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Omar Mazri : Stratégie et tactique ou erreur dans la piraterie contre la flotte de la liberté


L'assaut sanglant et médiatisé des commandos des forces d’élites navales et hélico portées d’Israël contre les civils embarqués sur les embarcations civiles de la flotte internationale de la liberté pour Gaza appelle quelques remarques élémentaires :



L’acte de piraterie

L’acte de piraterie s’est déroulé dans les eaux internationales en Méditerranée sous contrôle de la flotte américaine. Il rappelle que la fondation de l’état sioniste est un acte de piraterie, une spoliation, une usurpation, une agression…

Ces faits contre le droit international se sont faits sous le regard, la bénédiction et l’accompagnement de la communauté internationale. Cette communauté, maitre d’ouvrage de la piraterie internationale a donné naissance à l’entité sioniste comme maitre d’œuvre de la piraterie dans le monde arabe et la Méditerranée.

L’ONU caisse de résonnance de la capitainerie de la piraterie n’est ni le lieu de la gouvernance mondiale ni la voix de l’exigence du droit international. Les pays en émergence ainsi que les opprimés du monde doivent trouver au niveau régional et continental de nouveaux cadres d’expression, de nouveaux phares idéologiques et de nouvelles formes de luttes sociales, politiques et économiques qui les libèrent de la piraterie mondialiste. Se focaliser sur l’entité sioniste et le lobby juif américain c’est continuer d’ignorer la nécessité de démanteler le système oppressif qui les a produit, les sauvegarde, les promeut et les défend.

Il faut que cet acte, grave, ne finisse pas comme l’agression contre Gaza. L’enquête demandée par l’ONU ne doit pas finir comme le rapport Goldstein qui a condamné Israël…



La Télévision française

La Télévision française, comme l’a définie le chercheur au CNRS François Burgas, est Telavivision : ne cherchant ni l’information objective ni le débat contradictoire ni la multiplication des sources elle devient porte voix de la version officielle d’Israël et du montage imagique des officines. Les volontaires humanistes pacifistes se trouvent ainsi présentés comme des activistes agressifs, armés, des agents provocateurs du terrorisme international alors que les assaillants sionistes dans les eaux internationales, surarmés, utilisant abusivement la force contre des civils se trouvent investis contre toute morale et contre toute vérité de la légitimité de l’auto défense. Si Israël a perdu tout prestige moral et voit le mythe de son invincibilité se fondre comme un mirage la télévision française perd tout crédit et toute audience. Elle s’est mise dans la peau de la chèvre de monsieur Seguin en hurlant avec les loups…

La télévision française ne voit pas la gêne dans laquelle se trouve le gouvernement français le plus favorable à Israël qui a compris le suicide d’aller à contre voie de la demande de liberté et de justice suscitée par l’agression contre la flotte de la liberté. La télévision française n’arrive pas à voir que si la communauté internationale à pris acte et position en faveur de la flotte de la liberté c’est qu’elle sait que les embarqués dans cette flotte sont journalistes, humanitaires, parlementaires, citoyens provenant de plus de trente pays, de toutes les religions et de toutes les doctrines et idéologies. Il faut perdre la raison pour les considérer comme des activistes, des terroristes ou des agents du HAMAS.

Il est scandaleux que la Télévision publique désinforme le citoyen français en faisant commenter un expert du GIGN qui donne son avis technique sur les faiblesses et les erreurs du dispositif de riposte israélien face aux assaillants embarqués. Le parti pris pour le faux est tellement flagrant que la télévision française ne déplore pas et ne condamne pas une prise d’otage, un acte terroriste et un abordage pirate contre un convoi humanitaire mais exprime son regret qu’ils ne soient pas menés par des mains expertes. Au lieu de solliciter l’avis de spécialistes de droit maritime et de droit humanitaire pour informer la télévision française devient un outil de propagande sioniste et recentre avec supercherie la tragédie en mer en assurance et en réassurance de la compétence du tout sécuritaire français à gérer la situation dans un climat tendu par l’insécurité publique, les crispations sociales et l’à-peu-prisme politique…

