Destabilisation de la France-Israel-Algerie : Sarkozy, GuƩant, Hortefeuj, Squarcini optent pour le terrorisme et les attentats a Lyon
L'agent israelien Bernard Squarcini vient confirmer nos dires sur plusieurs attentats en preparation dans la region lyonnaise par des groupes controlƩs comme le GIA qui a pris le nom d'AQMI, par le gouvernement franco-israelien a Paris. La DST est derriere les attentats de 1995, avec les reseaux Pasqua, dont Gueant, Sarkozy faisaient parti. Il a ƩtƩ demontrƩ avec l'affaire de la 'french connection' que Pasqua n'Ʃtait qu'un vulgaire escroc travaillant pour le mossad en France, Afrique, et Canada.
Bernard Squarcini fait l'objet d'attentions toutes particulieres depuis que ses equipes ont ƩtƩ pris la main dans le sac dans le cadre des attentats a la bombe sale, bombes radioactives en novembre 2008. La tension est montƩe d'un cran Ʃgalement car l'affaire des moines de Tibhirines, les derniers tƩmoignages viennent confirmer que la DST en France controlait les GIAs et ses embryons en Algerie et au Maroc depuis 1989 et que les moines ont Ʃte les victimes d'une operation de la DST sur ordre de Charles Pasqua et ses rƩseaux (dont les gƩnƩraux Smain Lamari et Tewfik travaillaient pour la DST sur ordre de l'agent de la France-Israel Larbi Belkheir.
C'est d'ailleurs les services francais qui ont selectionnƩ ces gƩnƩraux, et c'est Belkheir qui les a mis en place), ce que le juge Trevidic ne peut plus ignorer. L'audition du juif sioniste Philippe Rondot, crƩateur avec Larbi Belkheir des GIAs, ne fera que destabiliser encore plus le gouvernement en place. La seconde affaire qui embarasse les services francais est l'affaire Mecili ou la encore la France a fait assassiner un leader de l'opposition algerienne Ali Mecili, en France en 1987, pour proteger le general Larbi Belkheir, et l'ancien president algerien Chadli Bendjedid et sa femme, des juifs sionistes travaillant pour la France-Israel.
Le troisieme point le plus important est l'implication directe de la France-Israel dans l'assassinat de Rafik Hariri au Liban, le Hezbollah disposant de preuves irrefutables pouvant provoquer une crise politique majeure en France. Sarkozy et sa brosse a reluire Claude Gueant accusent des algƩriens d'avoir fournis les preuves au gouvernement syrien qui s'en sert pour menacer Sarkozy et Tel Aviv...
L'enquĆŖte sur les moines de TibĆ©hirine relancĆ©e
Isabelle Mandraud, Le Monde, 09.09.10
L'ancien ambassadeur de France en AlgĆ©rie, Michel LĆ©vĆŖque, devait de nouveau ĆŖtre entendu jeudi 9 septembre par le juge antiterroriste Marc TrĆ©vidic, chargĆ© de l'enquĆŖte sur l'assassinat des sept moines de TibĆ©hirine, en AlgĆ©rie. Quatorze ans aprĆØs les faits, le magistrat cherche toujours la vĆ©ritĆ© dans ce dossier et Ć dĆ©mĆŖler certaines ambiguĆÆtĆ©s. Or, les documents sur lesquels le secret-dĆ©fense a Ć©tĆ© levĆ© en ont apportĆ© de nouvelles.
Dans ceux remis par le ministĆØre des affaires Ć©trangĆØres figurent les fax cryptĆ©s transmis par l'ambassadeur Ć sa hiĆ©rarchie aprĆØs la dĆ©couverte, le 30 mai 1996, sur le bord d'une route, prĆØs de MĆ©dĆ©a, des tĆŖtes des moines dont les corps n'ont jamais Ć©tĆ© retrouvĆ©s. DĆØs le lendemain, M. LĆ©vĆŖque s'est rendu Ć l'hĆ“pital militaire d'AĆÆn Nadja, Ć Alger, pour identifier les restes des religieux.
