNBC TV, disait déjà qu'Al Qaeda n'aurait jamais posté un rapport sur un site web laïc et que la déclaration de responsabilité contenait des erreurs qui constituaient de véritables cadeaux. La chose entière semblait bidon, se moqua-t-il."Ce n'est pas une chose qu'Al-Qaeda ferait," dit-il. Eliza, étant une perfectionniste et la première à rire du film "fait maison" et des productions audio de fausses revendications d'Al Qaeda qui avaient été réalisés de façon évidente par la CIA, Eliza n'était pas tout à fait faux heureuse de ce travail de qualité inférieure. La presse, cependant, serait effrayée, les bloggers sur Internet seraient écartés en tant que théoriciens conspirationnistes à la noix et le site web serait retiré dès qu'il aurait atteint son objectif. Elle pouvait seulement espérer que l'équipe ad hoc chargée de la plantation "d'indices" et de bidouiller la "preuve" légale dans les stations de métro ferait un travail bien meilleur en montant une accusation contre des extrémistes islamiques factices. Mais, ma chérie, aucun mini-fourgon complètement rempli de Corans ou de passeports arabes miraculeusement intacts ne devrait être trouvé près des explosions. Manningham-Buller rit sous cape dans sa tasse de café au manque d'aptitude grossier de l'administration Bush. Le terrorisme britannique avait toujours eu une touche de classe.

En attendant, tout l'enfer s'était déchaîné à Tel Aviv. Le ministre des affaires étrangères Silvan Shalom avait aboyé (hurlé) au téléphone à l'Ambassadeur israélien Zvi Heifetz, furieux que les Anglais n'avaient pas agi sur ses avertissements d'une attaque sur le système du métro, mais qu'ils avaient pas, à la place, oublié de communiquer que c'était un travail qui provenait de l'intérieur. Comment osaient-ils mettre en danger la vie de Netanyahu? Maintenant ils déclaraient que le ministre des finances avait été averti avant les attaques et préparaient un exercice de limitation des dégâts qui désignait le Mossad au cas où les choses iraient de travers. Shalom avait le reportage de l'Associated qui serait bientôt édité devant lui: (Jérusalem-AP) Le 7 juillet 2005 - "La police britannique a dit à l'ambassade israélienne à Londres quelques minutes avant les explosions de jeudi qu'elle avait reçu des avertissements de possibles attaques terroristes dans la ville, a dit un fonctionnaire israélien haut placé.

"Le ministre des finances israélien Benjamin Netanyahu avait projeté de participer à une conférence économique dans un hôtel au-dessus de l'arrêt de métro où l'une des explosions s'était produite, et l'avertissement l'incita à rester dans sa chambre d'hôtel à la place, ont dit des responsables du gouvernement. ... Juste avant les explosions, Scotland Yard de a appelé l'officier de la sécurité à l'ambassade israélienne pour indiquer qu'ils avaient reçu des avertissements concernant des attaques potentielles, a déclaré le responsable. Il n'a pas dit si la police britannique avait fait un lien avec la conférence économique. "Le responsable a parlé sous la condition de l'anonymat en raison de la nature de sa position."

Shalom se rendait compte des retombées radioactives politiques que ceci causerait. Les Anglais essayaient de tourner les choses à leur manière et son homologue du clan opposé, John Scarlett, refusait de prendre ses appels. Tout ceci en dépit des avertissements répétés du côté israélien depuis le 4 juillet. Oui, nous leur avions dit que cela allait se produire, et TONY BLAIR S'EST ASSIS SUR L'INFORMATION ET N'A RIEN FAIT.

