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Tapis Rouge pour Le Boucher Sioniste aux Mains Rouges : Shimon Pères -Souvenez Vous Qana 1996


Qana 1996 : Souvenez Vous !

Sarkozy - « plus sioniste que moi tu meurs » - reçoit en grande pompe l’un des criminels de guerre sionistes, Shimon Pères. Biographie d’un Boucher, père de la bombe atomique israélienne, dont la devise est « Par la Tromperie ».

Apres avoir reçu le dictateur Kadhafi, et avoir fait donner la troupe pour sauver le dictateur Tchadien Idris Deby, qui en contrepartie va gracier les aventuriers de l’humanitaire de l’Arche de Zoé, Sarkozy déroule le tapis rouge au Boucher de Qana, Shimon Pères. Il organise en son honneur un deuxième dîner de cons (le premier dîner de cons, celui du CRIF, a eu lieu en janvier). Mais cette fois ci, tout le gratin pro sioniste de la capitale se retrouvera pour faire ripailles aux frais de la Princesse dans le Saint des Saints de la République, l’Elysée, accueilli par la Marie de Médicis, version XXI ème siècle, Carla Bruni.



Qana 1996 - Ce nourrisson de 17 jours sans tête s’appelait Mohammed Kasim Khalil. Son assassin : Shimon Péres


Biographie ensanglantée du criminel de Guerre, le Boucher de Qana 1996, Shimon Pères
Le 18 avril 1996, alors que les troupes israéliennes occupaient le Sud Liban, Shimon Pères était premier ministre. En plein milieu d’une campagne pour se faire réélire premier ministre, et pour changer son image politique de « colombe » qui semblait lui porter préjudice dans un pays où les extrémistes religieux et politiques avaient le vent en poupe et que les « colombes » sionistes étaient de moins en moins respectées, Pères a pris une décision à l’origine du massacre de Qana. Il a donné l’ordre de lancer « l’Opération Grapes of Wrath » - Opération Raisins de la Colère. Cette opération a provoqué la fuite de 400 000 civils libanais du Sud Liban, dont presque 800 se sont réfugiés dans la base de l’ONU à Qana.

Après avoir auparavant détruit des dizaines de villages libanais, provoquant la mort de civils enfouis sous les décombres, l’armée israélienne sur ordre de Shimon Pères, a bombardé le 18 avril 1996 l’abri de l’ONU, tuant 102 civils principalement des enfants, des femmes et des personnes âgées, et faisant de nombreux blessés.

L’armée sioniste, comme d’habitude, a essayé de se disculper, prétextant une erreur technique, mais un film vidéo tourné par l’un des soldats de la force de maintien de la paix de l’ONU, dont une copie a été remise au journaliste anglais Robert Fish qui l’a ensuite fait circuler, a montré que c’était un acte prémédité, un crime de guerre.

18 Avril 1996 : Massacre à Qana ... Article du Palestine Times de 1997
Voici le reportage du massacre de Qana qui eut lieu le 18 avril 1996. C’était sans aucun doute un acte terroriste, effectué par un État qui s’est du coup révélé être un menteur sans vergogne.

Robert Fisk révèle la Vérité et expose les mensonges. Passons enfin à Qana.

Robert Fisk fut le premier journaliste à pénétrer l’enceinte des Casques Bleus du Fidji après qu’elle fut attaquée par des obus de proximité au plus fort des bombardements israéliens du Sud Liban l’année dernière.

Au cours de sa description très détaillée et émouvante, qui fit couler les larmes de plusieurs membres du public, il raconta la scène alors qu’il entrait dans le camp.

"Le sang coulait à flots depuis les portes de l’enceinte des Nations Unis, dans laquelle ces pauvres gens avaient trouvé refuge. C’était les portes de l’enfer. Alors que je pénétrai à l’intérieur, je vis une petite fille entourant de ses bras le corps d’un homme d’âge mûr, berçant le corps de droite à gauche et gémissant et pleurant sans cesse "mon père, mon père" Il y avait des bébés sans tête, des femmes sans bras. Je n’oublierai jamais ce que j’ai vu. J’ai tout décrit dans le quotidien qui m’emploie."

