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La mafia juive sioniste de l'Elysée protege le Larbin Aboulkher, createur des GIAs




Agé de 70 ans (il est né à Frenda en 1938) le général larbi Belkheir est hospitalisé à Paris depuis la semaine dernière, selon le quotidien algérien An-Nahar Al-Jadid daté du 6 octobre. Evacué d’urgence à l’hôpital américain (au Val-de-Grace selon d’autres sources), l’actuel ambassadeur d’Algérie à Rabat devait subir une intervention chirurgicale à cœur ouvert.



Ancien directeur de cabinet du président Chadli Bendjedid et ministre de l’intérieur en 1991 quelques mois avant le déroulement du premier tour des législatives avortées de décembre de la même année, le général Larbi Belkheir participera au coup d’état de janvier 1992 qui destitue Chadli Bendjedid et annule les élections législatives remportées par le Front Islamique du Salut dès le premier tour.



Quelques années plus tard, il sponsorise la candidature de Abdelaziz Bouteflika pour la présidence de la république (1999) avant qu’il ne prenne les commandes du cabinet présidentiel en remplacement de Ali Benflis nommé premier ministre.



Considéré comme l’architecte du système algérien, Larbi Belkheir s’en défend. Il se présente comme commis de l’état. Pour d’autres observateurs il est le modérateur d’un système vulnérables aux soubresauts des luttes claniques animées par des hommes incultes et n’ayant aucun sens de l’état.



Sa nomination au poste d’ambassadeur d’Algérie à rabat en 2005 ne l’a nullement éloigné des affaires du pays tant ses hommes sont nombreux dans tous les rouages de l’appareil de l’état algérien.



Accusé par Hichem ABOUD d’avoir commandité l’assassinat de Ali André Mecili dans une interview publié par le Nouvel Observateur en juin 2001, et bien qu’il a été débouté par la justice française après avoir déposé plainte contre son accusateur pour « diffamation publique contre particulier », le général Larbi Belkheir n’a jamais fait l’objet d’une plante de la part de la famille Mecili ni des proches de l’avocat parisien assassiné en avril 1987.




Affaire Mecili



La partie civile profitera-t-elle de la présence du général Larbi Belkheir pour le conronter à la justice ?



Ceux qui se sont acharnés sur un diplomate qui n’a rien à voir avec l’assassinat de Ali André Mecili profiteraient-ils de la présence du général Larbi Belkheir à Paris pour ne serait-ce que demander à la justice française de l’auditionner en qualité de témoin assisté ?

Faut-il rappeler que l’assassinat de l’ancien avocat parisien qui était un cadre de la sécurité Militaire algérienne dans les années soixante, ne relève pas des faits divers mais bel et bien d’un assassinat politique.Ce qui implique, de facto, les plus hautes autorités algériennes à commencer par le président de la république de l’époque, Chadli Bendjedid.
Le général Larbi Belkheir, alors, directeur de cabinet du président Chadli ne pouvait ignorer les préparatifs de l’assassinat de Mecli.

Accusé nommément d’avoir commandité le crime, il n’a jamais été cité par la partie civile. Pourquoi ce silence de la part de ceux qui s’acharnent à accuser un petit larbin qui profite des largesses d’un système corrupteur. S’appuyant sur un ancien tortionnaire qui a passé toute sa vie dans l’anonymat des services opérationnels, les proches de Mecili qui prétendent défendre la mémoire du défunt n’ont rien fait jusqu’ici pour inquiéter le général Larbi Belkheir .
Tout ce qui leur est demandé est de saisir le juge d’instruction pour auditionner le général en qualité de témoin assissté. Il n’y arien de gênant n’est-ce pas ?Le feront-ils ?

http://www.agirpourlalgerie.com/


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1 Comments

Bonjour,
Lire à ce sujet le livre "La mafia juive" dont les affiches ont été placardées dans Paris, Boulogne... reporté par France Inter, France 3...
Le livre est censuré par les grands diffuseurs !
Mais on peut le trouver ici :
http://www.propagandes.info/ryssen/index.php