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Autopsie d'une imposture


LA VÉRITÉ SE CACHE LÀ

OÙ RIEN EST DIT !




Le 11 septembre 2001, à quelques minutes d’intervalles, deux avions percutaient de plein fouet le symbole de la puissance américaine, deux des plus hautes tours de Manhattan.


Une version officielle digne d’un scénario de dessin animé pour enfants.
Les intellectuels nous expliquent. En long, en large, et de travers, tout ce qu’ils comprennent sans avoir besoin de savoir.

Bien entendu, on n'imagine pas un quelconque professionnel accéder aux médias et dénoncer les éléments de l’imposture.
Un pilote d’avion n’aurait pas pris le risque de mettre sa carrière professionnelle en cause pour seulement 3 000 morts et deux tours qui visiblement ne tenaient plus en l’air. Deux tours qui risquaient de s’écrouler au premier coup de vent. Cela en faisant davantage de victimes que le 11 septembre.
Ces deux tours se sont effondrées un peu facilement jusqu’au sol. Visiblement, elles étaient en fin de potentiel. Elles penchaient vers une démolition salutaire.

Face à cette imposture, le professionnel qui aurait pris le risque de « la ramener » se serait vu immédiatement remercié par son employeur avec, à la clef, un bon nombre de graves ennuis. De plus, son engagement aurait été vain. De toutes façons, le message ne serait jamais passé. Il aurait été interdit de média.



Voilà une image intéressante.

Dans un premier temps, cette structure peut faire penser à un reste de charpente. Il n’en est rien.
Cette structure ne possède aucune valeur de résistance mécanique. C’est simplement l’habillage du bâtiment (Le bardage).

En principe, un bardage ne tient pas par lui-même. Il est fixé sur la façade.
Le 11 septembre, les tours se sont intégralement effondrées mais une partie de l’habillage est resté debout. (Habillage en alliage d’aluminium)
La main de dieu, en quelque sorte ! Les murs se sont effondrés mais les papiers peints sont restés en place.



À l’époque, la conception de ces deux constructions est révolutionnaire.
Aujourd’hui, personne n’en ferait le choix.

On peut conclure que : Soit ces deux tours souffraient d’un grave vis de conception et de construction.
Soit, comme certains l’affirment, des explosifs ont été installés au niveau du noyau central (au niveau des ascenseurs) de chacune des tours.

Dans cette dernière hypothèse un témoin survivant déclare que la première explosion s’est produite au sous sol, au niveau du noyau central.
La structure ainsi fragilisée a favorisé, par la suite, l’effondrement des tours.





Un jeu de hasard


Contrairement à ce que réalisent tous les jours les vedettes de dessins animés, jeter un avion sur une tour, en pilotage manuel, relève d’un jeu de hasard.

Vu du ciel, une piste d’atterrissage s’appelle familièrement une bande. On en comprend la raison.
En pilotage manuel, aligner un avion sur une piste est du domaine de chaque atterrissage. Même si l’atterrissage est la phase la plus délicate du pilotage, cela ne pose pas de problème particulier.

Quelque soit la distance, dès l’instant où le pilote aperçoit la bande, il sait si l’avion est dans l’axe de la piste ou s’il doit infléchir à droite ou à gauche.

En cas de vent de travers, l’avion progresse légèrement en crabe. Le pilote n’a qu’à regarder la bande pour être assuré que la trajectoire de son appareil est bien sur l’axe de la piste. C’est simple.

En revanche en pilotage manuel, lorsqu’il s’agit de viser un point, la chose est plus aléatoire pour ne pas dire impossible.

À aucun moment, le pilote n’est assuré que la trajectoire de l’avion passe bien par le point ciblé. Si le pilote a l’impression que son avion se dirige précisément sur le point, ce n’est qu’une impression. Et, c’est même souvent la preuve que la trajectoire de l’appareil n’est pas bonne.

Les corrections sont tout aussi aléatoires. Le point se déplace vers la droite ou la gauche. En finale, le point part définitivement d’un coté. Compte tenu de l’inertie et de la vitesse des avions commerciaux, toute correction devient impossible. C’est encore raté !