Shalom savait qu'Associated Press récrirait par la suite le rapport d'actualités (et ils l'ont fait : nomorefakenews.com); aussi était-il heureux de lire ce que Stratfor avait publié: "Contrairement aux déclarations originales selon lesquelles Israël avait averti "quelques minutes avant" la première attaque, des rumeurs non confirmées dans les cercles de l'intelligence indiquent que le gouvernement israélien avait averti en réalité Londres des attaques "quelques jours" auparavant. L'Israel a apparemment donné d'autres avertissements au sujet d'attaques possibles qui se sont avérées être des opérations avortées. Le gouvernement britannique ne voulait pas perturber le sommet du G-8 à Gleneagles, en Ecosse, ni annuler les visites de dignitaries étrangers à Londres, espérant ceci serait une autre fausse alerte.
"Le gouvernement britannique s'est assis sur cette information pendant des jours et n'a pas répondu. Bien que le gouvernement israélien joue publiquement, il ne peut pas rester silencieux pour longtemps. Ceci va sûrement mettre très bientôt la pression sur Blair à cause de son échec à empêcher cette attaque terroriste majeure."

Heifetz termina sa conversation avec Shalom et jeta un coup d'oeil vers son bar à liqueurs. Si la presse fonctionne avec ceci, pensa-t-il avec regret, Blair sera exposé en tant que le meurtrier de son propre peuple. Vous pouvez tuer des Israéliens et vous en tirer. Vous pouvez tuer des Américains et ils vous feront président une seconde fois. Mais les Brits sont faits d'une substance plus sage. Ils pendront Blair au réverbère le plus élevé de Londres. On avait également dit à Heifetz que Sir Ian Blair avait refusé de couper les réseaux téléphoniques GSM. C'est une admission ouverte que Blair savait bien à l'avance que les explosions ne devaient pas être déclenchées par GSM. Heifetz siffla à l'audace de tout ceci, et se demanda si ne serait-ce qu'un journaliste curieux étudierait le problème jusqu'à sa conclusion logique. Pas une des putes de médias de la presse Murdoch, bien sûr. Ou même du journal socialiste Fabian, le Guardian. La BBC rapporterait naturellement la version approuvée par le gouvernement des événements et toutes les questions embarrassantes seraient noyées dans le cri général de vengeance et de pouvoirs accrus pour l'état-policier.

Au fur et à mesure que les rapports des explosions d'autobus frappaient les ondes hertziennes, le visage de Tony Blair animait les réponses en live. Flanqué de Chirac et Bush, Blair entra en mode Churchill et commença la manoeuvre de rotation. Essayant de paraître choqué et soucieux, mais plein de joie à l'intérieur, Blair déblatéra le discour qu'il avait préparé la nuit d'avant. Il reviendrait à Londres pour rencontrer la police et les chefs de l'intelligence, et il présiderait une opération de presse et de propagande connue sous le nom de COBRA.
"Un effort coordonné ramène lentement l'ordre hors du chaos," dir Sir Ian Blair à Skynews dans une traduction directe indicatrice de la devise "Ordo ab Chao" de la franc-maçonnerie satanique. Le peuple britannique avait été dupé, une fois de plus. Une autre guerre est sur les cartes.
Le samedi 10 juillet, un journaliste indépendant britannique avec une richesse d'expérience dans le reniflement des activités illégales du MI6 en Allemagne fit une promenade le long de la Muenchner Strasse à Francfort et se remémora la soirée chaude d'été en 1997 où un employé du MI6 brandissant un revolver avait essayé de le tuer par balles : un incident dont plusieurs passants avaient été témoin et dont le dossier était toujours en cours avec l'inspecteur Werner Dietz au quartier général central de la police de Francfort. L'attaque avait seulement renforcé la détermination de Michael James de faire retourner un politicien populaire en exil imposé vers sa patrie au Kenya et de continuer sa recherche sur le sol africain concernant l'assassinat par le MI6 de Robert Ouko, le ministre des affaires étrangères anti-Britannique du Kenya.
Le même journaliste ruminait et retournait dans sa tête un appel d'un ancien agent du MI6 qui, en 1997, l'avait averti du danger clair et actuel pour sa vie. Quoiqu'il savait déjà que Tony Blair avait été informé des attaques imminentes sur Londres, ce qu'on lui avait dit en termes de l'implication directe de Blair semblait presque trop fantastique. Que Tony Blair apprécie tuer des enfants arabes était un fait prouvé. Mais des citoyens britanniques sur le sol britannique? "Alors, racontez-le comme une histoire courte avec le canevas des événements que je vous ai fournis, mon ami," implora son confidant. "Les faits parleront d'eux-mêmes."