Il raconta ensuite toute l’histoire du massacre de Qana. Le fait qu’il parlait le 18 avril, exactement un an après l’attaque d’Israël, rendit sa présentation d’autant plus poignante.

"Pour nous reporters de l’époque - et pour les Nations Unis - la vérité ou autre de l’explication d’Israël - qu’ils n’avaient jamais eu l’intention d’attaquer la base Onusienne, ni les civils musulmans qu’elle protégeait - reposait sur leur affirmation qu’ils ne pouvaient pas voir où tombaient les obus. Mais les survivants, des soldats de l’ONU comme les réfugiés, ont tous témoigné avoir vu un avion israélien sans pilote capable de prendre des photos de reconnaissance, survoler le camp pendant le massacre. Et si c’était vrai, alors la conclusion était évidente : les Israéliens savaient très bien ce qu’ils faisaient."

Après avoir interrogé les réfugiés et les soldats des Nations Unies, Robert Fisk entendit des rumeurs à plusieurs reprises qu’un soldat de l’ONU d’une base proche avait filmé tout à fait par hasard le bombardement de Qana ainsi que l’avion de reconnaissance israélien. Sa recherche du film mystérieux resta sans succès. On lui dit que les personnels de l’ONU avaient reçu les ordres strictes de ne pas parler de son existence à qui que ce soit. Deux jours après les funérailles communes des victimes du massacre de Qana, la sonnerie du téléphone de Fisk retentit dans son appartement de Beyrouth. Une voix anonyme lui donna une référence sur une carte et ajouta : "13h".

L’audience de Fisk restait captivée par son récit émouvant, peut-être l’événement principal de la soirée, et mérite d’être reproduit mot à mot. La référence de carte indiquait un carrefour à l’extérieur de Qana.

« Je n’ai jamais conduit aussi vite jusqu’au Sud Liban. A 13h, dans mon rétroviseur, je vis une Jeep de l’ONU s’arrêter derrière moi. Un soldat de l’ONU en tenue de combat et portant le béret bleu s’approcha de moi, me serra la main et dit : "J’ai fait une copie de la vidéo avant que les Nations Unies ne la saisissent. On y voit l’avion. J’ai pris une décision personnelle. J’ai deux enfants en bas-âge. Du même âge que ceux que j’ai portés, morts, dans mes bras à Qana. C’est pour eux que je le fais." Et de sa chemise kaki, il sortit une cassette vidéo et la jeta sur le siège passager de ma voiture. C’était, je pense rétrospectivement, l’acte individuel et personnel le plus dramatique que j’ai jamais vu faire un soldat. Les grands pouvoirs peuvent parfois essayer de cacher des choses, mais les petites gens peuvent parfois gagner. »

Le film à l’état brut, sans coupures, montrait clairement la base des Nations Unies de Qana sous les bombardements avec l’avion sans pilote au-dessus. Fisk commenta la projection de la vidéo au public, montrant la trajectoire et la direction des obus qui venaient de l’extérieur. Un hélicoptère israélien était également visible au-dessus de Qana au moment de l’attaque, larguant des balises lumineuses pour éviter les missiles à tête chercheuse thermique. Qana était recouverte de fumée tandis que les obus d’artillerie tombaient du ciel. A un moment, les flammes étaient clairement visibles dans la base de l’ONU. Fisk annonça en montrant l’écran,

"Ici, c’est la salle de conférence en feu. Il y a environ 50 personnes qui sont en train d’être brûlées vives en ce moment. Cette fumée, continua-t-il, montrant une autre section proche sur l’écran, provient en fait de la crémation de ces gens alors que les murs prennent feu."

