Des services secrets israéliens impliqués dans l'occupation de l'Irak
par Christopher Bollyn
Alors que le Congrès et le président débattent d'augmenter ou pas le bourbier irakien, le fait fondamental, évité par les porte-parole du gouvernement grâce à la pression du contrôle sioniste, est que l’occupation de l'Irak est la guerre en Irak, et vice-versa. C'est-à-dire que la soi-disant guerre en Irak n'est rien d’autre que la violence associée à l’occupation militaire US. Quand les armées étrangères et leurs collaborateurs partiront d'Irak, la guerre finira. C’est aussi simple. Les occupations illégales de l'Irak et de l'Afghanistan, comme l’occupation sioniste de la Palestine, sont de continuels actes de guerre et d'agression qui provoquent et alimentent le conflit. Les mouvements de résistance populaires contre l’occupation illicite sont dans chaque pays les réponses normales et légitimes.
Bien que cela soit rarement décrit en ces termes dans les médias, les Étasuniens comprennent clairement que la très cruelle occupation de l'Irak est la cause sous-jacente du conflit qui ravage cette nation depuis l’invasion US en mars 2003. Les récents sondages de l'opinion publique (décembre 2006) constatent que soixante-dix pour cent du public US voulait que le nouveau Congrès fasse pression sur la Maison Blanche pour commencer le retour des troupes à la maison dans les six mois. Presque 80 pour cent du public US appuie pour un retrait de pratiquement toutes les troupes US d'Irak d'ici à 2008 et pour engager des négociations avec l'Iran et la Syrie.
Avant le discours présidentiel sur l'Irak, Tony Snow, secrétaire de presse de la Maison Blanche, a déclaré que la décision du président ne sera pas infléchie par les sondages de l'opinion publique. Le commentaire de Snow indiquait que l'administration Bush espérait « faire revenir le public » à la guerre extrêmement impopulaire. « Le président ne façonnera pas la politique en fonction de l'opinion publique, mais il comprend qu'il est important de ramener le public à cette guerre et de restaurer la confiance publique et son soutien pour la mission, » déclarait Snow le 9 janvier.
Les Étasuniens veulent sortir de l’Irak
« Les dispositions des étasuniens sont absolument évidentes, » écrivait le Professeur Adel Safty dans un article récent. « Ils veulent la fin de la guerre en Irak. » En Irak, plus de 90 pour cent du public veut que les troupes US rentrent immédiatement et un pourcentage équivalent indique qu’ils [les irakiens] étaient de loin mieux sous Saddam Hussein. Une récapitulation des histoires récentes du plus populaire journal irakien, Azzaman, révèle pourquoi la grande majorité du public irakien est aussi fortement opposée à l’occupation US :
4 décembre 2006
Bagdad, transformé en ville violente, est maintenant presque totalement à la merci des féroces milices et des bandits armés qui ont pris la loi dans entre leurs propres mains. Les kidnappings et les assassinats se déroulent à une échelle jamais vue avant et les USA et les troupes irakiennes sont pratiquement impuissants à restaurer une quelconque apparence d'ordre partout dans la ville. En fait, la majeure partie des massacres dans la ville demeure non signalée et le monde voit seulement une fraction des atrocités quotidiennes.
23 décembre 2006
Les seuls individus soutenant l’envoi de plus de troupes sont les noyaux durs sionistes, comme Frederick Kagan, l’un des premiers planificateurs israéliens qui ont fortement poussé pour la guerre contre l'Irak. Fred est, avec son père, Donald, et son frère, Robert, parmi les signataires du document de 2000 « Projet pour le Nouveau Siècle US », qui exigeait précisément l'agression US contre l'Irak. « Éliminer Saddam Hussein et son régime du pouvoir, » écrivaient Robert Kagan et tous les autres néo-conservateurs au Président Clinton en janvier 1998, « … nécessite de devenir l’objectif de la politique étrangère US. » Fred, le frère de Robert, dit maintenant au président d'envoyer plus de troupes dans le bourbier irakien : « Nous avons besoin d'une poussée durable [des troupes] parce que nous devons garder à l'esprit que nous faisons face à un ennemi qui s'adapte à notre stratégie, » disait Kagan, un érudit permanent de l'American Enterprise Institute. « Si nous faisons une poussée brève ils nous attendront juste dehors. Nous devons pousser pendant au moins 18 mois. »
Le 10 janvier 2007 : Zionist Occupation of Iraq
Traduction de Pétrus Lombard
par Christopher Bollyn
Le Général Mark Kimmitt en Irak avec son maître d’œuvre sioniste, Dan Senor
Les sionistes utilisent les stupides militaires US pour détruire le gouvernement irakien. Pendant ce temps, les sionistes obtiennent le contrôle des ressources irakiennes et ils tuent tranquillement les Irakiens gênants, comme ceux qui sont réfléchis ou ceux qui possèdent des connaissances utiles. Les sionistes répertorient et tuent aussi les Irakiens qui tentent de devenir policiers. La « reconstruction » de l'Irak est un canular. Les sionistes qui ont pris la direction, ne reconstruisent pas. Les étasuniens sont été dupés encore et encore.
