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Israel est le Terrorisme


Le 911 et l'évidence,



Par Paul Craig Roberts, le 26 mars 2007


Le professeur David Ray Griffin est la Némésis de la conspiration officielle du 911. Dans son le dernier livre, Debunking 9/11 Debunking, Griffin détruit la crédibilité du National Institute of Standards and Technology (NIST) et des rapports de Popular mecanics, réduit à néant ses critiques, et s'avère être meilleurs scientifique et ingénieur que les défenseurs de l'histoire officielle.


Le livre de 385 pages de Griffin est divisées en quatre chapitres et contient 1.209 annotations. Sans aucun doute, ce livre est la présentation et l'examen les plus complets de tous les faits connus sur les attaques du 911. Griffin est une personne sensible à l'évidence, à la logique, et au raisonnement scientifique. Il n'y a aucun équivalent du côté officiel de l'histoire qui soit comme lui aussi pleinement au courant de tous les aspects des attaques.


Au début, Griffin précise que le lecteur a le choix entre deux théories de conspiration : L'une que des fanatiques Musulmans, qui n'étaient pas qualifiés pour voler en avion, ont vaincu l'appareil de sécurité des USA et réussi trois attaques sur quatre en utilisant les passager des jets comme armes. L'autre est que la sécurité a échoué d'un bout à l'autre de l'affaire, pas seulement partiellement mais totalement, grâce à la complicité d'une certaine partie du gouvernement des USA.


Griffin précise qu'il n'y a eu aucune recherche indépendante sur le 911. Ce que nous avons sont : un rapport d'une commission politique dirigée par Philip Zelikow, l'homme à tout faire de l'administration Bush ; un rapport du NIST produit par le ministère du commerce de l'administration Bush ; et un exposé journalistique produit par Popular Mecanics. Divers scientifiques travaillant pour le gouvernement fédéral ou dépendants des subventions gouvernementales ont publié des rapports spéculatifs au nom de la théorie de conspiration officielle, mais n'ont produit aucune preuve significative en son nom.


Les sceptiques pertinents de l'histoire officielle forment à peu près cent chercheurs indépendants, des experts et des professeurs dont les carrières ont exigé d'eux de composer avec les preuves et leurs analyses. Leurs différentes contributions au analyses du 911 peuvent être trouvées en ligne.


Griffins a entrepris de s'absorber dans les arguments et les preuves de l'exposé officiel et dans les arguments et les preuves contre lui. Dans son dernier livre, qui vient d'être rendu public, il présente le cas de l'exposé officiel et son insuffisance manifeste.


Les sondages montrent que 36% des étasuniens ne croient pas à l'histoire officielle. En mettant de côté les 25% du public qui sont très mal informés ou indifférents, qui pensent que Saddam Hussein était responsable des attaques du 911, il reste 39% du public qui croit à l'histoire officielle. Cependant, ces 39% font essentiellement confiance à l'adhésion des médias dominants à l'histoire officielle. Griffin croit, peut-être naïvement, que la vérité peut prévaloir, et c'est son engagement pour la vérité qui l'a poussé à endosser l'énorme tâche.


Tous ceux qui croient à l'intégrité du gouvernement US ou de l'administration Bush trouveront le livre de Griffin dérangeant. Les lecteurs devront confronter des questions comme : pourquoi les autorités ont saisi les expertises médico-légales résultant de la destruction des trois bâtiments du WTC, de l'attaque contre le Pentagone et de l'avion de ligne écrasé en Pennsylvanie et ont empêché tout examen légal de toutes les parties des attaques du 911.


En dépit de la croyance largement répandue qu'Oussama Ben Laden était responsable des attaques, la preuve que nous avons est une vidéo suspecte déclarée être « fausse » par Bruce Lawrence, peut-être le premier expert étasunien sur Ben Laden. Le gouvernement n'a jamais produit le rapport promis sur la responsabilité de Ben Laden. Quand les Talibans ont offert de remettre Ben Laden sur présentation de preuves, le gouvernement n'en avait aucune à remettre ; donc l'invasion de l'Afghanistan.


La fragilité du rapport du NIST est étonnante. Le rapport a marché parce que les gens ont accepté ses affirmations sans examen.


Griffin prouve que le rapport de Popular Meccanics consiste en plaidoyers particuliers, en raisonnements circulaires, en appels à l'autorité du rapport du NIST, en hommes de paille, et en contradictions internes dans le rapport lui-même.


Il n'y a pas de place dans une revue pour présenter les preuves que Griffin a rassemblées. Quelques points culminants devraient suffire à alerter les lecteurs sur la possibilité que l'administration Bush a menti à propos des armes de destruction massive de Saddam Hussein.

