شبكة الإستخبارات الإسلامية

How british intelligence build a case against Abou Qatada with lies of an algerian officer, infiltrated in the Londonistan


Most of the groups in London are british intelligence operatives front, and when the judges of the court understood that the case build against Abu Qatada were lies manufactured by british intelligence and his puppet Reda Hussaine on the photo, they decided to release Abu Qatada.


Reda Hussaine, known as 'the prostitute of the services' is one of the several puppets used by french-algerian intelligence services to create 'false islamic groups' such as ' GIA' networks in Europe.
Like 'Operation November 1950' (a zionist network of 'false islamic groups' conducted by NATO and general Larbi Belkheir (french and israel military officer) in Algeria during the 1990s) had shown, most of the 'groups' are pure imagination and paranoia developped by westerner intelligence services to justify and legalise the colonisation and the plundering of the Muslim countries...


Now Reda Hussaine is threatening british and french intelligence to give all the names of the operatives who organised the operations in Paris in 1995 and give all the names of british 'muslims' operatives in 'Al Qaeda' in the UK... 'War on terror does not exist', it is build on lies and deceptions manufactured by a minority of people in the US, UK and Israeli governments which aim to control the Middle East...
We are expecting revelations very soon, bombshells that will surely destabilise UK and French governments...



le prédicateur islamiste Abou Qoutada a été libéré ce matin par les autorités britanniques. Une libération survenue sous caution et décidée pour éviter l’extradition vers la Jordanie de celui qu’on qualifie d’ambassadeur de Benladen en Europe.

Cette libération est un désaveu pour les services britanniques de renseignements qui avaient utilisé durant de longues années, Reda Hassaïne, un algérien qui a travaillé pour le compte de plusieurs services de renseignements comme indicateur.


Envoyé par les services secrets algériens (DRS) à Londres pour récupérer des fonds et du matériel au profit du GIA dont ils voulaient faire de lui un émir, Réda Hassaïne a refusé de s’empêtrer dans une aventure qu’il n’arrivait pas à s’expliquer. Le DRS et le GIA lui apparaissent comme deux faces d’une même pièce. Pour fuir ses officiers traitant du DRS il a fait de la capitale britannique son refuge avant de s’embarquer dans une périlleuse aventure qui lui fait découvrir le monde du renseignement à travers son infiltration des services secrets français, britanniques et l’antenne du DRS à Londres.

Agent triple, il a perdu toute crédibilité aux yeux de ses manipulateurs. Dans le jargon du renseignement il était "la pute des services". Néanmoins, après plus d'une dizaine d'années de collaboration avec les services britanniques qui ont fait de lui leur mouchard numéro un dans les milieux islamistes,la citoyenneté britannique lui a été accordée pour « services rendus ».

Journaliste et collaborateur dans plusieurs magazines et chaînes de télévision, Réda Hassaïne publiera prochainement son témoignage sur la manipulation du GIA par les services secrets algériens. Une véritable bombe qui ne manquera pas de faire réagir les organisations internationales de défense des droits de l’homme.

Selon la chaîne satellitaire Al-Arabiya, le prédicateur londonien Abou Koutada, de son vrai nom Omar Abou Omar, chef présumé d’Al-qaeda en Europe est libérable dans les prochaines 24 heures. Sa libération est soumise à certaines conditions dont les plus essentielles sont les suivantes :
Interdiction de quitter son domicile sans autorisation. Il ne lui est permis qu’une heure de sortie par jour.
Interdiction de contacter les dirigeants d’Al-qaeda dont Ben Laden et Azawahiri
Interdiction de prêcher dans les mosquées ou de diriger la prière.

Il est à rappeler que Abou Qoutada a été arrêté en août 2005. L’un de ceux qui se targuent d’avoir été à l’origine de son arrestation est Réda Hassaïne, un algérien qui a travaillé comme agent délateur pour le compte de plusieurs services de renseignements étrangers dont notamment, le DRS algérien, la DGSE française, les services britanniques le MI 5 et Scotland Yard. Ce qui lui a valu le surnom de « pute des services » comme se font appeler les agents qui émargent chez plusieurs services.

Réda Hassaïne a demandé, à la DGSE, l’obtention de la nationalité française en contrepartie des renseignements fournis sur les milieux islamistes à l’occasion de l’organisation de la coupe du monde de football en 1998 dans l’hexagone. Une demande refusée puisqu’il a du se contenter de quelques billets de banque qu’il qualifiait de minables et qui ne lui assuraient même pas le paiement d’un mois de loyer. Il accusera, alors, les services français d’avoir voulu enlever à Londres Abou Hmaza El-Misri. Une accusation rfeutée dans les colonnes du quotidien Le Figaro.

Avec les britanniques, Réda Hassaïne a été plus heureux, puisque après plus d’une dizaine d’années d’attente il a réussi, finalement, à obtenir la nationalité britannique.
Quant aux services algériens, Hassaïne leur réclame le paiement d’indemnité de plusieurs années ignorant qu’un agent délateur n’a pas de salaire fixe. D'autant plus qu'il avait été utilisé comme indicateur dans les milieux islamistes. Mais, Reda Hassaïne qui a été chargé d'infiltrer les réseaux islamistes en Algérie et en Grande Bretagne en accomplissant quelques missions, estime qu'il avait droit à une rémunération mensuelle. Chose qui n'existe nullement dans le monde du renseignement où les délateurs et les indicateuirs sont payés à la pièce.

La libération de Abou-Qoutada mettra, certainement, Reda Hassaïne dans tous ses états lui qui croyait s’être débarassé de ce prédicateur qui aurait lancé à son encontre une fetwa pour sa liquidation physique.




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