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Guerre civile en France : Manipulation de l'opinion publique : Quand les flics se déguisent en casseurs (+vidéo)




Sur ces images de Reuters, on voit une personne (un flic) casser une vitrine de banque.



Une autre personne essaye de l’arrêter mais se prend un coup de pied d’un troisième qui tient apparemment une matraque dans la main.

Ensuite la personne qui cassait la vitrine est entouré de ce qui est présenté comme un "anarchiste" (mais qui pourrait tout à fait être bien autre chose...) et se fait exfiltrer pendant que les manifestants leurs lancent des objets dessus.

Aurions-nous là une preuve flagrante de manipulation , d’infiltration afin de stigmatiser le mouvement social ?
Cela rappelle à certains de vieux souvenirs et ça en a tout l’air !
 
http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=16784


 
Extrait Article eco89 / Manifs : le pouvoir toujours sourd, la rue encore là

19h12. Dans le quartier de Bastille, à Paris, la situation a dégénéré. De petits groupes de casseurs, certains équipés de matraques, ont investi les avenues partant de la place de la Nation, courant pour échapper aux forces de l’ordre, jetant des canettes de bière, enflamment des poubelles aux carrefour et saccageant des terrasses de café.

La vitrine d’une agence du Crédit lyonnais a été défoncée. Un passant qui tentait de dissuader les vandales a été frappé de coups de poing et de pied portés au corps et au visage, avant que d’autres participants interviennent pour le dégager.

Pendant le passage -éclair- de ces groupes visiblement bien organisés, des touristes affolés se réfugient à l’intérieur des bars et restaurants. Trois personnes au moins ont été interpellés.

Certains sont parvenus à entrer à l’intérieur de l’opéra Bastille, avant que les policiers ne parviennent à en bloquer l’accès. Ces petits groupes très mobiles se sont ensuite (provisoirement ? ) dispersés une fois arrivé à Bastille. Rue89 [...]

Commentaire du 21H01 | 16/10/2010
"La vitrine d’une agence du Crédit lyonnais a été défoncée. Un passant qui tentait de dissuader les vandales a été frappé de coups de poing et de pied portés au corps et au visage, avant que d’autres participants interviennent pour le dégager."

Le passant c’est mon père. J’étais là et je souhaite apporter quelques précisions et soulever quelques questions. Nous étions allé manifester comme des milliers de français aujourd’hui. Nous avions démarré vers 15h30 à République, avancé à pas de fourmi jusqu’à Bastille (17h30) puis rejoins Nation vers 18h30. La manif s’est passé dans le calme? dans une ambiance bon enfant. Même le bouchon de ma bouteille d’eau tombé par terre n’a pas été piétiné.

Arrivés à Nation, les syndicats ont appelé à la dispersion. Nous sommes redescendus par le boulevard Diderot. Les policiers et CRS étaient déjà plus nombreux. Mais tout était calme. Quelques minutes après, l’ambiance a changé puisque les sirènes et le ballet des voitures et des camionettes de police avait commencé.

Nous étions assis, mes parents et moi à la terrasse du café situé à quelques mètres de la Banque. Nous avons vu une quarantaine de cars de CRS, police et autres forces de l’ordre remonter le boulevard Diderot.
Puis quelque minutes après, une cinquantaine de personnes descendent le boulevard, alignées, étandards noir. En arrivant au niveau du Crédit Lyonnais, il se sont mis à casser la vitrine. Mon père à tenté de s’interposer comme vous l’écrivez. J’ai pris peur en voyant certains d’entre eux tentaient de le taper et je me suis lancée à sa défense, prise de panique. Je me suis pris une canette de bière sur la main. Elle saigne.

Comment ont-il pu passer ? Comment les CRS ne les ont ils pas croisés ? Impossible ! Les "casseurs" descendaient la rue le champs libre. Toute la place pour eux. Plus un flic à l’horizon. Ils étaient pourtant loin de se cacher.

D’autre "casseurs" on tenté de calmer la situation. Un homme, la cinquantaine, très calme, habillé d’un imperméable gris m'a pris de côté et m’a dit de me calmer. "C’est une erreur " Non les flics n’était pas là, quoi que. Qui était cet homme en gris. Pas un anarchiste c’est sûr ! Il avait l’air d’encadrer le groupe. Un flic ? II y avait en tout cas une dizaine de photographes qui accompagnaient ce groupe. On me prend en photo. Je refuse. Je ne veux pas que mon image soit utilisée pour montrer que les manifestations ont « dégénéré »
C’était organisé !! Comment la quarantaine de cars de CRS a pu ne pas croiser ces "casseurs" : on les a laissé passer ! Ce n’était pas un groupuscule seul dans son coin. Les photographes étaient là. Qui était cet homme en gris ? Je suis en colère !!!

Après m’être fait soigner ma main, légèrement érraflée (plus de peur que de mal, mon père n’a rien), nous redescendons à pied vers la Bastille. Tiens les flics sont de nouveau présents, et en masse ! Que faisaient-ils quelques minutes auparavant ! C’est de la blague. Je suis en colère contre eux. Ils manipulnt tout. Ils cherchent la bagarre pour décrédibiliser une manifestation.
Article source : Manipulation de l'opinion publique (épisode n+1)   


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