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La France-Yisrael au coeur du scandale : 11 signifie yisrael




NDLR: Nous confirmons l'implication directe dans les massacres d'Alger de Sarkosy en personne, de son valet de chambre Tewfik. Nous confirmons l'implication et la coordination de la logistique des reseaux de l'ambassade des Etats-Unis a Paris.




L'Algerie n'est pas divisee par des clans pro-ceci ou pro-cela comme certains agents veulent vous le faire croire... Les frappes suivent la visite contestee et mouvementee de l'agent israelien Sarkosy, et plus tot celle de Olmert a Paris.



Yisrael et son pantin Sarkosy exigent un remodelement du bassin meditarraneen au profit de l'entite sioniste. Yisrael veut s'assurer que le gaz et le petrole de l'Algerie et de la Libye couleront a flot vers l'Europe, la nouvelle Amerique de Sion, lorsque la seconde vague d'agression sera declenchee au Moyen Orient. L'Europe n'aura aucune excuse, elle prendra part aux genocides...




L'Arabie Saoudite sera frappee dans quelques jours au sommet, pour avoir refuse et retarde les operations sionistes, la guerre civile guette a Ryadh. Gaza est egalement au bord du genocide...




Sarkosy est le commanditaire des operations, les preuves circulent desormais, cela signifie clairement une vague de represaille visant Yisrael et ses pantins impliques dans les massacres en Algerie et ailleurs depuis la Mauritanie jusqu'a l'Egypte. Yisrael est au coeur du scandale, si Sarkosy nie encore alors que les preuves sont sur son bureau, c'est qu'il est gravement atteint!




A bon entendeur,




Salaam




Wa akhir da3wana ana alhamdulillah Rab al 3alamin,






ALGER ENTRE TERRORISME ET CAPHARNAÜM



Comme si le million de victimes des crimes coloniaux n'étaient plus qu'un souvenir qui refuse obstinément de quitter nos mémoires......Comme si les centaines de poitrines d'adolescents perforées par la mitraille des chars d'Octobre 88 n'étaient plus qu'une vieille histoire……Comme si les 200.000 victimes de la décennie noire - blessés, disparus et morts, fauchés par les violences des uns et la répression des autres -, n'auront été qu'un détail accessoire......Comme si les criminels voulaient signifier à tout peuple meurtri qu'il n'a d'autre alternative que de courber l'échine face à un régime félon et corrompu ou de subir la loi aveugle de la mort et du sang répandus par un ennemi invisible et dit-on collusoire……o o oVoilà qu'"ils" viennent de frapper de nouveau, le peuple innocent:; le peuple des étudiants descendant d'un bus de l'Université à Ben Aknoun ou celui des travailleurs algériens et étrangers, de l'immeuble de l'ONU à Hydra.




Voire de simples passants, comme tout au long de cette maudite année 2007 où plus de 200 citoyens innocents auront payé pour d'autres, le tribut d'une lutte qui n'est pas la leur; d'une lutte où ils ne sont ni arbitres ni partie prenante; une lutte d'où ils sont exclus du jeu même s'ils sont les seuls à trinquer à ce jour….Une lutte qui semble même se dérouler au-delà des frontières nationales.




Il y a comme une marche inexorable en effet, orchestrée par un ennemi extérieur invisible - mais dont les contours commencent par se préciser peu à peu, d'autant que les méthodes et les moyens utilisés donnent à penser que cet ennemi bénéficie incontestablement de places fortes et de solides positions de complicité au cœur même du pays….Un ennemi qui cherche manifestement à plonger l'Algérie dans le chaos d'une vraie guerre civile, en jouant – outre les complicités dont il dispose – sur trois atouts majeurs qu'il a pour lui:




1°) – Le pourrissement d'un régime politique corrompu et mafieux, arrivé en bout de course à tous points de vue, et dont les principaux tenants - Chef de l'Etat et différents "faiseurs" et artisans politiques de la hiérarchie militaire – sont des septuagénaires physiquement et psychiquement épuisés sinon malades;




2°) – la quasi déliquescence des Institutions politiques et des Administrations publiques à tous les niveaux de la vie nationale, profondément gangrenées par l'affairisme, l'incompétence et le clanisme politique ou régionaliste;




