NDLR : Primo, ce sont les officiers des services francais, des sefarades issus du decret Cremieux, comme Belkheir et Rondot, a Paris, Rabat et Alger qui ont cree le GIA, le GICM et aujourd'hui sont au controle bicephale du GSPC, depuis le moi de Fevrier 2007. Accord passe avec les americano-sionistes aux Emirats Arabes Unis.
Secondo, Tewfik, agent de la DST, deja malade, a clairement mis en cause dans ses rapports a Paris que S. Lamari, mort depuis peu, dans sa cooperation avec Boutef, depuis 2003, dans l'elimination des cadres des services francais de l'armee et des services secrets algeriens, beaucoups des informations viendraient, selon Tewfik, de son ex-second S. Lamari. Boutef et Lamari serviraient l'etablissement d'une commission d'enquete internationale sur la guerre civile, si la 'menace etrangere' se faisait plus intense ! S. Lamari serait donc un repenti, selon Paris, qui nuirait a l'image de la France, S Lamari empecherait le remplacement de Boutef...
Tertio, selon Sarkosy, celui-ci a ete clairement mis ete en accusation par Boutef et meme les reseaux de Tewfik pour les attentats d'Avril 2007 et ceux de Madrid et Londres. Sarkosy a clairement dit avoir identifie les sources des fuites : Bouteflika et l'affaire 'Operation November 1950: preuve de l'implication de groupes manipules par les services a Paris dans les massacres de civils en Algerie'. Zapatero, l'espagnol a confirme l'implication des reseaux franco-israeliens dans les attentats de mars 2004 a Madrid. A l'origine, Nezzar, comme Belheir issu de l'armee coloniale, a tente d'utiliser 'Operation November 1950' pour faire pression sur Paris lors de son proces en France... Nezzar a ouvertement soutenu que la DST a aide a monter la vague attentats de 1995...
Quatro, Tewfik est depasse par sa maladie et ses subordonnes, donc ses maitres parisiens ont pense pour lui, l'elimination de Lamari ne devrait surtout pas donner a penser que les DAF (deserteurs de l'armee francaise) perdent pied a Alger face a Boutef el habli, ils ont pris le pari d'avertir ouvertement et officiellement Boutef, en prenant le soin d'accorder leur violons avec le pantin sioniste Bush le mois dernier. Cela ne sera que la troisieme tentative sur Boutef...
Selon nos sources, une vague de frappes va secouer l'Algerie durant le mois beni de Ramadhan. Le but etant de semer l'effroi et de remplacer Boutef au plus tot, apres le ramadan, par le poulain sefarade de Belkheir. Tewfik nie etre lie a ces operations, il n'a fait que suivre les ordres de ses maitres de la France-Israel, aujourd'hui ses maitres se sont joues de lui et de ses reseaux pour assurer leurs propres survies... A coups surs, la France-Israel vient de perdre definitivement pied au maghreb... Meme si les resultats du 'scrutin' au Maroc disuadent de penser le contraire... Les jours qui viennent seront cruciaux pour le destin des peuples du Maghreb ! Pour continuer la croisade sioniste du 'Grand Moyen Orient", comprenez 'Eretz Yisrael', Sarkosy se doit de controler les hydrocarbures du Maghreb (Algerie, Libye) pour assurer le flanc sud de l'Europe. Poutine controlant le flanc energetique Est. Sarkosy veut le controle du gaz et de l'Eau, des minerais rares, de l'acces au nil au Soudan (Darfour), au canal de suez (Egypte) et du Lac Victoria plus haut vers la Somalie pour finaliser l'achevement du controle israelien du 'Grand Moyen Orient'.
Sarkosy, se comporte comme le chef de rayon d'Yisrael dans la region en utilisant son passeport francais... Il doit etre arrete avant qu'il ne plonge le sud de l'Europe dans la folie genocidaire des chiens fous de Tel Aviv !
Commanditaires
Par : Zahir Benmostepha, Liberté, 8 septembre 2007
Ces accusations prennent tout leur sens, particulièrement, si l’on admet que l’Algérie aujourd’hui constitue une donne à même de gêner d’une manière significative des intérêts étrangers d’ordre politique, économique et énergétique dans la région. Si l’on a à spéculer sur l’identité de ces capitales étrangères et dirigeants étrangers mis en accusation par le premier magistrat du pays, avouons qu’on a un plateau de choix rien que dans l’actualité.
Les propos tenus par le président de la République Abdelaziz Bouteflika juste après l’attentat criminel de Batna, ce jeudi, peuvent avoir l’effet d’une bombe. En effet, les déclarations du chef de l’État tranchent singulièrement avec la littérature officielle développée autour des évènements tragiques qui émaillent une scène nationale résolument tournée vers une paix où les tenants d’un islamisme politique violent n’ont plus de place. Aujourd’hui, si “la main étrangère” est mise en cause, dans le discours du président, elle prend des contours précis.
D’autant mieux que cette sortie de Abdelaziz Bouteflika procède manifestement d’une logique qui veut que l’Algérie est en train de bousculer, par sa réémergence sur la scène internationale à la faveur d’une agressivité diplomatique retrouvée, une carte géopolitique dont elle est l’un des enjeux.
Le président de la République accuse et appelle “un chat par son nom”. “Ces personnes (les auteurs de l’attentat) œuvrent pour le compte de capitales étrangères et de dirigeants étrangers”, devait déclarer Abdelaziz Bouteflika.
Ces accusations prennent tout leur sens, particulièrement, si l’on admet que l’Algérie aujourd’hui constitue une donne à même de gêner d’une manière significative des intérêts étrangers d’ordre politique, économique et énergétique dans la région. Si l’on a à spéculer sur l’identité de ces capitales étrangères et dirigeants étrangers mis en accusation par le premier magistrat du pays, avouons qu’on a un plateau de choix rien que dans l’actualité. À la faveur de l’accession de Abdelaziz Bouteflika à la magistrature suprême, l’Algérie est revenue en force sur la scène internationale. Elle a aujourd’hui des arguments de poids pour dire non !
Elle s’oppose à l’installation de bases américaines sur son sol,
elle agrée du bout des lèvres l’ambitieux projet du président français d’une union méditerranéenne.
Elle n’hésite pas à dénoncer un contrat gazier qualifié volontiers de “contrat du siècle” avec des géants espagnols dans le secteur énergétique.
Elle persiste à défendre le droit d’autodétermination du peuple sahraoui.
Elle refuse toujours la normalisation des relations avec l’État d’Israël.
En somme, elle refuse un ordre établi et se révèle très entreprenante pour le bouleverser. Ce sont donc des raisons, et pas les seules, qui constituent autant de motivations à faire remonter le temps à l’Algérie et faire revivre les années de sang.
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