Le 2 juin 1996, il rĆ©dige une note de deux pages sur les constatations faites, Ć©crit-il, par "le mĆ©decin de gendarmerie de (l')ambassade qui m'avait accompagnĆ©". Les remarques sont d'ordre mĆ©dical. Elles relĆØvent des indices, "les boĆ®tes osseuses ne portent aucune trace de projectile", ou bien soulignent la trace d'une fracture particuliĆØre sur l'un des crĆ¢nes, "laissant Ć penser que les dĆ©capitations ont Ć©tĆ© effectuĆ©es par une arme blanche et lourde."
Deux autres tƩmoins
La note se conclut par une Ć©valuation de la date du dĆ©cĆØs : "Les diffĆ©rentes constatations visuelles effectuĆ©es par le mĆ©decin de la gendarmerie conduisent Ć penser que le dĆ©cĆØs des sept moines pourrait remonter Ć une pĆ©riode situĆ©e entre le 16 et le 21 mai (date de revendication de l'assassinat des moines par le GIA)." Ces Ć©crits sont en tout point conformes aux dĆ©clarations faites dix ans plus tard, le 12 avril 2007, par M. LĆ©vĆŖque lors de son audition par le premier juge antiterroriste chargĆ© du dossier, Jean-Louis BruguiĆØre.
Mais deux autres tĆ©moins sont venus rĆ©cemment contredire la version de l'ambassadeur. Le 24 juin 2010, le mĆ©decin chef des armĆ©es, Tantely Ranoarivony, qui exerƧait la fonction de mĆ©decin de la gendarmerie Ć l'ambassade de France Ć Alger en 1996, a Ć©tĆ© pour la premiĆØre fois entendu. AgĆ© alors de 26 ans, spĆ©cialisĆ© dans la chirurgie maxillo-faciale, il Ć©tait bien prĆ©sent le 31 mai 1996 Ć l'hĆ“pital d'AĆÆn Nadja pour aider Ć identifier, d'aprĆØs des photos, les moines qu'il ne connaissait pas et dont il dĆ©couvre sur place, "interdit", qu'il n'y a que les tĆŖtes dans les cercueils. Ses souvenirs, avec le temps, sont imprĆ©cis, mais, surprise, il affirme ne pas ĆŖtre l'auteur des constats. "Je ne me souviens pas avoir donnĆ© Ć l'ambassadeur ces indications qui paraissent trĆØs prĆ©cises et trĆØs techniques", dĆ©clare-t-il au juge TrĆ©vidic, comme le rapporte le procĆØs-verbal consultĆ© par Le Monde.
"Je n'ai pas donnĆ© d'indication sur la datation des dĆ©cĆØs, car je ne suis pas mĆ©decin lĆ©giste", ajoute-t-il. M. Ranoarivony prĆ©cise au passage qu'il lui avait Ć©tĆ© demandĆ© de tenir secret l'absence des corps.
Cassettes intriguantes
Le 24 aoĆ»t, entendu pour la premiĆØre fois Ć son tour, l'ancien consul de France, FranƧois Ponge, Ć©galement prĆ©sent Ć l'hĆ“pital ce 31 mai 1996, abonde dans le mĆŖme sens. "Je lui ai posĆ© la question de la date du dĆ©cĆØs, il n'a pas pu me rĆ©pondre, dit-il Ć propos du mĆ©decin gendarme. Je ne me souviens pas d'autres questions en ma prĆ©sence." D'autres mĆ©decins auraient-ils pu faire les constatations ?
Ces Ć©lĆ©ments trouveront peut-ĆŖtre une rĆ©ponse mais ils contribuent au trouble qui continue d'entourer l'assassinat des moines - revendiquĆ© par le GIA. D'autant que des cassettes vidĆ©o de terroristes repentis, transmises par les autoritĆ©s algĆ©riennes et dĆ©couvertes sur le tard par le juge TrĆ©vidic dans le coffre du bureau de son prĆ©dĆ©cesseur, ne laissent pas d'intriguer. RĆ©cemment traduites, elles confirment en effet que des opĆ©rations militaires ont Ć©tĆ© menĆ©es dans la zone oĆ¹ Ć©taient dĆ©tenus les moines, contrairement aux promesses faites par Alger Ć Paris.
