شبكة الإستخبارات الإسلامية

Sans blague ! Sarkosy preparait un coup d'etat en Algerie !

L'Algérie, entre Alexandre "le gras", l'exégète, et Sarkozy le bref, le conquérant

Cette image d'intello bon teint, calme et maîtrisant bien ses sujets. C'est du moins, l'image que M. Alexandre Adler s'efforce en vain, de donner de lui-même. Pontifiant au gré des piges ou des enveloppes "mossadiques", ici, derrière le petit écran TV ou le micro de France-Culture, là, au fil des tribunes commanditées par Le Figaro ou autres feuilles sionistes. Un vrai magicien de l'esbroufe intellectuelle, cachant mal le mercenaire ordinaire de la propagande israélienne, chargé de "vendre" ici, du Sharon ou du Nethanyahou, là du Bush ou du Sarkozy, le "jockey" de Tel-Aviv à Paris. Un "jockey" très modestement comparé par M. Adler à Napoléon – rien que çà - dans son article intitulé "Avec l'Algérie, Sarkozy a rompu avec les courbettes", et publié ce vendredi 20 juillet 2007 dans le quotidien français Libération où il croit devoir affirmer avec son aplomb habituel:

"Avec l’Algérie, notre autre voisin immédiat, la fermeté mêlée au pragmatisme s’est révélée payante, bien davantage que les courbettes précédentes [...]" C'est à se demander si cet Alexandre "le gras" – se prenant pour le grand conquérant - n'aurait pas tout bêtement vécu une vie antérieure de gros cochon de colon, tenant le fouet et faisant suer le burnous dans les plaines de la Mitidja ! Eh bien non ! Mille fois non, mon pauvre gros monsieur ! L'Algérie n'est tout de même pas une république bananière et encore moins un pays "franchisé" à Israël par Paris interposé.
En juin 2005, après l'article retentissant de Mathias Reymond, paru sur Le Monde Diplomatique mettant à nu et d'une manière irréfutable, les terribles lacunes historico géographiques d'Alexandre Adler et ses dérives propagandistes sionistes, j'avais failli avoir la naïveté de croire que "cette fois-ci", M. Adler allait devoir sérieusement faire – au moins pour son propre compte -, une espèce de "repentance intellectuelle" et ne plus mentir, ni par ignorance ni par souci de manipulation. Or, il semblerait que non et qu'au contraire, "du moment que l'Elysée est à nous". On finira bien peut-être un jour, par apprendre de la bouche de cette nouvelle Cassandre, que M. Sarkozy descendrait en droite ligne de Pierre Deval, le Consul de France qui reçut le fameux coup d'éventail. A moins que ce ne soit de Charles X lui-même, le Roi truand qui partit à la conquête coloniale pour piller les caisses de la Régence, sous prétexte "d'apporter la civilisation aux barbares" Pardon ! On dit aujourd'hui les "pays émergeants", sans préciser de quoi.

Abdelkader Dehbi
21 juillet 2006

Post a Comment

0 Comments