Alors que le Congrès et le président débattent d'augmenter ou pas le bourbier irakien, le fait fondamental, évité par les porte-parole du gouvernement grâce à la pression du contrôle sioniste, est que l’occupation de l'Irak est la guerre en Irak, et vice-versa. C'est-à-dire que la soi-disant guerre en Irak n'est rien d’autre que la violence associée à l’occupation militaire US. Quand les armées étrangères et leurs collaborateurs partiront d'Irak, la guerre finira. C’est aussi simple. Les occupations illégales de l'Irak et de l'Afghanistan, comme l’occupation sioniste de la Palestine, sont de continuels actes de guerre et d'agression qui provoquent et alimentent le conflit. Les mouvements de résistance populaires contre l’occupation illicite sont dans chaque pays les réponses normales et légitimes.
Bien que cela soit rarement décrit en ces termes dans les médias, les Étasuniens comprennent clairement que la très cruelle occupation de l'Irak est la cause sous-jacente du conflit qui ravage cette nation depuis l’invasion US en mars 2003. Les récents sondages de l'opinion publique (décembre 2006) constatent que soixante-dix pour cent du public US voulait que le nouveau Congrès fasse pression sur la Maison Blanche pour commencer le retour des troupes à la maison dans les six mois. Presque 80 pour cent du public US appuie pour un retrait de pratiquement toutes les troupes US d'Irak d'ici à 2008 et pour engager des négociations avec l'Iran et la Syrie.
Avant le discours présidentiel sur l'Irak, Tony Snow, secrétaire de presse de la Maison Blanche, a déclaré que la décision du président ne sera pas infléchie par les sondages de l'opinion publique. Le commentaire de Snow indiquait que l'administration Bush espérait « faire revenir le public » à la guerre extrêmement impopulaire. « Le président ne façonnera pas la politique en fonction de l'opinion publique, mais il comprend qu'il est important de ramener le public à cette guerre et de restaurer la confiance publique et son soutien pour la mission, » déclarait Snow le 9 janvier.
Les Étasuniens veulent sortir de l’Irak
« Les dispositions des étasuniens sont absolument évidentes, » écrivait le Professeur Adel Safty dans un article récent. « Ils veulent la fin de la guerre en Irak. » En Irak, plus de 90 pour cent du public veut que les troupes US rentrent immédiatement et un pourcentage équivalent indique qu’ils [les irakiens] étaient de loin mieux sous Saddam Hussein. Une récapitulation des histoires récentes du plus populaire journal irakien, Azzaman, révèle pourquoi la grande majorité du public irakien est aussi fortement opposée à l’occupation US :
4 décembre 2006
Bagdad, transformé en ville violente, est maintenant presque totalement à la merci des féroces milices et des bandits armés qui ont pris la loi dans entre leurs propres mains. Les kidnappings et les assassinats se déroulent à une échelle jamais vue avant et les USA et les troupes irakiennes sont pratiquement impuissants à restaurer une quelconque apparence d'ordre partout dans la ville. En fait, la majeure partie des massacres dans la ville demeure non signalée et le monde voit seulement une fraction des atrocités quotidiennes.
