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Le cabinet Brown destabilise par les operations barbouzardes sionistes et l'affaire BAE : Brown est entierement sous controle


La justice américaine mène l’enquête sur BAE, Thatcher pourrait être entendue



10 juillet 2007 (LPAC) - La “dame de fer” pourrait bien prendre l’eau dans l’affaire BAE. Ce « scandale du siècle » fait désormais l’objet d’une enquête menée par le Département de la Justice américain portant, d’après le London Times, sur les 25 années de durée des accords d’Al Yamamah entre l’Arabie Saoudite, BAE et le gouvernement Britannique. De nombreuses figures des institutions britanniques pourraient être entendues par la justice américaine.
Le London Times explique que l’enquête du Département de la Justice a été poussée par le Congrès américain. « Le Prince Bandar et BAE nient toutes malversations, mais les assertions et les pressions venant des politiques américains comme l’ancien candidat à la présidentielle, le sénateur John Kerry, sont considérés comme déclencheurs de l’action du Département de la Justice. » Ce que le Times ne mentionne pas, c’est le lobbying intense que le Comité d’action politique de Lyndon LaRouche (LPAC) et son mouvement de jeunes (LYM) ont mené sur le Congrès depuis un mois pour qu’il monte au créneau sur le scandale de BAE. Il est attendu que le Département de la Justice, qui va envoyer prochainement ses enquêteurs à Londres, demande à interroger non seulement Thatcher, mais aussi Lord Heseltine, qui était le secrétaire à la Défense de l’époque, ainsi que Lord Blythe et Sir Colin Chandler, les deux anciens chefs du Defense Export Service Organization.
S’attendant à ce que le gouvernement de Sa Majesté se refuse à coopérer avec le Département de la Justice, le Times prévient qu’ « il risque d’être difficile de collecter des informations puisque les détails sont classés secret par le gouvernement du Royaume-Uni. Les officiels impliqués dans les premières négociations de l’affaire et leurs prolongements ont également tous signé l’Official Secrets Act. »
Le Times cite Howard Wheeldon, analyste de BGC Partners, un des principaux commentateurs de l’affaire dans les médias ces dernières semaines, qui avait sous-estimé la possibilité pour le Département de la Justice américain d’aller si loin. « J’espère que le Département de la Justice réalise ce qu’il est en train de faire. Je trouve inconcevable que les américains puissent faire des poursuites dans une affaire conclue entre les gouvernements britanniques et saoudiens. »

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