La communauté musulmane en France qui apporte sa participation ou qui prend l’initiative dans l’organisation de manifestation pour dénoncer l’acte de piraterie, l’agression sioniste, le blocus de Gaza, ne doit pas perdre la dimension de la lutte idéologique dont l’ignorance risque de la conduire à devenir davantage un parasite, un contre sens, une contre synergie, un sectarisme qui va dans le sens voulu par les médias français. Seule la vision idéologique permet d’adapter le discours et les idées à mettre en exergue aux exigences stratégiques ou tactiques du lieu, du moment ou des circonstances. La question palestinienne est certes une question islamique et arabe mais elle est aussi une question humaniste universelle qui non seulement n’est pas en contradiction avec l’islam mais fait partie de sa revendication contre l’oppression et en faveur de l’opprimé et du faible, abstraction faite des différences religieuses ou doctrinales.



Contradiction fondamentale

L’observateur ne doit pas perdre de vue que nous sommes face à une contradiction fondamentale qui montre la précarité de plus en plus en grande de l’équilibre fondé sur le consensus qui donnait légitimité à l’esprit et aux comportements du terrorisme d’état et de la piraterie internationale produits par cinq siècles de civilisation occidentale colonialiste. Le monde dominé par l’opinion occidentale se trouvé dans une dialectique qui annonce de grands bouleversements : la même communauté internationale s’exprime d’une manière paradoxale : les partisans du blocus contre Gaza et de l’acceptation de toutes les dérives morales d’Israël se trouvent face à face avec les partisans de la levée du blocus contre Gaza et le refus de tolérer les dérives morales d’Israël et son privilège d’être au dessus des lois.

L’opinion arabe et musulmane muselée et manquant de conscience sociale, politique et stratégique, ne peut que s’inscrire dans cette dialectique en appuyant, en participant ou en cherchant à élargir l’assise populaire et l’influence de l’opinion libertaire et humaniste.

Nous devons renforcer cette contradiction en participant à ce qu’elle s’inscrive dans la pérennité, une étendue territoriale plus vaste, un moment historique de plus grande durée et une synchronicité plus fiable et plus efficace des forces humanistes dans leurs diversités idéologiques, politiques, culturelles, nationales, ethniques, sociales et idiomatiques.

Ce serait suicidaire d’inscrire un particularisme local ou une singularité idéologique ou une dominante religieuse dans ce mouvement qui apporte la contradiction au sein de la communauté internationale. La plus grande victoire de la flotte de la liberté est justement de libérer l’humanisme de l’humanitaire des ONG sionistes ou de l’humanitaire US Army.



Quelques explications sur l’absurdité apparente

On tente d’apporter ici et là des explications sur l’agression israélienne contre la flotte de la liberté : arrogance de la force et stupidité politique. Ce serait illusoire de voir, malgré le retournement actuel de la situation médiatique et diplomatique contre Israël, le comportement arrogant et stupide de la droite israélienne. Il faut replacer les événements dans leur contexte :

- Il y a un acte de piraterie dans les eaux internationales car Israël a la garantie de l’impunité. Il a également à sa disposition un appareil médiatique hyper puissant à sa puissance pour créer de la diversion et manipuler les opinions. Israël dispose de 20 mille sites internet de propagande gérés par des professionnels de la communication, de la guerre subversive, de la lutte psychologique et du renseignement. Israël est fondé sur la violence et comme fait de guerre, il ne se maintient que comme violence et fait de guerre. C’est sa logique d’existence et de « survie ». C’est de cette logique qu’il faut débattre en le remettant au centre de la problématique de l’occupation illégale et illégitime des terres palestiniennes. Remettre en cause cette violence c’est remettre en cause non seulement la nature et l’existence d’Israël mais le processus international qui a donné légitimité à l’occupation. Le Problème n’est pas dans l’agression de la flotte de la liberté mais dans l’absence d’un processus de décolonisation de la Palestine.



