Massacre de Beni Messous 1997 (200 personnes massacrées á l'arme blanche, la hache, femmes violées, femme enceintes éventrées, enfants en bas age decapités, les methodes classiques contre-insurectionnelles issues de la France coloniale): l’ordre venait du général Toufik
Ni les Etats-Unis (qui ont promis a Tewfik de le proteger), ni la France, ni l'Europe, ni le Qatar, ni l'Arabie Saoudite ne sont desormais en mesure de contenir le scandale de la guerre civile algerienne du coup d'etat francais en Algerie en 1991, pour preserver le controle du gaz et du petrole. La piece maitresse du dispositif terroriste de la France-Israel en Algerie, le general de la DST Mohamed Mediene dit Tewfik, est au centre de poursuites pour crimes de guerre, nul doute que Tewfik fera tomber les officiels francais qui l'ont conseillé et mis en place par l'entremise de leur representant officiel, le general Larbi Belkheir (le juif sioniste Solal Abulker de son vrai nom). Nous parlons des gouvernements francais depuis Rocard jusqu'a Fillon. Tewfik, comme ses maitres de la France-Israel, pense que declencher une nouvelle vague de terrorisme, lui assurera de rester au pouvoir pour se tirer du petrain, malheureusement le contexte interieur est tel que le glas sonne déjá ! Pour qui sonne le glas ? Sarkozy en total faillite est directement impliqué dans le scandale des GIAs, le Karachi-gate, l'affaire Woerth-Bettancourt, il a compris que seuls des attentats ou la guerre civile en France peut le sauver en 2012 du chaos et d'une fin de carriere digne de celle de Milosevic, en designant les 'etrangers', 'musulmans' a la vindicte populaire, ne pouvant ni assurer sa defense, ni sa protection, ni celle des services francais et celles des differents services gouvernementaux ayant organisé la guerre civile en Algerie, face aux mulitples plaintes en cours d'instruction dans toute l'Europe. Comme pour le debat sur l'identite nationale, Sarkozy se retrouvera seul et isolé, avec une petite minorité d'excités et d'illuminés pour le suivre dans une guerre civile, qu'il prépare depuis le debut des années 1990 avec ses maitres israeliens, mais qu'il sait perdu d'avance. Pour qui sonne le glas, il sonne pour toi France-Israel ! Le temps est cette fois de notre coté... la confirmation des crimes de guerres, crimes contre l'humanité vient de l'interieur meme des services francais en Algerie (DRS-DST), il y a le feu a l'Elysée....
Massacre de Beni Messous 1997 : l’ordre venait du général Toufik
Par Madjid Laribi,
Le Maghrébin,
Sur la chaîne satellitaire «El Hiwar », dans l’émission «Biwuduh », l’ex agent du DRS Karim Moulay, est revenu dans son témoignage sur certains drames qu’a connu l’Algérie durant le décennie noire. Du massacre de Sidi Youcef à Beni Messous au assassinats de personnes connues ou anonymes, Karim Moulay a dressé un tableau de ce que les citoyens avaient subi des années durant dans l’Algérois.
Le massacre de Beni Messous :
Selon le témoignage de Karim Moulay, l’ordre de massacrer les populations avait été donné par le général Toufik. C’était un lieu idéal d’investissement pour la famille du général qui avait déjà des ateliers dans le quartier et qui avait besoin d’élargir leur business, surtout après avoir reçu beaucoup d’argent des banques et contracté des contrats juteux avec les Saoudiens et les Espagnols. Selon ses déclarations, le neveu du Général Toufik, le dénommé Abdellatif, était déjà installé dans les lieux avec trois ateliers et avait urgemment besoin d’extension.
« Abdellatif était un ami, je lui rendais visite souvent dans ses ateliers à Sidi Youcef. Mais un jour il m’avait dit, au moment ou il soudait les portes de ses ateliers, ne viens pas me voir entre le 2 et le 10 septembre en insistant la dessus », a témoigné l’ex-agent qui a rajouté que plus de 200 personnes avaient été massacrées la nuit du 5 septembre 1997, à quelques lieux seulement des casernes. Par la suite, le reste des habitants avaient quitté les lieux en vendant leurs biens à des prix vraiment dérisoires.
Mars 1997 sur l’autoroute Zeralda :
En mars 1997, sur l’autoroute de Zéralda, sept citoyens avaient été assassinés par un groupe terroriste islamiste selon la presse de l’époque. Aujourd’hui, Karim Moulay affirme sur le plateau de la chaîne El Hiwar qu’il était sur les lieux. Avec Abassi dit Abdelkader, son officier traitant, et quatre de ses acolytes, ils revenaient d’un bar et ils avaient décidé cette nuit là de dresser un faux barrage. Ils s’étaient, excepté lui, déguisés en islamistes, avec des barbes et des « kamisses » afghans, et ils avaient arrêté deux véhicules sur l’autoroute. Les sept passagers avaient été mitraillés après les avoir fait descendre de leurs voitures.
Selon ses témoignages, leur chef Abassi disait qu’en poussant la barbarie à l’extrême, nous aurons le soutien des occidentaux.
Assassinats :
Karim Moulay a aussi évoqué d’autres assassinats. Comme celui de Salah Djebaïli, recteur de l’université de Bab Ezzouar, le 31 mai 1994. C’est lui qui avait donné les indications à Abassi dit Abdelkader, mais il ne savait pas, selon ses dires, qu’ils allaient l’exécuter froidement à la sortie de l’université, à 500 mètres seulement de deux barrages des forces de l’ordre.
La journaliste Hayat de Bousaada avait été tuée par la même équipe parce qu’elle avait refusé de travailler avec eux.
L’étudiant Hamza Mohamed de l’Institut polytechnique d’El Harrach, un activiste islamiste, avait été lui aussi exécuté et c’est Karim Moulay qui avait renseigné ses assassins.
Un autre étudiant proche du FIS, le nommé Bedrane Mohammed avait été enlevé devant l’amphithéâtre M et c’était lui qui les avait emmenés jusqu’à lui. Depuis il avait disparu.
Son officier traitant, le sinistre Abassi lui avait confirmé l’implication de son service dans l’assassinat de Djillali Liabes, directeur de l’Institut des études stratégiques et ex ministre ainsi que dans l’assassinat de Hamoud Hambli, enseignant à l’université de Tizi-Ouzou. Karim Moulay a évoqué aussi d’autres affaires et les méthodes utilisées par le DRS. Il dira aussi que « j’ai essayé de quitter le DRS lorsque j’ai vu ce qu’il faisait réellement, mais Abassi m’avait dit : une seule balle suffit, la liste des victimes du terrorisme est longue ».
http://www.lequotidienalgerie.org/2010/07/31/massacre-de-beni-messous-1997-l%E2%80%99ordre-venait-du-general-toufik/#comment-20526
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