Bien entendu, le jeu consiste à percuter la tour de face et en son centre.
Si c’est seulement une aile de l’avion qui accroche à la tour, cela ne compte pas !

Quant au problème de l’altitude, on n’en parle même pas. La chose n’est pas plus simple et les pilotes de lignes ne sont pas forcément des as de la voltige. Ce qui, d’ailleurs, ne serait pas compatible. (Surtout pour la voltige.)


La réussite absolue passe par la radio navigation couplée au pilotage automatique.
C’est l’enfance de l’art. Une fois programmé, le calculateur de l’avion contrôle et corrige la trajectoire en permanence. L’avion est assuré d’atteindre la cible à mille pour mille.


Le tout reste à savoir si les pilotes étaient consentants.
Le vrai problème est là ! Mais, était-ce un problème ?

Bon nombre d’avions sont équipés d’une « sécurité » qui, en cas d’absolue nécessité, permet à partir du sol de récupérer l’avion et de l’amener, en pilotage automatique, à se poser là où l’on a envie.

Cela sous-entend que les pilotes n’ont plus accès aux commandes. Les commandes déconnectées, un pilote éventuel n’a plus rien dans le manche.


La « sécurité » est à double tranchant.
On soupçonne que cette « sécurité » a déjà fonctionné une première fois.

Une petite centaine de hauts militaires Égyptiens qui revenaient gaiement d’un colloque au États-Unis ont eu la stupidité de monter tous ensemble dans le même avion qui les ramenait en Égypte. L’avion a fini sa course dans la mer. Cela après avoir effectué, paraît-il, de jolies figures de voltige.

Pour en revenir au 11 septembre 2001, au sujet du troisième avion qui s’est écrasé quelque part en campagne, on peut tout imaginer. Et, tout dire.

En revanche, à propos de l’appareil qui a atteint le Pentagone, on observe que pour les premières images, on ne s’est pas soucié d’installer quelques débris d’avion.
Pourtant ! Un Boeing ne peut disparaître magiquement dans un petit trou percé dans une muraille de béton ? (Cela, au niveau du sol.)

Un avion est conçu pour obtenir la meilleure pénétration dans l’air. Il n’est pas conçu pour perforer une forteresse de béton à sa base. Pour ce faire, il existe d’autres moyens beaucoup plus rationnelles et beaucoup plus efficaces.

De toute évidence, les gens (Encore des intellectuels), qui ont proposés « le décor théâtral », n’ont jamais observés les conséquences du crash réel d’un gros avion commercial sur des bâtiments construits en dure.


Madame Lambda nous explique.
Le plus significatif reste encore, quelques temps plus tard, d’écouter l’explication d’un lambda basique :
« T’aurais vu ! Quand les avions sont entrés dans les tours de Manhattan, la fumée qu’il y avait sur San Francisco ! C’est Al-Qaïda, Ben Laden et ses Talibans qui ont fait l’attentat ! »


Conclusion
La seule chose qui différencie le lambda basique d’un brillant intellectuel. Le brillant l’intellectuel sait que Manhattan se situe à New York. Pour le reste, c’est pareil !

Il faudrait peut-être s’inquiéter de cette masse de cerveaux ensoutanés, bons à rien, nuls en tout, quand ils gagnent leur vie à expliquer la société dans les médias, les écoles ou encore les organisations politiques et associatives.

Aussi grave encore, quand ces mêmes cerveaux ensoutanés font la politique et rendent la justice.


Une préoccupation de cerveaux morts
Ce montage de guerre fera sur le coup quelques milliers de morts. Par la suite, par les guerres qui s’en découleront, il faudra encore ajouter quelques millions de morts. Ce n’est peut-être pas fini. Ce n’est peut-être que le début.

L’observation judicieuse était de repérer les catégories d’individus. Ceux qui ont porté la version officielle et ceux qui ont porté les versions officieuses.

Une recherche facile à réalisée serait de s’intéresser aux quelques milliers de personnes qui, aujourd’hui, sont toujours en vie pour avoir eut la bonne excuse. L’excuse de ne pas se présenter au travail ce matin là.

La réalité, personne ne la connaîtra jamais.
La vérité se cache là où rien n’est dit !

http://mondehypocrite501.hautetfort.com/

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