شبكة الإستخبارات الإسلامية

La France-Israel souhaite la guerre civile generalisee au Maghreb


Scandale du GIA/GICM : La France-Israel n'apprecie pas les menaces et s'attache a reactiver les reseaux marocains et algeriens qu'elle a mis en place pour relancer la guerre civile au Maghreb.


NDLR: Selon les informations qui nous sont parvenues de sources differentes, plusieurs operations de destabilisation sont en cours pour demonter certains generaux marocains et algeriens soutenus principalement par des clans dans les services francais, impliques dans la guerre civile en Algerie. Ces reseaux sont lies a des interets etrangers dont des reseaux attaches a la France, mais aussi a la Grande Bretagne ou les Etats-Unis qui se disputent le controle du gaz et du petrole a coup de camp de mercenaires et de coup d'etat.


Le general Mohamed Mediene dit Toufik est la principale cible, tout comme d'autres que l'on appele le 'clan des eradicateurs'. Ceux-ci ont declenche en represaille, des operations en contre-feux au Maroc et en Algerie pour maintenir 'leur mainmise sur les hydrocarbures', se maintenir au pouvoir pour ne pas etre juges devant une juridiction internationale... Ces 'operations' font suite aux menaces lancees la semaine derniere par Abd el Haq Layada, ex-emir du GIA, contre les services francais bases au Maroc. Celui-ci menace de poursuivre le palais 'royal' pour organisation du terrorisme en Algerie...


ALGER (AFP) - Dix-sept personnes ont été tuées, et 82 blessées, dans deux attentats quasi simultanés perpétrés mercredi à Alger, a annoncé la Protection civile algérienne dans un communiqué.Un attentat à la voiture piégée visant le Palais du gouvernement, dans le centre d'Alger, a fait neuf morts et 32 blessés. Une autre explosion, près du commissariat de police de Bab Ezzouar, a fait huit morts et 5O blessés, selon la même source.Les deux attentats ont eu lieu quasi-simultanément vers 10H45 (9H45 GMT).A la mi-journée, des débris de verre jonchaient le sol sur un rayon de deux à trois cents mètres à l'entrée du Palais et sur l'esplanade de l'immense bâtisse de plusieurs étages qui abrite notamment les services du ministère de l'Intérieur. Un épais nuage de fumée noire se dégageait du lieu de l'explosion, qui a été très violente.L'autre attentat s'est produit près du commissariat de Bab Ezzouar, immense zone d'habitations abritant notamment l'université des sciences et des technologies, selon des habitants de la cité du 5 juillet, interrogés par l'AFP.Il s'agit d'actes "criminels et lâches commis au moment où le peuple algérien demande la réconciliation nationale", a déclaré le chef du gouvernement algérien Abdelaziz Belkhadem, à la radio algérienne.Selon la Charte sur la reconciliation nationale, entrée en vigueur en février, les islamistes qui ont déposé leurs armes peuvent bénéficier d'une grâce présidentielles, à condition de n'être pas impliqués dans des meurtres, des sabotages et des actes de terrorisme.Plus de 2.000 personnes ont été libérées aux termes de cette Charte et 300 islamistes armés ont déposé leurs armes et ont bénéficié de la grâce présidentielle.Ces deux attentats surviennent cinq jours après un dur accrochage entre l'armée et un groupe islamiste samedi soir à Ain Defla (ouest d'Alger) au cours duquel neuf militaire ont été tués, alors qu'à l'est l'armée mène depuis près de vingt jours une vaste opération de ratissage en Kabylie.Ces attentats à Alger ont eu lieu au lendemain d'actions terroristes à Casablanca, où trois kamikazes se sont fait exploser. Dans un quartier populaire de la capitale économique du Maroc, trois kamikazes ont fait exploser leurs charges mardi, un quatrième a été abattu avant d'actionner ses explosifs et un policier a été tué.

Post a Comment

0 Comments