NDLR: Selon des sources bien informees, les documents prouvent qu'il y a plus qu'une collaboration entre yisrael et des pays comme l'Egypte, la Jordanie, le Maroc, L'Arabie Saoudite, le Koweit, le Liban, la Lybie, la Syrie. Les dirigeants de ces pays sont directement responsables du genocide des Palestiniens. Des documments explosifs sont en cours de publication... Ils ont permis de demontre que la CIA prevoit de tuer Abbas et d'accuser le Hamas, comme nous vous l'avons decrit la semaine passee. Depuis 1968, le Fatah est sous controle israelien ! L'Arabie Saoudite fournit du petrole gratuitement a yisrael depuis 1967 !!!
Une montagne de renseignements tombe aux mains de la Résistance Palestinienne
Gaza – Al-Nassira – Centre Palestinien de l'Information
Le financement était sans limite, les facilitations douteuses étaient sionistes, les noms et les couleurs de parties impliquées étaient variés ; mais cet appareil sécuritaire est tombé aux mains de la résistance palestinienne, pourtant il avait été mis en place contre elle.
Il s'agit des appareils sécuritaires pour lesquels l'administration américaine et l'Entité sioniste, en coopération avec d'autres partis, avaient beaucoup investi afin qu'ils soient une guillotine visant la résistance palestinienne et un fardeau compromettant toute chance au projet de la libération palestinienne de réussir.
Des bureaux aux services de l'ennemi
En fait, sur plusieurs années, des bureaux ont de plus en plus été protégés et renforcés. Heureusement, du jour au lendemain, ils sont tombés aux mains de la résistance. Au fond, les brigades du martyr Ezzidin Al-Qassam, branche militaire du mouvement de la résistance islamique Hamas, a mené sa rapide campagne contre ces sièges autant pour corriger les situations incorrectes et intenables que pour cerner leurs membres qui devenaient de simples pions servant les agendas américains et sionistes.
La tombée de ces tours a beaucoup de significations quant au projet américain sur la scène palestinienne. L'affaire est plus importante qu'une simple mainmise de la résistance sur des armes, des munitions, des blindés… Tout est bon pour une guerre civile comme celles que l’on voit partout dans le monde notamment en Amérique du Sud.
Une perte considérable
La perte américano-sioniste ne s'arrête pas aux niveaux de systèmes de renseignements et de communications. Elle s'étend vers une mer d'informations et de documents de très haut degré d'importance.
Actuellement, des bureaux de renseignements sionistes s'occupent à étudier les effets de cette mainmise ; pour eux, c'est une catastrophe réelle, la plus grave depuis la deuxième guerre mondiale, après la chute du nazisme, après la chute de l'Union Soviétique dans les années quatre-vingt-dix, selon le site sioniste de Dabka.
Les plaques d'immatriculation sionistes trouvées dans ces sièges et exposées par les brigades d'Al-Qassam indiquent clairement combien ces appareils n'étaient palestiniens que par leurs noms ; ils ne servaient aucunement l'intérêt palestinien.
Les documents compromettent des personnes qui travaillaient avec l'ennemi sioniste, pour ses intérêts. Les informations sont d'autant importantes que l'aviation israélienne voulait bombarder lesdits bureaux après leur tombée aux mains de la résistance palestinienne, les brigades du martyr Ezzidin Al-Qassam, branche militaire du mouvement de la résistance islamique Hamas, en particulier. Tout compte fait, les Israéliens ont changé d'avis pour ne pas compromettre encore plus leurs bras, leurs traîtres.
Investir les documents
Dans la mesure où les brigades d'Al-Qassam sont des brigades très bien organisées qui possèdent déjà un système efficace de sécurité, que l'opération de la capture du soldat israélien Gilad l'a bien confirmé, la mainmise sur ces informations et documents prendront encore plus d'importance. En effet, elles peuvent efficacement investir ces documents.
Finalement, les brigades ont inscrit un point important dans sa guerre avec l'occupation israélienne et surtout avec ces bras qui sont maintenant très courts après le développement important de la bande de Gaza.
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