Et voici les faits: Tony Blair a joué un rôle exécutif direct dans les fausses attaques terroristes de Londres, tuant soixante civils innocents et en mutilant des centaines, probablement des milliers, de plus. Il a travaillé en collaboration étroite avec son homonyme et camarade occultiste, Sir Ian Blair, et avec la tête du MI5, Eliza Manningham-Buller. Jack Straw, le ministre des affaires étrangères, a été également maintenu au courant des événements amenant aux atrocités.
La première nouvelle à avoir exposé les faits et qui pendra sûrement Tony Blair est venue sous forme de reportages effectués par l'Associated Press et les spécialistes de l'intelligence de Stratfor selon lesquels les Israéliens avaient à plusieurs reprises averti le gouvernement britannique depuis le 4 juillet, et selon lesquels Blair avait choisi d'ignorer à la fois Shalom et Heifetz. Les rapports de l'Associated Press, qui ont été rapidement retirés de la vue du public, ont été récupérés depuis le cache de Google et sont sur à l'affiche sur nomorefakenews.com, parmi beaucoup d'autres sites web.

La seconde nouvelle est représentée par une gaffe importante dans la planification et la réponse, à savoir la décision de Sir Ian Blair de ne pas couper les réseaux téléphoniques des GSM. Cette décision était entièrement basée sur sa connaissance anticipée selon laquelle les explosifs n'exploseraient pas à l'aide de GSM, comme cela fut le cas pour les événements également soupçonneux qui avaient frappé Madrid le 3 mars 2004, et son report quant au désir de Tony Blair pour des images graphiques du carnage.

Une troisième nouvelle qui a dénoncé les faits se situe dans le fait que MI5 a fait un certain nombre d'erreurs flagrantes et très significatives dans sa présentation du site web de "Al Qaeda", permettant même de remonter à une simple trace de système de nom de domaine (DNS) vers un serveur aux Etats-Unis.

Une autre anomalie peut émerger dans le fait que les auteurs du délit semblent avoir échappé d'une façon ou d'une autre au fait d'être filmé par le vaste réseau de Londres de caméras CCTV - un exploit remarquable quand on pense que le Londonien moyen Londoner est pris sur caméra trois cents fois par jour, et certainement davantage de preuves que ces opérations ont été effectuées par des gens de l'intérieur sophistiqués. Sans aucun doute, un certain nombre d'hommes arabes seront arrêtés dans les jours qui viennent et interrogés par la police jusqu'à ce que des charges puissent être rendues crédibles (contre certains d'entre eux).

Lorsque Tony Blair a dit à la presse que les bombardements portaient tous les cachets spécifiques d'Al Qaeda, il a rompu avec la tradition et a dit réellement la vérité. Le réseau d'Al Qaeda de tomber-type est l'enfant hybride des services d'intelligence britanniques et de l'école de terreur de la franc-maçonnerie, de la confrérie musulmane occulte. Le MI5, le MI6 et Al Qaeda sont pratiquement indistinguibles. Oui, M. Blair, les bombardements portaient tous les cachets du MI5 - et vous le savez, précisément parce que c'était vous qui aviez autorisé les attaques.