14 décembre 2006
Presque la moitié des Irakiens capables de travailler sont désœuvrés, disait le ministre du travail et des affaires sociales. Mohamed Radhi a déclaré que le taux élevé de chômage était dévastateur dans un pays déchiré par des contestations sectaires et la violence.
12 décembre 2006
Au moins huit enfants sont morts et sept femmes ont eu des fausses couches dans la ville Al-Sinya assiégée pendant plus de 50 jours par les troupes d’invasion US. Sinya est près de Baiji, l’un des bastions anti-US notables du pays. Les presque 50.000 habitants de la ville sont maintenant sans eau courante et les approvisionnements alimentaires se tiennent dangereusement bas. Mais les occupants semblent être déterminés à continuer avec leur punition de masse et ils refusent les convois d'aide. L'accès à la maternité de l'hôpital est refusé aux femmes enceintes à Baiji et beaucoup d'autres risquent maintenant une fausse couche.
23 décembre 2006
Trois étudiantes de l'université de Mustansiriya ont été enlevées, violées, puis tués, et leurs corps mutilés sont passés à la morgue de Bagdad. Cet horrible crime a beaucoup choqué à Bagdad et il a déchaîné encore une autre vague de terreur dans de la population irakienne d’un quartier d’habitations de la ville déchiré par la violence. « C'est une nouvelle indication horrifiante que le niveau du crime et de la violence prend des proportions sans précédent en Irak, » a dit le groupe dans une déclaration.
3 décembre 2006
Un nouveau sondage d'opinion suggère que plus de la moitié des Irakiens connaissent l'existence de drogues illicites et savent comment s’en procurer. 81 pour cent ont déclaré qu’il n'était pas difficile d'acheter des drogues alors que seulement 18 pour cent disaient qu’ils n'avaient aucune idée de leur existence. La plus s'inquiétante pour le chercheur a été l'utilisation élevée de drogues illégales dans le groupe d'âge des 15 à 20 ans. Il a dit que 46 pour cent des jeunes de ce groupe ont déclaré utiliser régulièrement des drogues alors que leur usage diminue radicalement dans les groupes plus âgés.
Des 109 personnes masculines étudiées, 92 pour cent ont indiqué qu'ils achetaient diverses drogues et des pilules hallucinogènes alors que seulement 2 pour cent des 97 personnes féminines de l'étude ont déclaré les employaient. Les résultats du sondage, en dépit du petit nombre de sondés, est la preuve d’une poussée dans l'utilisation des drogues dans un pays qui avait le nombre le plus bas de consommateurs de drogue au Moyen-Orient avant l'invasion US de 2003. (Source : http://www.azzaman.com/english)
Le désastre planifié
Ces rapports révèlent l'anarchie et le chaos produits par l’occupation US en Irak. Des résultats pareillement désastreux peuvent seulement s'appeler des échecs, à toute mesure -- à moins, bien sûr, que la création de l'instabilité et de la misère largement répandues soit dans l'intention de la puissances occupante. Bien que cela puisse sembler incroyable, l'évidence suggère que ce soit effectivement le cas. Avec d’écrasantes majorités en Irak et aux USA exigeant la fin de l’occupation US, pourquoi nos responsables élus envisagent-ils d’envoyer davantage de troupes ?