- Israël avec l’aide de la communauté internationale et des vassaux arabes a agit avec intelligence en se cachant derrière sa violence légendaire : occulter la question palestinienne et la vider de son contenue de lutte contre l’oppression et de résistance contre l’occupation pour la confiner dans deux effets de la colonisation : les colonies juives à implanter ou à démanteler selon le rapport de force et l’aide humanitaire à concéder aux palestiniens selon le rapport de compassion ou d’indifférence de la communauté musulmane ou le degré de résignation ou de révolte du peuple palestinien.



- Dans « Gaza la bataille du Forqane » j’ai fait allusion à l’embargo que les Arabes ont appliqué d’une manière injuste contre le Prophète et ses compagnons pour les réduire au silence. Réduire au silence ou impliquer son adversaire dans un processus d’indifférenciation qui vous exclue est un acte de guerre des plus cruels et des plus injustes. La dialectique souffrance des uns et arrogance des autres va entrainer, tant que le souffrant refuse de se taire et cherche les moyens de transcender le fait accompli, l’intervention du destin. Le destin intervient sous une forme métaphysique comme la termite qui a dévoré le pacte caché dans la Kaaba et instituant le blocus. Le destin intervient aussi sous forme de rapport d’énergies libérées et énergies accumulées qui va créer un mouvement mettant fin au statut quo, à l’inertie, à l’équilibre précaire. La flotte de la liberté est la rupture de l’équilibre et l’annonce d’un nouveau rapport de forces, d’un nouveau rapport d’intelligence, d’une reprise de l’initiative historique contre la prétention de la fin de l’histoire.



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La flotte de la liberté est intervenue comme un moment historique, une annonce par le destin, une dynamique, un tournant dans le conflit, une suite à la guerre contre Gaza qui n’est pas finie car la population de Gaza n’est pas mise au silence et sa résistance ne s’est pas rendue.



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La flotte de la liberté est intervenue à un moment où d’un côté on a la Cisjordanie sous contrôle sécuritaire du général américain Dayton, sous la manne financière des USA et de l’Europe et sous la collaboration israélo-palestinienne dont les apparats mondains ont des répercussions médiatiques, politiques et idéologiques : la collaboration apporte la prospérité pour les palestiniens et la paix pour Israël. effets le blocus sur Gaza qui semblait donner ses résultats. De l’autre côté on a Gaza isolé du monde et dont la paupérisation est médiatisée : 10 milliards $ de pertes économiques, plus de 2,5 Milliards $ de dommages de guerre, ¾ de la population active sans perspective de travail, toute l’infrastructure agricole, halieutique et industrielle est détruite ou à l’arrêt, aucune garanties sur les conditions fondamentales de l’existence qui sont la liberté de se déplacer, de travailler, d’étudier, de se soigner, de se nourrir, de disposer de la sécurité… Le message est clair : sous la gouvernance d’un HAMAS, même démocratique, ne reconnaissant pas l’occupation sioniste, il n’y a que la faim, la peur, la mort et l’isolement dans un monde indifférent.

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C’est dans cette illusion d’alternative proposée par Israël, les USA, l’Europe et les Arabes que la flotte de la liberté intervient comme une autre alternative apportant la contradiction. Israël n’a pas d’autres recours que mener une opération militaire dans le double esprit : ne pas perdre l’initiative qui la mettrait dans l’obligation de reconnaitre la levée du blocus, mener la guerre préventive, la nouvelle doctrine militaire des néo conservateurs, pour interdire toute nouvelle initiative de lever le blocus. Pour l’instant Israël est relativement isolé. Il ne faut pas vivre sur ses lauriers et sombrer dans le syndrome de l’ivresse de la victoire qui engendre la paresse et l’inertie. C’est dans ce moment que la vigilance est de rigueur. Il y a un tournant en perspective. Le sionisme s’essouffle comme s’essouffle l’impérialisme mais nous sommes loin, nous, de prendre notre souffle et nous engager dans une dynamique de changement.