Les deux tours du WTC ne se sont pas effondrées. Elles ont explosé et se sont désagrégées, de même que le WTC 7. Il y a un énorme déficit en énergie dans chaque compte excluant l'usage d'explosifs. L'énergie de la gravité est insuffisante pour expliquer la pulvérisation des bâtiments et de leur contenu et le sectionnement des 47 colonnes d'acier de l'énorme noyau central de chacune des tours à des longueurs commodes pour être prises et chargées sur des camions ; bien moins d'énergie due à la pesanteur ne peut expliquer la pulvérisation des étages supérieurs des tours et l'éjection horizontale des poutrelles d'acier sur des centaines de pieds juste avant la désintégration des étages du dessous.


Les dommages provoqués par les avions de ligne et les feux limités de courte durée ne peuvent expliquer la désintégration des bâtiments. Les énormes charpentes d'acier des tours consistaient en un radiateur colossal qui dissipait par convection la chaleur produite quelle qu'elle soit par les feux limités.

Le rapport final du NIST déclarait que dans l'acier qui lui a été disponible pour examen, « seules trois colonnes avaient des preuves que l'acier avait atteint des températures au-dessus de 250°C » Les fours autonettoyants dans nos cuisines à la maison atteignent des températures plus hautes que ça, et les fours ne fondent ni ne se déforment.

L'acier commence à fondre à 1.500°C. Des températures de 250°C n'auraient aucun effet sur la solidité de l'acier. Expliquer que les bâtiments se sont effondrés parce que le feu a affaibli l'acier est spéculatif. Les feux en plein air n'engendrent pas une température suffisante pour priver l'acier de son intégrité structurelle. Des bâtiments à charpente d'acier ont brûlé 22 heures dans des enfers terribles, et les charpentes d'acier sont restées debout. Les feux dans les tours ont duré environ une heure et ont été limités à quelques étages. De plus, il est impossible qu'ils expliquent la désintégration soudaine, totale et symétrique de bâtiments solidement construits, et encore moins à la vitesse de chute libre que permet seulement la démolition contrôlée.

Griffin fournit des citations de sapeurs-pompiers, de policiers, et d'occupants, qui ont entendu et ressenti une série d'explosions avant la désintégration des tours. Les dépositions pareilles des témoins sont en général ignorées par des défenseurs de la théorie de conspiration officielle.

De l'acier fondu a été trouvé dans les niveaux souterrains du WTC des semaines après la destruction des buildings. Comme chacun convient que les feux n'ont pas approché le point de fusion de l'acier, une explication possible est des explosifs puissants utilisés dans les démolitions qui produisent des températures de 2760°C. La possibilité que des explosifs ont été utilisés reste non envisagée excepté par les chercheurs indépendants.


Les contradictions dans la théorie de conspiration officielle bondissent des pages et frappent le lecteur au visage. Par exemple, la preuve que le vol 77, un Boeing 757, s'est écrasé sur le Pentagone est la déclaration que le gouvernement a obtenu dans l'épave assez de corps et de débris de corps dont l'ADN correspond à chaque personne de la liste des passagers et de l'équipage du vol. Simultanément, l'absence des bagages des passager, du fuselage, des ailes et de la section de queue -- à vrai dire l'absence d'un avion de ligne de 45 tonnes -- est attribuée à la vaporisation de l'avion due à l'accident à grande vitesse et à l'incendie violent. L'incompatibilité du métal vaporisé avec la chair et le sang récupérés est restée inaperçue jusqu'à ce que Griffin la signale.


Une autre contradiction frappante dans la théorie de conspiration officielle est la différence des impacts des avions de ligne entre le Pentagone et les tours du WTC. Dans le cas du Pentagone, l'insistance est mise sur pourquoi l'avion de ligne a aussi peu endommagé le bâtiment. Dans le cas des tours, l'accent est mis sur pourquoi les avions de ligne les ont autant endommagées.

Peut-être n'est-ce qu'une coïncidence que juste avant le 911 Cathleen P. Black, qui a des accointances avec la CIA et le Pentagone et est président de Hearst Magazines, et propriétaire de Popular Mecanics, ait congédié le rédacteur en chef du magazine et plusieurs membres supérieurs chevronnés du personnel puis installé James B. Meigs et Benjamin Chertoff, un cousin de Michael Chertoff, l'homme à tout faire de l'administration Bush. C'étaient Meigs et Benjamin Chertoff qui ont produit le rapport de Popular Mecanics que Griffin a vidé.

Dans sa conclusion Griffin nous rappelle que les attaques du 911 ont servi aux USA pour commencer des guerres en Afghanistan et en Irak, pour projeter une attaque sur l'Iran, pour restreindre les protections constitutionnelles et les libertés civiles, pour augmenter radicalement les budgets militaires et le pouvoir de l'exécutif, et pour enrichir des intérêts enracinés. Griffin est absolument juste à ce sujet sans se soucier de savoir si une hypothèse crédible pourra jamais être établie à propos de la version de la conspiration du 911 du gouvernement.


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