3°) – l'absence de réactivité citoyenne d'un peuple accablé, largement quadrillé par une pléthore de services de "sécurité" plus prompts à défendre le régime que les intérêts du pays et plus obéissants aux ordres du régime qu'aux commandements de la Loi ou aux règles de la morale. Un peuple livré à lui-même donc et pliant lourdement sous le poids du chômage, de la pauvreté et des difficultés quotidiennes de la vie dans le pays, quand il n'est pas harcelé et persécuté par une administration souvent arbitraire, à travers une bureaucratie procédurière et corrompue, qu'on dirait payée pour le pousser au désespoir….G.I.A.....puis G.S.P.C.…..puis Al-Qaïda Maghreb…..




Que faut-il lire derrière cette litanie d'enseignes de la mort violente ? A voir ce qui se passe au grand jour en Irak et en Afghanistan, voire en Palestine et au Liban, pourquoi nous faudra-t-il feindre d'ignorer l'existence de liens plus que probables entre ces "succursales" du terrorisme régional de leurs "maisons mères" - ayant pignon sur rue à Washington, Tel-Aviv ou Paris – et qui ont noms de C.I.A, de Mossad ou autres D.G.S.E, solidement adossés à des complicités intérieures félonnes, puissantes et efficaces ?




On n'en voudrait pour preuve que cette promptitude suspecte chez certains de nos propres médias, à réfuter pareille hypothèse. Des médias dits "indépendants" mais ouvertement acquis à toutes sortes de "collaborationnismes" intérieurs ou extérieurs et dont certains font carrément dans le mercenariat journalistique, en relayant sans complexe, la propagande de l'islamophobie, si en vogue depuis quelques années, dans les médias occidentaux.Alors pourquoi pas donc, cette piste de "Services étrangers" instrumentalisant sans état d'âme – chacun pour soi ou en "association" - ces cohortes d' "illuminés de l'Islamisme" ou de "harragas" désespérés, tous pur produit, à la fois d'une Ecole Algérienne de l'échec et du chômage, d'un Etat corrompu et en faillite morale et d'une société disloquée. Une société disloquée, appauvrie matériellement comme on peut le constater au petit matin dans les marchés des grandes villes, avec ces files entières de braves mères de famille gênées, fouillant les décharges à la recherche de nourriture. Une société appauvrie intellectuellement aussi, voire sciemment abrutie comme on peut en avoir une idée quand on a le courage de zapper sur cette misérable Télévision dite "publique"….




Bien sûr qu'il ne faut pas avoir l'obsession de voir partout "la main de l'étranger" et qu'il nous faut admettre que nos déboires et nos malheurs sont d'abord imputables à nous-mêmes pour peu qu'il existe une volonté politique réelle de neutraliser les actions étrangères hostiles ou potentielles. Il n'en demeure pas moins en revanche, que le fait d'écarter systématiquement l'intervention de "la main de l'étranger" constitue en soi, une attitude suspecte. Car c'est dans l'ordre des choses que notre pays, de par sa position stratégique, de par son étendue territoriale et de par ses ressources en particulier, constitue une cible de choix pour certaines ambitions étrangères. Particulièrement dans la conjoncture actuelle, nationale et internationale qui voit le retour sans complexes de la politique des canonnières du XVIIIème siècle qui a fait basculer une grande partie du monde dans les ténèbres du colonialisme criminel et exploiteur. Des signes inquiètants commencent à se faire jour, y compris dans les situations les plus banales.Il suffira de citer l'exemple de ces citoyens algériens ordinaires qui ont eu l'occasion de circuler ces derniers temps aux alentours des zones d'exploitation ou de prospection pétrolières ou gazières dans les régions du Sahara, et qui se sont vus sommés à tout bout de champ d'exciper d'une "Autorisation".




Certains de ces citoyens racontent qu'ils ont eu la terrible impression de revivre les restrictions à circuler du colonialisme vécu par leurs parents ou de vivre les prémices d'une future occupation – n'ayons pas peur des mots….Si l'on est tous d'accord pour dire que les "kamikazes", les poseurs de bombes ou ceux qui les télécommandent, sont de vrais criminels, il est nécessaire d'élargir autant que possible le cercle des hypothèses sur les commanditaires étrangers potentiels et leurs intermédiaires en place, quel que soit leur statut ou leur position dans notre société.