- L’armée israélienne a perdu son mythe d’invincibilité dans ses agressions contre le Liban en 2006 et contre Gaza en 2009. Elle envoie un message signifiant qu’il n’y a aucun recul sur la dissuasion et qu’aucun obstacle moral, international ou autre ne pourrait empêcher l’entité sioniste dans sa fuite en avant. Cette fuite en avant n’exclue pas la démonstration de l’usage abusif de la force sans limite territoriale ni morale ni juridique dans ses prochaines guerres dans la Région.

Israël a donc agit avec sa logique de violence et son intelligence stratégique : il est plus facile de gérer les suites d’une bavure y compris celles d’un acte de piraterie dans les eaux internationales que de faire face à la levée de l’embargo sur Gaza. Toute aide qui parviendrait à Gaza est comprise symboliquement comme la reconnaissance du HAMAS comme organisation politique et non comme un groupuscule terroriste. Le Hezbollah et le HAMAS doivent restés comme organisation terroriste pour justifier les prochaines agressions israéliennes.

Dans cette équation stratégique Israël peut créer de la diversion en entrant dans une crise avec le gouvernement turc et faire de sa faiblesse une force de diversion pour ne pas céder sur l’essentiel stratégique : Gaza et l’Iran. Il est vrai que le gouvernement turc mérite toute notre admiration mais il ne faudrait pas sous estimer la capacité de nuisance de l’entité sioniste qui voit dans le gouvernement turc actuel la résurgence de l’empire ottoman dont le dernier représentant à refusé de vendre la Palestine alors qu’il était « l’homme malade ». Quelque soit l’engagement turc, Israël sait que le cœur du dispositif de libération ou de maintien de l’occupation de la Palestine est le monde arabe et sa compétence à être un espace de libération ou d’oppression des peuples arabes.

Ni Tayeb Erdogan ni la Turquie ne peuvent supporter tout seul le poids du mécontentement et de la frustration arabo musulmane. Ce serait une frustration supplémentaire que de le supposer.



Que faire ?

Les seuls changements qui pourraient faire pression sur Israël sont :

- La radicalisation arabe : elle semble improbable pour l’instant.

- L’opinion de la communauté internationale : elle peut être cooptée ou parasitée. Les musulmans infantiles peuvent être des facteurs de parasitage et de diversion sur l’opinion internationale car les musulmans sont prisonniers des mots et ne sont pas prêts à se hisser au-delà du sentimentalisme et de l’émotionnel à accéder aux concepts et aux contenus qui peuvent permettre la construction des passerelles et des dénominateurs communs.

- La réconciliation entre le FATAH et le HAMAS et le retour à une gestion démocratique de la question palestinienne et des problèmes du peuple palestinien sans exclusive ni exclusion.

- Mettre en place une pression médiatique sur deux axes : briser le blocus de Gaza et reposer la question palestinienne dans sa globalité : libération de l’oppression. Briser le blocus exige le lancement d’autres flottes et la mise en place de compétences techniques et technologiques médiatiques et communicationnelles pour que les événements des flottes ne soient pas isolés du monde du fait de la guerre électronique.



L’islam nous montre que face à l’arrogance de la majorité des insouciants et face à l’oppression des minorités par les puissants iniques les Prophètes Nùh et Hùd ont insisté sur quatre qualités qui font émerger la communauté de foi et de justice au moment de crise :



- le savoir : disposer d’un savoir plus grand que l’adversaire sinon se taire car laisser l’ignorant musulman parler sans science c’est donner crédit à l’ignorance du mécréant et pouvoir d’argumentation aux injustes

- le devoir de bon conseil qui exige un style fédératif et une compassion dans le discours pour attirer au lieu de repousser dans une monde où la bataille des mots et des images fait gagner ou perdre une bataille des idées et des armes.

