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Nicolas Sarkosy, principal commanditaire, en France, des attentats d'Alger




NDLR: Selon plusieurs sites credibles, dont le site 'Agir pour l'Algerie', Boutef el Habli attendrait la demission de l'agent de la France-Israel, Mohamed Mediene, dit Toufik... principale cerveau des attentats d'Alger...








Le président Bouteflika attend la démission du général Tewfik…




Déçu par ce qu’il qualifie de relâchement sécuritaire, le président Bouteflika fortement éprouvé par le double attentat du 11 avril laisse entendre qu’il attend avec impatience la démission des responsables des services de sécurité, apprend-on de source proche de la présidence de la république algérienne.



L’information a été communiquée sous forme de fuite organisée en début de week-end algérien (jeudi et vendredi) à un certain nombre de sites Internet dont Maghreb confidentiel.



Elle est, actuellement, sur toutes les bouches de tous ceux qui gravitent autour des centres de décision. Les protégés du général Tewfik - ils sont dans toutes les institutions de l’état algérien- donnent des signes d’inquiétude.



Il est à relever que notre source ne désigne pas « un responsable » mais parle de « plusieurs responsables ». C’est sûrement pour ne pas trop exposer le numéro un des services de sécurité qui n’est autre que le tout puissant et inamovible général de corps d’armée Mohamed Mediene dit Tewfik. C’est, aussi, une manière pour Bouteflika de na pas entrer en conflit direct avec son puissant chef des services de sécurité qui n’hésite pas à recourir à l’assassinant dès qu’il se sent en difficulté. Et là, Bouteflika n’a pas besoin qu’on lui fasse un schéma pour le convaincre des prédispositions criminelles du général. Il suffit qu’on lui rappelle l’exécution en direct de feu Mohamed Boudiaf…



On comprend dès lors, que le président Bouteflika qui a mis sur le carreau un grand nombre des membres du cabinet noir en les poussant à la faute lors de la présidentielle de 2004 jusqu’à les amener à s’auto-marginaliser (les généraux Mohamed Lamari, Fodhil Cherif, Mohamed Touati, Khaled Nezzar) ou en les éloignant diplomatiquement comme ce fut le cas du général Larbi Belkhir - nommé ambassadeur au Maroc- , il n’en demeure pas moins que deux membres actifs du cabinet et les plus dangereux sont toujours aux affaires. Ce sont les généraux Smaïn Lamari et le plus dangereux de tous, celui qu’on qualifie à Alger d’ennemi public numéro un, le général de corps d’armée Mohamed Mediene dit TEWFIK.



Promu au garde le plus élevé de la hiérarchie militaire au mois de juillet 2006 et maintenu à son poste pour avoir fait preuve de fidélité à Bouteflika aux élections présidentielles de 2004, le général de corps d’armée TEWFIK vient de commettre l’erreur de sa vie -si on admet que les attentats du 11 avril s’inscrivent dans le prolongement de l’action de diversion née avec la création du GIA EN 1992.



Personne n’ose défendre Tewfik. Pas même ses propres enfants
Le général Tewfik qui cherche à se maintenir à son poste vaille que vaille à son poste, quitte à marcher sur le cadavre de 30 millions d’Algériens, n’ignore pas que son limogeage est synonyme de mort certaine pour lui. Non seulement, il ne peut nullement prétendre à un poste d’ambassadeur comme voie de garage qu’on réserve le plus souvent aux hommes dont on veut se débarrasser, mais le pire c’est qu’il risque des poursuites judiciaires pour crime contre l’humanité. Que ce soit en Algérie ou à l’étranger le général Tewfik ne connaîtra pas de retraite tranquille.



A l’étranger, il suffit que els associations de disparus et celles des victimes de violences se décident à mener une action concrète auprès des ONG et des instances juridiques internationales et le puissant Tewfik terminera sa vie derrière les barreaux.
En Algérie, pour peu que le régime se décide de sacrifier l’un des responsables des années de sang et de feu il ne trouvera pas meilleur maillon faible que Tewfik exclu de son DRS.
En dehors de cette structure, l’homme ne vaudra plus rien. Touts ses marionnettes seront les premières à se retourner contre lui. Après tout il n’a manipulé que des gens médiocres et sans conviction. Quelqu’un de compétent et qui a des convictions n’accepte jamais de se faire manipuler quelles que soient les offres et les tentations. Loin du DRS, Tewfik ne bénéficiera pas de la solidarité des clans comme les anciens sous-officiers de l’armée française qui étaient ses coéquipiers au cabinet noir. Tewfik sait bien que tous ceux qui s’allient à lui le font par intérêt et non pas par conviction. Il sait aussi qu’ils s’allient à lui parce qu’il occupe le poste le plus mythique et le plus puissant.



Bouteflika ne devrait, donc, pas s’attendre à voir le général Tewfik lui présenter sa démission. Tout au plus il sacrifiera Smaïn Lamari le patron de la sécurité intérieure en lui faisant endosser la responsabilité de l’échec des services dans les attentats du 11 avril. En fait qu’ils soient les maîtres d’œuvres des attentats ou pas les services de Tewfik sont les premiers responsables qui doivent payer.



Le général Tewfik pourrait, aussi, pousser le colonel Ali Tounsi à la démission. Ce dernier lui rendrait la monnaie de sa pièce pour l’avoir sorti en 1995 de sa pitoyable retraite en le désignant à la tête de la DGSN. Car entre Tounsi et Tewfik ce sont des échanges de services que les deux hommes ne cessent de se faire. Il faut remonter au temps où Tounsi dit Lghouti, alors patron de la sécurité de l’armée et chef direct du petit lieutenant Mohamed Mediene dit Tewfik, pour comprendre la relation qui unit les deux hommes.



Il ne reste à Bouteflika qu’une seule décision à prendre. C’est celle de donner un bon coup de pied au derrière de ce général qui se prend pour le bon dieu sur terre. Il verra bien que personne ne bougera le petit doigt pour le défendre tellement cette crapule est vomie par tous les Algériens. Personne n’oserait le défendre. Pas même ses propres enfants.




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