Les seuls individus soutenant l’envoi de plus de troupes sont les noyaux durs sionistes, comme Frederick Kagan, l’un des premiers planificateurs israéliens qui ont fortement poussé pour la guerre contre l'Irak. Fred est, avec son père, Donald, et son frère, Robert, parmi les signataires du document de 2000 « Projet pour le Nouveau Siècle US », qui exigeait précisément l'agression US contre l'Irak. « Éliminer Saddam Hussein et son régime du pouvoir, » écrivaient Robert Kagan et tous les autres néo-conservateurs au Président Clinton en janvier 1998, « … nécessite de devenir l’objectif de la politique étrangère US. » Fred, le frère de Robert, dit maintenant au président d'envoyer plus de troupes dans le bourbier irakien : « Nous avons besoin d'une poussée durable [des troupes] parce que nous devons garder à l'esprit que nous faisons face à un ennemi qui s'adapte à notre stratégie, » disait Kagan, un érudit permanent de l'American Enterprise Institute. « Si nous faisons une poussée brève ils nous attendront juste dehors. Nous devons pousser pendant au moins 18 mois. »
Le chaos de conception sioniste
Les néo-conservateurs ont toujours considéré qu’un Irak stable et fonctionnant bien était une menace à leur conception du Moyen-Orient, a écrit Abbas J. Ali, Professeur de l'université de l'Indiana, dans son récent article « Cibler les sadristes, viser l'Irak. » Michael Ledeen, le stratège néo-conservateur, dit que l'instabilité du Moyen-Orient est l'état politique préféré parce qu'il facilite le contrôle US sur la région. « La stabilité est indigne d’une mission US et, par dessus le marché, un concept fallacieux, » disait Ledeen. « La véritable question n'est pas si [l’on doit déstabiliser], mais comment déstabiliser. »
Après trois ans d’occupation US, la vie des Irakiens est devenu extrêmement instable, malheureuse, et désespérée. Les Irakiens quittent le pays en masse. La misère largement répandue en Irak a-t-elle été créée à dessein -- à dessein sioniste -- comme le suggère le commentaire de Ledeen ? Quand nous considérons que Simone, la fille de Ledeen, est allée à 28 ans en Irak en automne 2003 comme conseillère au ministère des finances du gouvernement d’occupation à Bagdad, et qu’elle a joué un rôle clef dans l’établissement du régime des collaborateurs, la réponse semble évidente. [Dans sa rubrique] « In short order », le Washington Post a rapporté que, « six des nouvelles embauches de jeunes (celle de Ledeen comprise) se sont retrouvées à gérer le budget de 13 milliards de dollars du pays, prenant des décisions qui affectaient des millions d'Irakiens. »
Le terrorisme « hautement sophistiqué »
Un article récent de Azzaman (du 13 décembre 2006), confirme le soupçon qu'une grande partie du chaos et du carnage était effectué par des services secrets étrangers et leurs agents -- et non par des Irakiens : Chez les leaders du mouvement Sadriste au parlement existe la grande crainte que leurs disciples soient visés. Ils croient que l'appel pour la poussée des troupes étrangères à Bagdad aille au-delà de l'intimidation. Les troupes étrangères, arguent-ils, ne dirigeront pas leur puissance contre les terroristes.
Leurs craintes ont été renforcées depuis que des experts de la sécurité du gouvernement ont découvert que les bombes à Sadr City le 23 novembre et celle qui a suivi deux semaines plus tard au Cercle Al-Tayrin au centre de Bagdad, qui ont massacré des partisans sadristes, étaient faites de matériaux hautement sophistiqués auxquels n'ont accès ni les terroristes étrangers ni les groupes irakiens, qui n’auraient pas les connaissances pour les assembler. L'évidence montre qu'une grande partie des bombardements et des carnages en Irak occupé sont faits en réalité par des services secrets étrangers. Par exemple, deux agents britanniques déguisés en miliciens chiites ont été capturés à Bassora en automne 2005 avec une voiture pleine d’explosifs et de détonateurs après qu'ils aient rabattu une foule de manifestants en tirant dessus. Pris par la police irakienne, l'armée britannique a pris des mesures extrêmes en aplatissant au bulldozer la prison pour obtenir la libération des faux terroristes chiites avant qu'ils puissent être interrogées et accusés du crime de terrorisme. Voir : Bollyn-Balkanize_Iraq.html
L’occupation sioniste
La phase de gestion de la désastreuse occupation de l'Irak est [dirigée] à haut niveau par des agents sionistes en liens étroits avec Israël. Ces agents supérieurs, avec des liens évidents à l'État d'Israël, ont joué un rôle clef en guidant (ou en égarant) depuis le début les USA qui mènent la guerre et l’occupation. Il devrait être noté qu’Israël est en situation de guerre avec l'Irak depuis que l'État sioniste a été établi en 1948. Les USA utilisant sciemment des agents israéliens hostiles et ennemis pour planifier et établir l’occupation militaire en Irak, cela indique que l’occupation est, en fait, de conception sioniste.
Dans ce cas, la motivation de créer le chaos et le carnage largement répandus est tout à fait évidente -- c'est simplement une partie de l'ordre du jour sioniste, la déstabilisation et le démembrement de l'Irak tout en s’emparant de ses capitaux et de ses ressources stratégiques par des magouilles de vols et de privatisations.
