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Guerre civile en France : Apres Merkel, les helvetes fracassent Sarkozy

Apparement, les suisses vivent mal le fait que l'Allemagne et la France se battent pour recuperer leur morceau de Gruyere Suisse, apres la Belgique, ca la fait pas, ils en sont convaincus, la Suisse est la proie de predateurs franco-allemand. La Suisse etant le repere de terroristes de la France-Israel-Afrique, Sarkozy a voulu y prendre le controle total, mais c'etait sans compter sur les autres partis politiques tous aussi corrompus et pourris les uns que les autres. Les helvetes ont donc negocié avec les partis politiques et en sont venus a la conclusion que le depart de Sarkozy etait preferable pour tout le monde, la prise de controle de l'Oreal sera negociée plus tard pour ne pas servir d'alibi a Sarkozy. Revers de baton, mais Merkel a recu le meme traitement, sauf que Merkel s'appuit sur le tocard de Freyssinger et les evangelistes germanophones ultra-racistes sionistes pour continuer le travail de sape et de division, des fois que les islamo-bamboulas ne prennent toutes les banques suisses.


Sarkozy, lui a cru bon intimider avec ses listings de la DGSE et ses 3000 noms... 3000 clients potentiels pour le financement de sa campagne de 2012, vous payez et on oublie l'affaire... Gourmand le nain de jardin, il s'en mord les doigts ! Au plus mal, Sarkozy ressemble a Domenech, qu'il a lui meme pris plaisir a manipuler et detruire, il connait la fin de l'histoire ! Seul bibi peut lui sauver la mise en declenchant une guerre ou des attentats a la bombe sale en France... Mais ca c'est pour la suite !

Geneve est egalement la place ou la DST et le gouvernement francais sont poursuivis pour genocide en Algerie, dans le cadre des scandales des GIAs, avec Madrid, La Haye et Strasbourg maintenant. Une thermo-bombe qui declenchera la chute de la republique sans que personne sur cette planete n'y trouve a y redire quoi que ce soit, c'est pas faute d'avoir essayé Sarkozy!


Il faudra plus que les clefs du coffre-fort d'Ali Bongo au Congo pour etre re-elu, d'autant que les algeriens financent ouvertement Villepin et Royal. Comme Blair, Sarkozy devra mendier chez les Rotchield a Londres et compter sur la mafia juive sioniste russe, qui a beaucoup de comptes en Suisse. Difficile fin de regne, Chirac s'est bien mieux debrouillé !


Abu Suleyman


Démission : Et pourquoi pas Sarko ?

6 juillet 2010 (Nouvelle Solidarité) — Depuis le début de l’affaire Bettencourt, on se demande au sein de la Rédaction S&P, pourquoi on se focalise sur Eric Woerth et non sur Sarko.

Depuis le départ, notre cher Président de la République est impliqué. Interrogé par l’actionnaire majoritaire de L’Oréal sur l’avancée de l’affaire qui l’oppose à sa fille, son éminence grise Patrice de Maistre répond : « Je n’ai qu’une indication. C’est que j’ai vu, euh, l’ancien conseiller de Nicolas Sarkozy pour les affaires juridiques et judiciaires, Patrick Ouart, qui n’est plus à l’Elysée mais qui n’a pas été remplacé et qui travaille chez Bernard Arnault, et qui m’aime beaucoup. Et il a voulu me voir l’autre jour et il m’a dit, M. de Maistre, le président continue de suivre ça de très près… (…) Et en première instance, on ne peut rien faire de plus, mais on peut vous dire qu’en cour d’appel, si vous perdez, on connaît très, très bien le procureur. »

Et pourtant, tout s’est focalisé sur notre ministre du Budget. Bizarre, non ?

Heureusement, ce malheureux oubli semble en voie d’être réparé par les dernières déclarations de l’ex comptable de la milliardaire, Claire T. Elle raconte sur MediaPart : « C’était à la fin du mois de mars 2007. Patrice de Maistre, qui était devenu celui qui "s’occupait" des politiques du fait de la maladie de Dédé [André Bettencourt], m’a convoqué pour me demander d’aller retirer à la banque une somme trois fois supérieure à l’habitude, à savoir 150.000 euros. J’ai refusé, en expliquant que mon accréditif ne me le permettait pas. Il s’est énervé, en me disant que la banque ne nous refuserait pas ce service. Je lui ai demandé la raison pour laquelle il lui fallait absolument récupérer un tel montant, et là, il m’a répondu : "Mais enfin, c’est pour financer la campagne présidentielle de Sarkozy ! Je dois donner de l’argent à celui qui s’occupe du financement de la campagne, Eric Woerth. Et 50.000 euros, ce n’est pas suffisant". »

Claire T. reprend son récit : « Malgré l’insistance de Maistre, qui a quasiment piqué une crise de nerfs, j’ai refusé. Je me souviens même avoir appelé Eva, mon interlocutrice à la BNP de la Place Vendôme, l’agence où Liliane Bettencourt a son compte principal, pour lui demander son avis. Je ne lui ai pas parlé du financement de Sarkozy, mais elle a bien compris… Elle m’a dit que je devais refuser, qu’il ne fallait pas que je dépasse mon accréditif, sinon cela risquait d’alerter Tracfin [le service anti-blanchiment de Bercy, NDLR MédiaPart]. Donc je me suis rendue comme d’habitude avenue de la Grande-Armée, j’ai retiré 50.000 euros, que j’ai remis à Liliane Bettencourt, qui a ensuite donné l’enveloppe à Maistre, devant moi. Et j’ai rempli le carnet de caisse, avec, en regard de la somme, la mention « Bettencourt », que j’ai écrite moi-même. Je faisais toujours comme ça lorsqu’il s’agissait de l’argent destiné aux politiques, car il ne fallait pas de trace écrite. Si Liliane Bettencourt leur donne les carnets de caisse, les policiers pourront vérifier mes dires. Je me souviens de la date de ce retrait destiné à la campagne de Sarkozy : c’était le 26 mars 2007 ».

Plus loin, elle résume : « Nicolas Sarkozy recevait aussi son enveloppe, ça se passait dans l’un des petits salons situés au rez-de-chaussée, près de la salle à manger. Ca se passait généralement après le repas, tout le monde le savait dans la maison. Comme M. et Mme Bettencourt souffraient tous les deux de surdité, ils parlaient très forts et de l’autre côté de la porte, on entendait souvent des choses que l’on n’aurait pas dû entendre. Encore une fois, tout le monde savait dans la maison que Sarkozy aussi allait voir les Bettencourt pour récupérer de l’argent. C’était un habitué. Le jour où il venait, lui comme les autres d’ailleurs, on me demandait juste avant le repas d’apporter une enveloppe kraft demi-format, avec laquelle il repartait. Je ne suis pas stupide quand même, inutile de me faire un dessin pour comprendre ce qu’il se passait… ».

Bref, il serait peut-être temps d’arrêter de parler d’affaire Woerth…

…d’autant que ça fait tache au milieu de l’affaire Karachi (encore une affaire de grosses coupures)…

Il y en a qui ont dû prendre la porte pour moins que ça. Parfois juste pour incompétence face à la crise financière…

http://www.solidariteetprogres.org/article6797.html

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