Apres le massacre des humanitaires du Mavi Marmara, les israeliens ne manqueront pas de faire sauter des villes européenes pour retourner l'opinion en leur faveur et accelerer leur agenda de guerre au Moyen Orient. Je rappelle simplement que nos informations ont toujours parlé de l'utilisation de bateaux et non d'avions comme vous pouvez facilement le verifier sur le blog ou sur le net. Ceci explique entre autres la situation de tres fortes tensions en France, ce dont, encore une fois, Sarkozy et les malades mentaux qui le conseillent, n'ont pas mesuré, l'ampleur de la situation et de l'atmosphere hostile au gouvernement d'occupation sioniste Sarkozyste. Les appels a la demission de Sarkozy ne sont qu'une confirmation du rejet d'une partie des elites europeenes du changement de cadre de gestion suite aux crises grecques, espagnols, anglaises et portuguaises, une situation qui reste complexe, mais qui explique en grande partie les operations de prises de controle par une ultra-minorité de zelotes du contient européen.
Wa Allah swt 'alam
Abu Suleyman
Les lettres qui accusent Nicolas Sarkozy
La société off-shore, basée à Luxembourg, par laquelle transitaient des commissions sur des contrats d'armements, a écrit aux plus hautes autorités françaises, dont Nicolas Sarkozy, afin de réclamer des fonds à l'État français.
Créée en 1994 avec l'aval de Nicolas Sarkozy alors ministre du Budget, Heine est utilisée par la branche internationale de la Direction des constructions navales (DCNI) pour verser les commissions aux intermédiaires sur les contrats d'armement, légales jusqu'en 2000. (AFP)
Dans ces courriers rédigés entre 2006 et 2008, dont fait état le journal Le Parisien lundi, les gérants de Heine SA, s'inquiètent de l'avenir de cette société et demandent la marche à suivre. Plusieurs de ces lettres, également adressées à l'ancien président de la République Jacques Chirac, ont été saisies par des policiers luxembourgeois à la demande de la justice française.
Créée en 1994 avec l'aval de Nicolas Sarkozy alors ministre du Budget, Heine est utilisée par la branche internationale de la Direction des constructions navales (DCNI) pour verser les commissions aux intermédiaires sur les contrats d'armement, légales jusqu'en 2000. L'une d'elles, écrite le 29 novembre 2006 à Nicolas Sarkozy laisse supposer une relation entre l'ancien ministre de l'Intérieur et Heine. «Votre lettre du 28 septembre dernier nous est bien parvenue. Mais à ce jour elle n'a pas été suivie d'effets», écrivent ses administrateurs pour qui «il y a une grande urgence à agir».
Huit millions d'euros
En 2004, la DCN, qui est un organisme public, souhaite mettre fin à sa collaboration avec Heine et la société qui lui a succédé, Eurolux. Selon plusieurs protagonistes de l'affaire, les dirigeants de Heine se seraient alors livré à un chantage auprès de la DCN et de ses autorités de tutelle en vue d'obtenir la somme qui, selon eux, leur était due. «Ils voulaient une indemnisation qu'ils estimaient à huit millions d'euros. Ils ont écrit un peu partout, à l'Élysée notamment», a raconté en octobre au juge d'instruction Philippe Japiot, président de DCNI de 2001 à 2007.
La vente de sous-marins au Pakistan en 1994, au cœur de l'enquête sur l'attentat de Karachi en 2002, laisse supposer, selon plusieurs témoins, l'existence de rétrocommissions -illégales- en faveur de la campagne présidentielle d'Edouard Balladur en 1995, ce que l'ancien Premier ministre dément. Dans une autre lettre à Jacques Chirac datée du 26 avril 2006, l'un des administrateurs, Yves Schmidt, rappelle que «de très gros montants ont circulé entre DCNI et Heine SA». «J'attire votre attention sur la personnalité des destinataires, des sommes versées», écrit-il au chef de l'État de façon sibylline.
Peu après son élection, Jacques Chirac avait ordonné que soient stoppés les versements de commissions pouvant donner à des rétrocommissions. Les dirigeants de Heine ont également écrit en janvier 2007 à Michèle Alliot-Marie, alors ministre de la Défense pour solliciter un rendez-vous, et en février 2008 à François Pérol, ancien administrateur de DCN et alors secrétaire général adjoint de l'Élysée.
lessentiel.lu avec AFP
http://www.lessentiel.lu/news/monde/story/18732333
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