Tandis qu'il existe certainement une masse d'agents sionistes anonymes impliqués dans l'agression et l’occupation de l'Irak, des étasuniens comme Simone Ledeen, avec des liens documentées à Israël détenaient des positions à haut niveau lors de l'établissement de l'autorité de l’occupation. La compréhension de leurs liens à l'état d'Israël explique pourquoi l’occupation a été un désastre total pour la nation irakienne et son peuple.
Daniel Samuel Senor
Durant la phase initiale de la guerre en Irak, jusqu'au 1er mai 2003, Dan Senor était à 31 ans directeur du Centre d'Information de la Coalition au QG de CENTCOM au Qatar. Plus tard, Senor a servi de conseiller supérieur à L. Paul Bremer III, administrateur de l'Autorité Provisoire de la Coalition (CPA), qu'il a conseillé sur diverses questions de politique et de communications.
Senor, certainement l’un des agents le plus hauts placés d'Israël pendant la guerre, est allé à Bagdad en mi-avril 2003 où il est resté comme autorité à haut niveau de la CPA jusqu'à juin 2004, quand Bremer s’est secrètement rapidement envolé du pays. Alors que la biographie de Senor, sur le site Internet de la Maison Blanche, révèle qu'il a obtenu un diplôme à l'université de l'Ontario occidental et à l'université hébraïque de Jérusalem, elle n'indique rien au sujet de ses parents. C'est une décision prudente pour dissimuler les liens de la famille Senor avec Israël. Dan est le fils de Helen et du défunt James M. Senor, qui a été élevé à Cleveland.
Née tchécoslovaque, Helen Senor habite Toronto où elle a travaillé pendant 26 ans comme secrétaire du général consul israélien. « Pendant 26 ans, je me suis sentie comme habitant en Israël cinq jours par semaine. Je suis entourée par des israéliens et la langue hébraïque, et tous les soucis sont au sujet d’Israël, » déclarait-elle. Elle a dit à la presse juive qu'elle et son défunt mari étaient d’ardents sionistes. Elle a deux enfants et deux beaux-fils, deux d’entre eux vivant en Israël. James était directeur national de la Société Canadienne pour l'Institut Weizmann de la Science. James travaillait auparavant à l'Agence Juive en Israël, l'organe central du réseau sioniste mondial. Avant de se déplacer à Jérusalem, dans les années 50 et 60, le plus ancien Senor était directeur du Centre de la Communauté Juive à Utica dans l’État de New York. À 22 ans Dan Senor était interne au Comité des Affaires Publiques d’Israël US (AIPAC), le lobby israélien à Washington. Sa sœur, Wendy Senor Singer, dirige le bureau de l’AIPAC à Jérusalem, et son beau-frère, Saul Singer, est rédacteur de droite au Jerusalem Post.
Née tchécoslovaque, Helen Senor habite Toronto où elle a travaillé pendant 26 ans comme secrétaire du général consul israélien. « Pendant 26 ans, je me suis sentie comme habitant en Israël cinq jours par semaine. Je suis entourée par des israéliens et la langue hébraïque, et tous les soucis sont au sujet d’Israël, » déclarait-elle. Elle a dit à la presse juive qu'elle et son défunt mari étaient d’ardents sionistes. Elle a deux enfants et deux beaux-fils, deux d’entre eux vivant en Israël. James était directeur national de la Société Canadienne pour l'Institut Weizmann de la Science. James travaillait auparavant à l'Agence Juive en Israël, l'organe central du réseau sioniste mondial. Avant de se déplacer à Jérusalem, dans les années 50 et 60, le plus ancien Senor était directeur du Centre de la Communauté Juive à Utica dans l’État de New York. À 22 ans Dan Senor était interne au Comité des Affaires Publiques d’Israël US (AIPAC), le lobby israélien à Washington. Sa sœur, Wendy Senor Singer, dirige le bureau de l’AIPAC à Jérusalem, et son beau-frère, Saul Singer, est rédacteur de droite au Jerusalem Post.