- l’intelligence, la pertinence (l’adéquation spatiale), l’opportunité (l’adéquation temporelle) en refusant la Safaha (l’inconséquence, l’impertinence, l’insignifiance, (sottise, impertinence, insignifiance, incompétence) …

- la confiance. La communauté musulmane ne peut vivre comme expression de la reconnaissance des efforts méritoires des autres mais elle doit inspirer la confiance en cassant la défiance qu’elle suscite dans l’imaginaire du non musulman et en travaillant sur la défiance envers le système oppresseur par l’élargissement de l’assise politique, intellectuelle et populaire des hommes épris de justice, de liberté et dignes de confiance :



{ …je vous communique les Messages de mon Seigneur et vous porte conseil. Je sais d’Allah ce que vous ne savez pas } Al A’raf 62

{ O mon peuple, je ne suis point dans la Safaha, mais je suis un Messager du Seigneur des Univers : je vous communique les Messages de mon Seigneur et suis pour vous un honnête conseiller } Al A’raf 68



Les musulmans de France doivent poser leurs valises en France et se mettre à réfléchir et à agir à la fois comme musulmans et comme citoyens français s’inscrivant dans les exigences de leur foi, dans les possibilités offertes par l’espace publique et dans les contraintes singuliers du territoire dans lequel ils vivent. S’ils ne font pas l’effort de traduire la dynamique et le réalisme de l’islam dans le territoire où se déploie leur communauté ils ne pourront construire une force pour défendre leur foi, la transmettre mais défendre aussi les causes de leur Oumma et celles des opprimés ou des hommes épris de liberté et de justice qui luttent pour d’autres mobiles mais dans la même direction en l’occurrence la justice sociale, la liberté de refuser l’oppression et l’oppresseur, l’égalité de chance et la fraternité humaine dans l’humanité plurielle et diverse. Nùh, Hùd, Salah, Cho’aïb, Abraham, Moise, Jésus, Mohamed ont lutté, avec amour et compassion, au sein de leur peuple, en parlant sa langue, en comprenant ses contradictions et en prenant l’initiative d’être les meilleurs en force de propositions et de comportements. Ils n’ont vécu ni en marge de la société ni confiné dans une apologie tribunicienne de leur foi ou de leur appartenance.



La libération de la Palestine passe par le Jihad, en ce qui nous concerne, le premier Jihad est l’effort sur nous-mêmes, nous libérer de l’étroitesse de notre cadre, de notre insuffisance, de notre Wahn, de notre marginalisation, de notre Safaha. Nous ne pouvons être des libérateurs si nous ne sommes ni civilisés ni civilisateurs qui inspirent le respect par le sens de la dignité humaine qu’ils portent comme un rayonnement spirituel et social et non un cri ou une gesticulation perdus dans le vacarme des bruits et des convulsions.



La situation est grave car le tournant historique est extrêmement tendu annonçant ou bien un avortement qui aura des conséquences fâcheuses sur le plan moral et comportemental ou bien une nouvelle dynamique qui va entraîner la levée du blocus, la reconstruction de Gaza et sans doute la déconstruction puis la reconstruction des données territoriales et politiques dans le monde. Devant la gravité de la situation plus que jamais nous sommes appelés à nous hisser au niveau de nos responsabilités morales, religieuses et intellectuelles : instaurer au sein de la communauté musulmanes les ferments de l’espérance en cultivant la probité ; la vertu ; la lucidité ; la confiance ; les idées, les discours et les actions qui fédèrent, unissent, donnent sens et mettent fin à la dispersion des efforts et au chaos des rangs. C’est dans l’unité des rangs, la cohésion des idées, l’harmonie du langage, la synergie des actions partagées et réparties selon les compétences et les disponibilités de chacun que nous pouvons faire face aux autres et selon les cas de pertinence et d’opportunité exiger, participer ou dénoncer telle solution ou telle proposition…


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