Nous ne sommes pas dans un monde de bons samaritains – si tant est qu'il le fut jamais – mais il n'y a aucune raison pour que les étrangers, spécialement les citoyens des pays occidentaux, soient considérés dans ce pays depuis ces dernières années comme étant des gens "au-dessus de tout soupçon".




Le phénomène de flagornerie ou de génuflexion n'a jamais fait partie de la culture de nos ancêtres, pas même durant la période coloniale, et c'est précisément pourquoi il faudra s'inquiéter de cette soudaine obséquiosité que certains témoignent systématiquement aux occidentaux en particulier; même au niveau de certains hauts dignitaires du régime – si on peut dire. Par ailleurs, et à moins qu'il ne se soit agi d'une vulgaire manipulation, les récents vivats à la France et la profusion de drapeaux français déployés lors de la visite de Sarkozy à Constantine constituent un autre signe inquiétant.




Une poignée de main, çà se donne debout. Pas couché.La nécessaire obligation politique et morale pour notre pays, de garantir la sécurité des étrangers – en particulier en période trouble – ne doit pas forcément se muer en obsession sécuritaire indécente, où l'on assiste souvent au déploiement d'un luxe de moyens quasiment insultant à l'égard du citoyen ordinaire; un citoyen qui a le droit après tout, de se dire que c'est lui qui "paie la facture" en dernier ressort. On a vu récemment par exemple, la mobilisation d'une douzaine de gendarmes à bord de 4 "Toyota" tous terrains, pour accompagner un consul et son épouse, en visite privée dans une paisible bourgade perdue dans le Sud.




On n'évoquera que pour l'exemple, ce wali de la même région, qui se déplace régulièrement avec une dizaine de véhicules administratifs tous terrains, trois véhicules de Gendarmerie et deux véhicules de Police, avec en prime une ambulance fermant le cortège et traversant telle commune, toutes sirènes hurlantes, dans un nuage de poussière.Ces pratiques aussi, constituent une forme de "terrorisme psychologique" qui génère le rejet, la haine et le mépris de l'autorité publique; une autorité publique qui, au lieu d'être perçue comme un recours moral, est regardée au mieux, comme le tyran local corrompu, venu s'enrichir et enrichir les siens, à coup de gros marchés publics accordés de gré à gré, en violation des Lois et Règlements, les Institutions et Services préposées au contrôle étant elles-mêmes profondément contaminées….Tout se tient donc: l'absence de vraie légitimité de l'Etat, entraîne fatalement la déliquescence de celui-ci. Au regard de l'extérieur, cette déliquescence encourage les ambitions, au mieux, exploiteuses de l'étranger.




Au regard de l'intérieur, cette déliquescence se manifeste par l'arbitraire et l'injustice, la corruption et l'impunité des puissants, le népotisme et le clanisme clientéliste ou tribal. Elle se manifeste aussi, cette déliquescence, par l'enrichissement effréné des plus riches et son corollaire la paupérisation sociale, avec son cortège de maladies, de dégradation des mœurs, de la morale, voire du sens du patriotisme.




L'Etat, ses hommes et ses symboles deviennent alors les catalyseurs de la haine et du désespoir, notamment au sein de la population marginalisée des jeunes qui se transforment en terreau de recrutement, pour toutes sortes de "recruteurs". Pour ce qui est des réactions officielles, ni le silence d'un Chef de l'Etat - probablement encore épuisé "lui aussi" par son propre discours à la gloire de son "ami" Sarkozy – ni encore moins les déclarations confuses de son ministre de l'intérieur, M. Zerhouni, dans une sorte d'arabe "problématique" n'auront éclairé en quoi que ce soit l'opinion nationale. Quant aux phrases prononcées par ce pauvre sous-chef de Gouvernement on ne s'en souvient même plus. C'est dire comment l'Algérie est gouvernée. Un vrai capharnaüm.Pas pour tout le monde il est vrai.




Alger,


le 14 Décembre 2007


Abdelkader Dehbi.

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