De 2001 à 2003, avant d'aller en Irak, Senor travaillait pour le groupe Carlyle. Le groupe Carlyle, l’une des plus grandes firmes à capitaux privés du monde, est étroitement lié à la famille Bush. Senor était aussi directeur de Échanges d’Affaires US-Israël. Senor était manifestement un agent sioniste bien placé, préparé pour contrôler l’occupation et l’OPA hostile sur les capitaux de l'Irak, mais il n'était pas seul.
Michael Paul Fleischer
L'OPA hostile sur des capitaux stratégiques de l'Irak était manifestement le plan sioniste depuis le début. Ce plan était de prendre la richesse de l'Irak en gérant la privatisation des usines et des ressources irakiennes. Les agents de cette intrigue ont été soigneusement choisis par l'administration Bush.
L. Paul Bremer, ancien PDG de Kissinger Associates, a été nommé Directeur de Reconstruction et de l'Aide Humanitaire de l'Irak d'après-guerre, le 6 mai 2003. Avant sa mission en Irak, Bremer était PDG président de Marsh Crisis Consulting, une firme de services d'assurance et de risques, filiale de Marsh & McLennan. Comme dirigeant de la CPA, Bremer avait complète autorité sur l'administration civile irakienne. Il a servi à cette fonction à partir du 11 mai 2003 jusqu'au 28 juin 2004, quand un gouvernement de marionnettes a été installé. La « triste performance » de la CPA dans l’amélioration de la qualité de vie des Irakiens sous son occupation était le résultat d'un « mélange toxique d’obsession idéologique et de copinage, » selon Paul Krugman du New York Times. « L'insurrection s’est enracinée durant les premiers mois de l’occupation, quand la CPA semblait étrangement désengagée des problèmes de l'anarchie d'après-guerre. Mais est-ce que Paul Bremer III, le dirigeant de la CPA, se focalisait dessus ? » a demandé Krugman. « Selon un journaliste du Washington Post qui a volé avec lui en juin passé, ‘ Bremer discutait de la nécessité de privatiser le gouvernement dirigé par les usines avec une telle ferveur que sa voix perçait le vacarme que faisait [l’avion] cargo ‘ », écrivait Krugman en juillet 2004.
Bush a nommé son ami et sympathisant politique, Thomas C. Foley, directeur du « Développement de Secteur Privé » en Irak occupé en août 2003, le mettant à la tête des 200 entreprises d'Etat irakiennes qu’il était prévu de privatiser. Michael P. Fleischer, le frère de Ari Fleischer, directeur des communications de la Maison Blanche, a été fait directeur adjoint de Foley.
Ari Fleischer était porte-parole de la Maison Blanche.
Ari Fleischer était porte-parole de la Maison Blanche.
La famille entière de Fleischer devrait être considérée sioniste et traître.
Le 13 mars 2004, Michael Fleischer est devenu directeur, chargé de la tentative de privatiser les capitaux saisis à l'État irakien. La presse sous contrôle sioniste n'a pas pensé que le copinage et le népotisme de Bush et de la Maison Blanche étaient un sujet digne de discussion. Il existe seulement un article dans un journal dominant qui mentionne ensemble Fleischer, Irak, et les mots « privatise » ou « privatisation. » Fleischer est décrit comme un « homme d'affaires du New Jersey, » qui a pris un congé sabbatique de Bogen Communications International, Inc., où il était président et membre du conseil d'administration depuis 1997. « Le succès de M. Fleischer comme entrepreneur, directeur, et chef de file des affaires dans le milieu des affaires internationales sera d'une valeur énorme pour la CPA et l’Irak, » disait le communiqué de presse du CPA au sujet de sa promotion.
Le 13 mars 2004, Michael Fleischer est devenu directeur, chargé de la tentative de privatiser les capitaux saisis à l'État irakien. La presse sous contrôle sioniste n'a pas pensé que le copinage et le népotisme de Bush et de la Maison Blanche étaient un sujet digne de discussion. Il existe seulement un article dans un journal dominant qui mentionne ensemble Fleischer, Irak, et les mots « privatise » ou « privatisation. » Fleischer est décrit comme un « homme d'affaires du New Jersey, » qui a pris un congé sabbatique de Bogen Communications International, Inc., où il était président et membre du conseil d'administration depuis 1997. « Le succès de M. Fleischer comme entrepreneur, directeur, et chef de file des affaires dans le milieu des affaires internationales sera d'une valeur énorme pour la CPA et l’Irak, » disait le communiqué de presse du CPA au sujet de sa promotion.
