Comme annoncé l'affaire des moines de Tibhirines se transforme en déballage sur la place publique. Que les gens ne fassent pas de confusions. La France a crée avec l'aide de l'armée algérienne les GIAs, GICM, GSPC et AQMI. Le general Belkheir etait l'officier en chef de la France, plus precisement des interets de la communauté juive sioniste de France.
C'est lui qui a monté les GIAs depuis le Maroc, l'Afghanistan, l'Ex-Yougoslavie avec la DST et la police francaise comme révélé par 'Operation November 1950', le Maroc est une base arriere de la France, Israel les USA et la Grande Bretagne, ainsi que la Mauritanie, l'Egypte, le Yemen, la Jordanie pour ne citer que ces pays. C'est de ces pays que les mercenaires, faux Musulmans, utilisent le terrorisme pour le compte de pays occidentaux. Il n'y a aucun groupe musulman independant qui est responsable d'acte de terrorismes ou de massacres en Algerie ou ailleurs, les groupes aux mains de la France et de son DRS-DST sont responsables de tous les crimes visant des innocents.
Le but de la France etait de prendre contact avec tous les partis politiques et les monter les uns contre les autres depuis l'interieur. Ceci n'a pu etre possible que aux juifs sionistes Chadli Bendjedid et Larbi Belkheir, deux agents de la France-Israel et grace a Smain Lamari et Mohamed Mediene, des generaux de la DST-DRS mis en place par Larbi Belkheir dans les années 1980. Toutes les operations ayant eu lieu au Maghreb ou en France sont l'oeuvre de la DST, le GIA n'etant qu'une couverture pour contrer et combattre le FIS anti-francais du sheykh Ali Bel Hadj. La France a tenté par tous les moyens de corrompre le Sheykh Ali Ben Hadj mais elle n'a jamais pu le faire avec succes.
C'est lorsque le FIS a annoncé publiquement qu'il arreterait la fourniture de gaz et de petrole a la France que Larbi Belkheir a activé ses GIAs et ses hommes de paille dans le FIS pour declencher la guerre civile. Aujourd'hui le sheykh Bel Hadj est pret a temoigner devant des juridictions internationales contre la France et les generaux harkis de l'armée algérienne qui sont responsables du genocide et de la mort des moines. La France qui bloquait l'envoi de commissions internationales sur les massacres de civils en Algerie depuis 1998 est completement discreditée puisque le personnel de l'ONU a recu les preuves de l'implication de la France dans les frappes sur les batiments de l'ONU le 11 Decembre 2007 (Affaire Bajolet-Mecili).
Par tous les moyens Sarkosy essait de faire diversion et de monter toute la classe politique francaise a ses cotes pour sauver la face, mais sa paranoia l'a tué, son combat contre Villepin aux relents de guerre civile refait surface, il vient la de faire une des erreures politiques que la France paiera pendant des siecles. Sarkosy tente egalement de faire pression pour arreter ou ralentir les plaintes d'algeriens et de francais enleves par la police francaise (DST-DCRI) dans le cadre des enquetes sur le role de la France dans la creation des GIAs.
Quant a Layada, il fut l'un des premiers a comprendre que le GIA etait sous controle de la France et ses generaux harkis (Khaled Nezzar, Mohamed Lamari, Mohamed Touati, Betchine, Geziel, Belkheir, S Lamari, M Mediene dit Tewfik, etc...). Malheureusement, Layada est un agent retourné qui refuse de temoigner contre la France et les generaux devant des juridictions internationales, la France ayant reussie a le corrompre avec ses lois d'amnisties, créees a Paris pour proteger le personnel politique, policiers, magistrats et militaires du gouvernement francais impliqués dans le terrorisme au Maghreb (attentats de Rabat, Casablanca, Alger, Djerba ... ) et genocide algerien qui a fait entre 250 000 a 550 000 morts suite au coup d'etat de la France en 1991. Un génocide que la France ne finira jamais de payer.
