شبكة الإستخبارات الإسلامية

La France sous tres haute surveillance satellitaire suite aux dernieres revelations d''Operation November 1950'


Nous informons nos lecteurs qu'a la suite des revelations sur les preparatifs d'operations 'bombes sales' sous fausse banniere en Europe, plusieurs pays ont mis la France et l'Allemagne sous tres haute surveillance satellitaire. Selon plusieurs sources, des clans francais au sein de la gendarmerie nationale et l'armée auraient mis en place une structure ultra secrete chargée d'enqueter, identifier et de neutraliser les éléments, a l'interieur de la police, des services interieurs de renseignements, de la diplomatie, impliqués dans ces operations de tres grandes envergures.


Les russes auraient demandé un appui total et une collaboration sans faille des services sous controle sarkosystes dans les recherches sur la base d'informations corroborées. Sarkosy, pris de panique, aurait nié etre impliqué dans des operations, son second Squarcini ordonna la libération des otages autrichiens aux mains de la DST de peur que les russes ne mettent leurs menaces a execution. Les services allemands ont été également sollicités et le responsable des services allemands a éte obligé d'apporter un dementi officiel. Sarkosy et son equipe de pantins sionistes seraient directement menacés par la cellule spéciale...


Plusieurs pays auraient menacé les gouvernements francais, allemands et britanniques de severes represailles en cas d'attentats. Dans le meme temps Squarcini, responsable de la DCRI (Direction Centrale de la Racaille Israelienne) tente de mettre au pas toute opposition sur le territoire, apres les echecs des 'emeutes islamistes' prévues dans les banlieues, et celle de 'l'Operation Hassani' suites aux révélations d''Operation November 1950'.


Squaricini ayant monté de toute piece le sabotage des TGV afin de neutraliser et réduire tout mouvement politique contestataire, consequement a la plus grave crise economique que l'occident connait depuis pres d'un demi siecle. Une crise qui provoquera des emeutes et le chaos dans toute l'Europe tant les peuples du continent ont éte abusé par leurs élites sionisées a l'extreme, qui pensaient qu'en lancant de nouvelles croisades au Moyen Orient, leurs problemes economiques systémiques disparaitraient.


Des informations seront diffusées dans les prochaines semaines détaillant l'implication de Sarkosy et son gouvernement dans le cadre d'operations terroristes destinées a soutenir la politique d'Israel.
Sarkosy tu vois qu'encore une fois ni toi ni personne n'etes capables de nous arreter... Tu es un 'pantin aux mains des islamistes' et tu sais que tous ceux en France, en Europe, qui ont du sang sur les mains paieront, c'est la promesse que nous avons faite a nos familles...


A bon entendeur Salaam,


Abu Suleyman


DCRI : UNE NOUVELLE POLICE SECRÈTE SE MET EN PLACE DCRI :


Ce n’est pas être paranoiaque que de prédire que cette nouvelle police secrète va devenir une officine au service des machinations du pouvoir en place… il suffit de se pencher sur l’histoire de France pour voir que, ces 150 dernières années, il n’y a jamais eu de police “secrète” en France qui n’ait été avant tout un outil pour éliminer les menaces “politiques” au pouvoir en place. Le terrorisme n’est qu’un épouvantail… ce qui est visé derrière lui, c’est la démocratie, la libre expression, l’état de Droit


Et comme par hasard, ce développement est pensé et initié par des gens comme Bauer, Raufer ou Knobel, dont le parcours politique et intellectuel montre qu’ils n’ont jamais été des partisans de la liberté d’expression.


Quand on est un autocrate donneur de leçon, sûr de son bon droit, ancien élève de l’école des cadres trotskiste passé au néo-conservatisme, on n’aime pas avoir à se soumettre à une opinion démocratique.


La naissance d’une police «secret défense», dans l’indifférence[ Erich Inciyan -Mediapart.fr - 07/11/2008]


Il y a peu, les «carnets noirs» d’Yves Bertrand et le fichier Edvige ravivaient le spectre de la police secrète. Dans le même temps, un service policier totalement couvert par le «secret défense» était créé, fin juin, au ministère de l’intérieur. Cette Direction centrale du renseignement intérieur concentre les dossiers jusqu’alors divisés entre les RG et la DST. Elle s’intéresse notamment aux «phénomènes de société susceptibles, par leur caractère radical, leur inspiration ou leurs modes d’action, de porter atteinte à la sécurité nationale». Mais ses premiers pas n’ont suscité aucun débat.


