Un
exercice conjoint des forces spéciales françaises et saoudiennes aura
lieu en Corse du 1er au 18 octobre, à partir de la base de Solenzara.
Baptisé
"Tigre 2", il impliquera des moyens importants, dont plusieurs hélicoptères saoudiens
Black Hawk.
Cet exercice du COS (Commandement des Opérations Spéciales) est
conjoint avec le rendez-vous annuel de la BFST (Brigade des forces
spéciales Terre),
"Gorgones" qui se déroulait généralement à Caylus (Tarn-et-Garonne).
L’an passé, une délégation saoudienne avait assisté à
Gorgones, ce qui l’a visiblement convaincue.
Tigre 2 n’est pas un exercice purement terrestre : des moyens de la Marine et de l’Armée de l’air seront également engagés.
Discrète, la coopération française avec les forces spéciales du
Moyen-Orient est très active, que ce soit avec la Jordanie, le Qatar,
les Emirats ou l’Arabie saoudite.
Les éléments français participant à
Tigre 2 sont des unités appartenant au COS, dont la BFST :

le 1er régiment parachutiste d’infanterie de marine (1er RPIMa),

le 13e régiment de dragons parachutistes (13e RDP),

le 4e régiment d’hélicoptère forces spéciales (4e RHFS),

des commandos marine,

des commandos de l’air,

et l’escadron de transport
Poitou.
http://www.marianne2.fr/blogsecretdefense/Des-forces-speciales-saoudiennes-en-Corse-actualise_a758.html
La France, sous controle israelien, envahit le Maghreb-Sahel pour l'annexer au marche transatlantique (Euro-reich) en 2015 et y transferer une partie de son industrie comme Renault, afin de pouvoir rester competitif face au BRICS et soumettre de facto toute la region a Israel.... La guerre a debute dans le silence du Sahara avec des fausses prises d'otages mises en scene tantot par la DCRI qui a le controle des GIAs-AQMI depuis l'ere Larbi Belkheir, et maintenant par la DGSE avec le MUJAO qu'elle a retourne grace a l'argent du Qatar et qu'elle controle, les repercussions seront tres lourdes a Paris, difficile de voir autre chose que la guerre dans les rues de France avec les provocations juives sionistes
24 septembre 2012 – 10:21
Depuis maintenant quelques années, les forces spéciales françaises
sonr présentes au Sahel, que ce soit pour des tâches de formation au
profit d’armées locales, comme cela a été le cas en Mauritanie, des
missions de renseignement, ou encore des interventions lors de prises
d’otage concernant des ressortissants français (3 en deux ans).
Et d’ailleurs, avec l’influence grandissante de groupes jihadistes
dans cette région, où ces derniers menacent les intérêts français –
comme par exemple les mines d’uranium exploitées par Areva au Niger –
l’on ne peut pas être surpris par le déploiement d’éléments du
Commandement des Opérations Spéciales (COS) au Sahel.
Mais ce que l’on ignorait, c’était l’ampleur des moyens engagés.
Selon le Figaro,
une centaine de militaires français des forces spéciales y seraient
actuellement présents et leurs effectifs pourraient être prochainement
renforcés par des commandos marine.
Leur mission, avance le quotidien, est de former quelques centaines
d’hommes de l’armée malienne pour reconquérir l’Azawad, la région qui
couvre le Nord-Mali, passée sous le contrôle d’al-Qaïda au Maghreb
islamique (AQMI), le mouvement Ansar Dine et les jihadistes du Mujao
(Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest).
Le dispositif français est complété par des avions de patrouille
maritime Atlantique 2 qui sillonnent les vastes étendues désertiques
avec leurs moyens de recueil de renseignements ainsi que par “système de
surveillance” basé au Niger.
Dans cette affaire, Paris n’entend pas jouer les premiers rôles et
préfére laisser l’initiative aux pays africains concernés, notamment
ceux de la Cédéao (Communauté économique des Etats de l’Afrique de
l’Ouest), qui peinent d’ailleurs à mettre sur pied une force militaire
appelée à être déployée au Mali.
“Il faut maintenant que les forces africaines s’organisent,
déterminent une feuille de route, le fassent en collaboration avec les
autorités françaises et nous appuierons logistiquement cette démarche” a
expliqué, la semaine passée, Jean-Yves Le Drian, le ministre français
de la Défense.
Cela étant, la France, qui compte 6 otages aux mains d’AQMI dans la
région, n’est pas la seule à être impliquée indirectement dans les
préparatifs visant à la reconquête du Nord-Mali. Le Royaume-Uni y est
également engagé et la coopération franco-britannique serait
“excellente” affirme Le Figaro. L’Allemagne et la Pologne devraient
fournir des moyens en matière de renseignement. De même que les
Etats-Unis, qui ont installé dans la région plusieurs bases discrètes
pour y surveiller les activités des groupes jihadistes, dans le cadre de
l’opération Creek Sand.
Quoi qu’il en soit, la situation dans l’Azawad, qui sera évoquée
cette semaine aux Nations unies, à New York, est un dossier urgent.
Toujours
d’après le Figaro,
qui cite des sources sécuritaires françaises, la région est en train de
devenir une nouvelle filière pour le recrutement de jihadistes
europées.
“Depuis quelques mois, des islamistes quittent la France ou d’autres
pays européens pour rejoindre le nord du Mali, une région où est
appliquée la charia, pour défendre la terre d’islam” a confié l’une
d’elles au quotidien. Et c’est lorsqu’ils reviennent du “Malistan”
qu’ils sont susceptibles d’être dangereux. “Le but est de ne pas les
laisser trop longtemps dans la nature, pour éviter une nouvelle affaire
Merah. Mais il est très difficile de leur mettre la main dessus car ils
jouent de la porosité des frontières dans la région et reviennent
souvent par le Sénégal” a-t-elle précisé.
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