Ce n'est pas la première fois que le MI5 a été en activité dans des actes perpétrant de la terreur contre le peuple britannique. Les expositions récentes ont prouvé que la plupart des bombardements effectués par l'armée républicaine irlandaise (IRA) pendant sa longue campagne contre l'occupation britannique illégale de l'Irlande du Nord ont été, en fait, provoquées, instiguées et exécutées par des agents MI5 travaillant en secret et posant comme des patriotes irlandais. Ce modèle de subterfuge et de tromperie en vue de créer la terreur pour manipuler les perceptions du public a été une spécialité des gouvernements américains et britanniques pendant la plus grande partie des cinquante dernières années. Les chercheurs diligents et les vrais journalistes qui ne sont pas dupés par la propagande du gouvernement et les médias traditionnels, savent déjà que la C.I.A, le MI5 et le MI6 financèrent Al Qaeda pendant son apogée en tant qu'organisateur principal contre l'occupation soviétique de l'Afghanistan. Ils savent également qu'Osama bin Laden était, et est encore probablement, sur le livre de paie de la C.I.A, travaillant sous le nom de "Tim Osman". Les rapports d'affaires entre la famille Bush d'humeur changeante et sinistre et les bin Ladens sont bien connus. Tous ces faits peuvent être à présent vérifiés sur registre public, grâce aux efforts de journalistes indépendants et de militants de la vérité. Moins bien connu est le rôle intégral joué par les services de l'intelligence britanniques (à la fois le MI5 et le MI6) en créant, en orientant et en finançant le réseau terroriste, et également en protégeant les employés principaux de l'exposition publique et de l'arrestation.

Blair a obtenu les résultats qu'il voulait: l'effondrement de toute la résistance à l'introduction imminente des cartes d'identité nationales, l'attisement de la fureur publique contre l'Islam en vue d'une attaque sur l'Iran et la Syrie, et une distraction de l'illégalité continue la guerre en Irak et des problèmes qui menacent d'accabler son administration, tel que le Downing Street memo, qui démontre la fraude et la trahison aux niveaux les plus élevés de l'état.

Tony Blair a une autre ambition qui demeure non atteinte. Il a déclaré qu'il souhaite devenir le premier président d'un super état européen, un projet récemment mishors des rails par le rejet étourdissant français et néerlandais de la constitution européenne proposée. Il souhaite également, en sa qualité de nouveau prince de l'Europe, de remodeler l'entité européenne en tant que base pro UK-US-Israélienne pour l'expansion impériale au Moyen-Orient et en Asie centrale; et il souhaite estampiller cette initiative avec l'imprimatur de la couronne britannique, forçant les Etats-Unis à jouer un rôle de junior dans un nouvel ordre mondial façonné par les banquiers internationaux dans la ville de Londres.

C'est pourquoi les attaques sur Londres et les prochaines attaques sur la France et l'Allemagne sont également conçues pour ressusciter le projet européen ayant échoué comme réponse aux exigences de sécurité accrue et de surveillance et de négation continue des libertés civiles - des exigences qui seront à présent entendues et amplifiées dans toute l'Union Européenne par des citoyens effrayés et crédules.

J'étais le premier, longtemps avant Harold Pinter, à réclamer publiquement l'arrestation et exécution légale de Tony Blair pour meurtre de masse et haute trahison, et je voudrais réitérer cet demande ici et maintenant. Avec un signe d'assentiment ironique en direction du consulat britannique à Francfort, qui a déjà essayé de me tuer pour un travail de journalisme honnête, permettez-moi en ma qualité de personne qui possède des qualifications de pré-diplôme en droit, la constitution et le gouvernement britanniques, permettez-moi de soulignerque de telles mesures sont non seulement légales, mais sont en effet obligatoires sous les statuts régissants le code sur les arrestations des citoyens.

Tony Blair est un dangereux psychopathe qui doit être arrêté avant qu'il tue et mutile encore. Selon le psychologue Dr Paul Broks, ses mensonges répétés et sa convoitise pour le sang des personnes innocentes démontrent "un psychopath plausible - charmant, intelligent, qui manipule les émotions, impitoyablement ambitieux et égoïste." Combien de temps permettons-nous encore à Blair de rester au pouvoir? Combien de décès et de fausses attaques terroristes faudra-t-il avant que des hommes et des femmes de courage invoquent la loi et appréhendent ce monstre?

Pour paraphraser un autre tueur en série, George W. Bush, si nous ne pouvons pas amener Tony Blair à la justice, nous devons apporter la justice à Tony Blair.

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