Pareille absence de curiosité tient sans doute à l’extrême opacité dans laquelle évolue cette DCRI voulue par Nicolas Sarkozy. Tout y est couvert par le «secret de la défense nationale»: ses activités, ses moyens d’action interdits au commun des administrations, son mystérieux fichier Cristina, ses personnels et son organigramme, etc. Faut-il préciser que cette police de l’ombre travaille ainsi, très largement, à l’abri des investigations parlementaires, judiciaires et journalistiques?



D’un décret, d’un seul, le champ de la police secrète à la française a été considérablement élargi. Physiquement, pour commencer. La DCRI a accueilli le gros des effectifs des Renseignements généraux et de la Direction de la surveillance du territoire (tous deux disparus dans l’opération). Combien sont les agents du nouveau service? 3.300 fonctionnaires, comme l’affirme une source interne, ou 4.000, selon un communiqué du ministère de l’intérieur?



La question n’a rien d’anodin. Jusqu’alors, seul le «vrai» service secret de la police française (la DST et ses 1.700 agents) fonctionnait en effet sous le sceau du «secret défense», au nom de ses missions de contre-espionnage. Les fonctionnaires des RG n’étaient soumis, eux, qu’au devoir de réserve ordinairement imposé aux policiers. Au bas mot, les troupes de la police de l’ombre ont donc doublé. On se souvient alors des mots du fondateur de la DST, Roger Wybot, qui avait imposé le «secret défense» afin de mettre ses agents «à l’abri de toutes les indiscrétions et inquisitions administratives, parlementaires et autres».



Autre nouveauté, et de taille, de la présente réforme: la DCRI centralise l’intégralité des dossiers du renseignement policier. Du jamais vu en France! Les concepteurs de la réforme ont braqué les projecteurs sur la nécessité de supprimer les «doublons» et les missions qui, entre RG et DST, se chevauchaient. Mais la «modernisation» va beaucoup plus loin! La simple lecture du décret fondateur de la DCRI en donne une première idée: le nouveau service est chargé de «lutter, sur le territoire de la République, contre toutes les activités susceptibles de constituer une atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation».



Dans sa corbeille, la nouvelle police a reçu quatre types de missions d’une ampleur et d’une variété assez phénoménales. Primo, le contre-espionnage (surveiller les espions venus des pays étrangers). Secundo, la lutte contre le terrorisme et la protection du patrimoine économique. Tertio, le contrôle des communications pouvant porter atteinte «à la sûreté de l’Etat» et la surveillance de la cybercriminalité. Grosso modo, la DST assurait déjà ces trois missions. Mais le quarto constitue l’avancée la plus marquante: la DCRI surveille «les individus, groupes, organisations [ainsi que les] phénomènes de société, susceptibles, par leur caractère radical, leur inspiration ou leurs modes d’action, de porter atteinte à la sécurité nationale».



La violence en ligne rouge, que les «phénomènes de société» soient légitimes ou pas



Du côté de la DCRI, on se montre évidemment rassurant. La lutte antiterroriste constitue «le cœur de cible» du nouveau service, avec la «menace radicale islamiste» (sunnite, chiite, ou par zones géographiques) en priorité des priorités. «Il ne s’agit pas de s’intéresser aux cinq millions de musulmans qui vivent en France, mais au petit noyau qui va se radicaliser et porter préjudice à l’immense majorité de la communauté», ajoute-t-on de même source. Seront prioritairement ciblés les islamistes radicaux partant faire le Jihad armé à l’étranger (Afghanistan ou Irak) puis revenant en France. D’autres mouvements étrangers potentiellement violents, comme les Tigres tamouls sri-lankais, sont maintenus sous surveillance, tout comme ceux relevant de risques terroristes «internes» ou «séparatistes». A savoir les Basques (français ou espagnols), ou les Corses, qui seront visés dans la mesure où ils en viennent à utiliser la violence pour se faire entendre.


Dans sa ligne de mire, le nouveau service a aussi une nébuleuse plus problématique: les individus, mouvements et «phénomènes de société» pouvant recourir à la violence pour soutenir leurs revendications. Mais encore? Quels types de mouvements seront visés ? A partir de quel degré de menace éventuelle ? Il peut s’agir d’«anarcho-autonomes», qui se muent en «casseurs», ou de militants «anti-vivisection» prévoyant le saccage de laboratoires, répond-on de même source. (Lire la suite…)


Dimanche 16 Novembre 2008



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1 Comments

vidamenoir said…
bonjour,

chapeau bas quant à la pertinence de vos informations "sensibles",

cordialement

richard pellegrin (administrateur du blog à connotation géopolitique : http://revelations4.blogs.fr, adresse courriel : r.pellegrin@yahoo.fr)