Graves révélations de Abdelhak Layada «La France nous aidait à fomenter un coup d’Etat»
«Nous préparions un coup d’Etat pour renverser le gouvernement en 24 heures avec l’aide de la France. Ce coup d’Etat allait marcher mais a échoué avec le décès de Mohamed Boudiaf. La conjoncture était favorable et l’Etat était très faible à l’époque».
Ce sont de graves révélations qui ont été faites hier par Abdelhak Layada, premier «émir» national des groupes islamiques armés (GIA) quant au «rôle de la France» dans le terrorisme en Algérie. Cet élément-clé dans l’affaire des 7 moines de Tibhirine, assassinés en 1996 par les GIA, dirigés à l’époque, par Djamel Zitouni, réitère ses propos selon lesquels ce sont ces groupes armés qui ont assassiné ces religieux, en donnant cette fois d’autres informations de nature à s’interroger sur le rôle joué par des puissances étrangères dans le soutien au terrorisme en Algérie. C’était déjà dans les années 1990 lorsque Abdelhak Layada dirigeait les GIA. «Nous préparions un coup d’Etat pour renverser le gouvernement en 24 heures avec l’aide de la France.
Ce coup d’Etat a échoué avec le décès de Mohamed Boudiaf. La conjoncture était favorable et l’Etat était très faible à l’époque», révéle-t-il. «Il était question d’un coup d’Etat unique en son genre au plan mondial», ajoute-t-il. Les révélations de Abdelhak Layada ne s’arrêtent pas là. «Nous recevions (à l’époque) des armes de France et avions une publication baptisée ‘’Le Critère’’ qu’on publiait et diffusait à raison de 500 exemplaires en France, au su et au vu des autorités de ce pays», lance-t-il pour signifier que les GIA trouvaient toutes les facilités ainsi qu’une liberté de mouvement et de l’aide de la part de la France. «Ce n’est qu’après les attentats du 11 septembre 2001 que les choses ont changé.
La France aidait les GIA tant que le terrorisme ne touchait que l’Algérie et a changé son attitude parce qu’elle venait d’être touchée à son tour», selon Abdelhak Layada. «Que les autorités françaises expliquent les motifs de l’organisation du déplacement d’islamistes de ce pays vers le Burkina Faso puis leur retour vers la France», enchaîne-t-il.
«La DST m’a censuré»
Le premier «émir» national des GIA a, par ailleurs, qualifié de «mensonges» les propos du général à la retraite, François Buchwalter, imputant le décès des 7 moines de Tibhirine à une «bavure» de l’armée algérienne. «Ce sont les GIA de Djamel Zitouni qui ont assassiné ces 7 moines», lance-t-il. «Avant-hier, sur la chaîne de télévision France 24, je me suis exprimé sur l’affaire des 7 moines. A un moment, la communication a été interrompue. Mon téléphone portable ne fonctionnait plus et je suivais l’animateur de cette chaîne de télévision qui disait que cette communication a été interrompue et qu’il tentait de me joindre en vain. J’ai été censuré par le DST (direction de la surveillance du territoire, services secrets français)», ajoute Abdelhak Layada. Les GIA, rappelle-t-on, revendiquaient la libération de Abdelhak Layada, alors en prison, en contrepartie de la libération des 7 moines de Tibhirine.
A notre question de savoir qui était «Abdullah», intermédiaire en 1996 entre les GIA et la direction générale des relations extérieures (services secrets français) dans les négociations dans l’affaire des 7 moines, Abdelhak Layada dira que celui-ci avait deux frères qui travaillaient à l’ambassade de France, dont un comme fleuriste.
Abdelhak Layada s’exprimait hier dans un point de presse animé à Alger et dans lequel il a appelé le président de la République à «intervenir pour la réussite de la charte nationale pour la paix et la réconciliation nationale».
Il est à noter que Abdelhak Layada a été «émir» national des GIA jusqu’à 1994. Il a été arrêté au Maroc et extradé quelques années plus tard vers l’Algérie où il a été incarcéré avant de bénéficier des dispositions de la charte nationale pour la paix et la réconciliation nationale et libéré en 2006.
Par M. Abi
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