Le public restait immobile et silencieux comme des jurés dans un tribunal, tandis que Fisk présentait ses preuves avec la précision méticuleuse et le sang-froid d’un avocat de l’accusation démolissant de façon convaincante l’argument principal des avocats de la défense. Après que la vidéo fut arrêtée, il retourna sur le podium et finit son discours sur les phrases suivantes :

" C’est ici, je crois, que le travail du journaliste doit s’arrêter et que les faits historiques doivent prendre la relève. Pour votre gentillesse ce soir, mesdames et messieurs, et pour votre gentillesse de m’avoir invité à Ottawa pour vous faire cette présentation, je vous remercie beaucoup ."

Un tonnerre d’applaudissement et une ovation debout s’ensuivirent.

Source : The Palestine Times daté de juin 1997

Robert Fisk, reporter vétéran du Moyen Orient, présenta une conférence le mois dernier devant un public de 350 personnes, à Ottawa au Canada, intitulée "Menaces, Mensonges et Vidéo : Être correspondent au Moyen-Orient" . Le titre aurait pu aussi bien être : "Honnêteté et Intégrité Morale : Être correspondent au Moyen-Orient". Avec un style oral pénétrant et une diction anglaise parfaite, il parla pendant 1h45, s’appuyant sur son expérience de 30 ans comme journaliste professionnel, dont 21 passés en tant que correspondent au Moyen-Orient et en Afrique du Nord.

Traduction française par le Site Al -Oufok

Après le massacre, confronté au tollé et la réprobation internationale, Shimon Pères a déclaré, imperturbable :

« A mon avis, tout a été fait de façon logique et responsable. Je suis en paix avec moi-même ».

Finalement, Shimon Pères n’a pas été réélu et le poste de secrétaire général de l’ONU qu’il convoitait lui a également échappé.

Vidéo du JT de FR 3 Massacre de Qana jeudi 18 avril FR3 Avril 1996 Source INA.fr. A noter la liberté d’expression du JT de l’époque. Depuis le rouleau compresseur de la propagande et des pressions sionistes ont fait leurs ravages dans les médias.

Vidéo de Qana

Biographie du Boucher Sioniste Shimon Pères - Suite
Shimon Pères n’a pas seulement été responsable du massacre de Qana de 1996. Il l’est aussi pour d’autres crimes commis par les différents gouvernements auxquels il a participé, la construction des colonies sur des terres arabes occupées, le fait qu’il soutient la politique israélienne d’assassinats extra judiciaires. Il soutient également le siège de Gaza comme il a soutenu la destruction des infrastructures civiles à Gaza et en Cisjordanie lors de la deuxième Inti Fada, la création des centaines de check points en Cisjordanie, qui rendent le déplacement des palestiniens pratiquement impossible et anéantissent l’économie palestinienne, il défend les démolitions de maisons, et a également justifié les atrocités commises par l’armée israélienne contre la population civile libanaise lors de la guerre qu’Israël a fomenté au cours de l’été 2006 contre le Liban et la résistance libanaise du Hezbollah. Il est aussi connu pour défendre le droit d’annexer des terres conquises par la force armée, ce qui va à l’encontre du Droit International.

Enfin, si le Moyen Orient - et par voie de conséquence le monde entier - est aujourd’hui menacé d’une guerre nucléaire, ce n’est pas à cause du programme civil nucléaire iranien, mais bien parce que Shimon Pères, avec la complicité du gouvernement français à la fin des années 50 début des années 60, a été le père de la bombe atomique israélienne, se démenant comme un diable pour obtenir l’aide matérielle et le savoir faire des spécialistes français du nucléaire dont certains ont collaborés avec enthousiasme à la création de la centrale nucléaire militaire de Dimona.

Resté fidèle à sa devise « Par la Tromperie » - ce qu’il appelle dans son jargon sioniste arrogant « ambiguïté » - Shimon Pères a toujours refusé de reconnaître l’existence du nucléaire militaire sioniste. Israël possède actuellement entre 200 et 400 têtes nucléaires et les moyens de les délivrer (missiles, bombardiers, sous marins).

http://www.planetenonviolence.org/Tapis-Rouge-pour- Le-Boucher-Sioniste-aux-Mains-Rouges-Shimon-Peres- Souvenez-Vous-Qana-1996_a1510.html

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