Fleischer et Bremer n'ont apporté aucune valeur à l’Irak, ils ont plutôt pris la valeur de l'Irak. C'était leur tâche. Pendant la période entière de la CPA, par exemple, il n'y avait aucun mesurage de la production pétrolière irakienne, l'exportation la plus précieuse de l'Irak. Mais est-ce Michael Fleischer travaillait réellement pour l'Irak ? L'évidence est claire que Fleischer a longtemps été un agent payé par l'État d'Israël, employé du Renseignement militaire israélien.
Bogen, à l'origine une compagnie d'électronique US, a été l’atout du Renseignement militaire israélien depuis 1995. Fleischer a été fait à président de Bogen en 1997, quand les propriétaires israéliens ont décalé les sièges. Bogen est en réalité possédé et dirigé par une poignée d'agents israéliens, en lien étroit avec l'armée de l'air israélienne. Les gens qui ont loué et payé Michael Fleischer sont d’anciens pilotes de combat israéliens, Yoav Stern et Zivi R. Nedivi. Ces Israéliens ont été impliqués dans une série de compagnies d'électronique, d'aviation, et d'avionique, depuis qu'ils sont venus aux USA dans les années 90. Ce sont les deux anciens directeurs et officiers de Rada, la compagnie « bateau mère » basée en Israël.
Bogen, à l'origine une compagnie d'électronique US, a été l’atout du Renseignement militaire israélien depuis 1995. Fleischer a été fait à président de Bogen en 1997, quand les propriétaires israéliens ont décalé les sièges. Bogen est en réalité possédé et dirigé par une poignée d'agents israéliens, en lien étroit avec l'armée de l'air israélienne. Les gens qui ont loué et payé Michael Fleischer sont d’anciens pilotes de combat israéliens, Yoav Stern et Zivi R. Nedivi. Ces Israéliens ont été impliqués dans une série de compagnies d'électronique, d'aviation, et d'avionique, depuis qu'ils sont venus aux USA dans les années 90. Ce sont les deux anciens directeurs et officiers de Rada, la compagnie « bateau mère » basée en Israël.
Rada (http://www.rada.com/) est dirigé par des officiers supérieurs de l'armée de l'air israélienne.
Par exemple, le président PDG de Rada est le général (de réserve) Herzle Bodinger.
Bodinger a servi dans les forces de l'air israéliennes pendant 35 ans. Il était commandant de ces forces de janvier 1992 à juillet 1996. Tous les cadres supérieurs de Rada ont une expérience semblable dans les forces de l’air israéliennes. Ces officiers des forces de l'air israéliennes sont les maîtres d’œuvre sionistes qui contrôlaient Michael Fleischer, avant, pendant, et après sa besogne assignée en Irak. « Le seul paradigme qu'ils connaissent est le copinage, » disait Fleischer à propos des Irakiens. Il devrait le savoir.
Par exemple, le président PDG de Rada est le général (de réserve) Herzle Bodinger.
Bodinger a servi dans les forces de l'air israéliennes pendant 35 ans. Il était commandant de ces forces de janvier 1992 à juillet 1996. Tous les cadres supérieurs de Rada ont une expérience semblable dans les forces de l’air israéliennes. Ces officiers des forces de l'air israéliennes sont les maîtres d’œuvre sionistes qui contrôlaient Michael Fleischer, avant, pendant, et après sa besogne assignée en Irak. « Le seul paradigme qu'ils connaissent est le copinage, » disait Fleischer à propos des Irakiens. Il devrait le savoir.
Christopher Bollyn est un animateur de radio et reporter pour l'hebdomadaire American Free Press. il s'est fait connaître par ses enquêtes sur les attentats du 11 septembre 2001, l'assassinat du ministre Anna Lindh, le naufrage d'un ferry dans la Baltique et le Groupe de Bilderberg. Il est membre de la conférence « anti-impérialiste » Axis for Peace.
Le 10 janvier 2007 : Zionist Occupation of Iraq
Traduction de Pétrus Lombard
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