En juin 2009, l'ancien attachĆ© de dĆ©fense Ć l'ambassade de France, FranƧois Buchwalter, avait dĆ©jĆ jetĆ© un pavĆ© dans la mare en Ć©voquant des tirs d'hĆ©licoptĆØres de l'armĆ©e algĆ©rienne, qui auraient mitraillĆ© le camp oĆ¹ se trouvaient les religieux. "On progresse pas Ć pas, et on obtient de plus en plus d'Ć©lĆ©ments du cĆ“tĆ© franƧais, se fĆ©licite Patrick Baudoin, l'avocat de la partie civile. L'objectif, maintenant, est de rassembler le maximum de connaissances pour pouvoir se tourner du cĆ“tĆ© algĆ©rien et obtenir qu'ils se dĆ©voilent plus qu'ils ne l'ont fait jusqu'Ć prĆ©sent."
Le gĆ©nĆ©ral Rondot Ć nouveau convoquĆ© par le juge, avec ses carnets
Isabelle Mandraud, Le Monde, 09.09.10
C'est un personnage clĆ©, dans l'enquĆŖte sur l'assassinat, en 1996, des moines de TibĆ©hirine, que le juge antiterroriste Marc TrĆ©vidic s'apprĆŖte Ć entendre. Le 27 septembre, le gĆ©nĆ©ral Philippe Rondot, qui Ć©tait au coeur des discussions avec Alger, devra dire ce qu'il sait du rĆ“le jouĆ© par les services secrets algĆ©riens. NumĆ©ro deux de la DST Ć l'Ć©poque, M. Rondot avait dĆ©jĆ Ć©tĆ© entendu par le juge Jean-Louis BruguiĆØre en dĆ©cembre 2006, sans se livrer. Mais cette fois, il ne devrait plus pouvoir s'abriter derriĆØre le secret-dĆ©fense.
Le juge TrĆ©vidic dispose en effet de documents dĆ©classifiĆ©s, Ć sa demande, par la commission consultative du secret de la dĆ©fense nationale, dont trois notes du gĆ©nĆ©ral Rondot, plus une copie de ses fameux carnets personnels - rendus cĆ©lĆØbres dans le cadre de l'affaire Clearstream.
Ancien responsable Ć la DST, puis Ć la DGSE, cet expert en diplomatie secrĆØte y consignait quasiment au jour le jour, en style tĆ©lĆ©graphique, ses entrevues, contacts et notes. Or, dans les Ć©crits qui couvrent la pĆ©riode, de 1997 Ć 2005, figurent plusieurs rĆ©fĆ©rences curieuses sur TibĆ©hirine.
Ainsi, Ć la date du 23 dĆ©cembre 2002, le gĆ©nĆ©ral, parti Ć la retraite fin 2005, note Ć propos du dĆ©placement de Jacques Chirac en AlgĆ©rie : "Voyage du PR (prĆ©sident de la RĆ©publique) Ć Alger (...) Double jeu de la DRS (DĆ©partement du renseignement et de la sĆ©curitĆ© algĆ©rienne)." Suit une double flĆØche dĆ©signant, d'une part, les "services franƧais", d'autre part, le "GIA" (Groupe islamique armĆ©). Nouvelle flĆØche. "Ex. : l'affaire des moines de TibĆ©hirine."
SpĆ©cialiste du monde arabe, M. Rondot avait, dans ses fonctions, tissĆ© des relations Ć©troites avec les services algĆ©riens, notamment SmaĆÆn Lamari, le patron de la direction du contre-espionnage (DCE), aujourd'hui dĆ©cĆ©dĆ©. Dans les trois notes dĆ©classifiĆ©es parvenues au juge, le gĆ©nĆ©ral franƧais faisait Ć©tat de ses contacts rĆ©guliers avant d'Ć©mettre des rĆ©serves.
Surtout, il donne en partie corps Ć la thĆØse d'une "bavure" de l'armĆ©e algĆ©rienne avancĆ©e par l'ancien attachĆ© militaire Ć l'ambassade de France, FranƧois Buchwalter, lors de son audition le 25 juin 2009. M. Rondot cite ainsi M. Lamari Ć propos d'"opĆ©rations de ratissage engagĆ©es dans la zone". Mais de ses doutes ou interrogations, le gĆ©nĆ©ral n'en a jamais fait part jusqu'ici Ć la justice. Tout au contraire. Dans ses carnets, il Ć©crit : "DĆ©j du 22.01.04 Ć la popote. Juge BruguiĆØre. P. du Bousquet (Pierre de Bousquet de Florian, patron de la DST de 2002 Ć 2007) + JF Clair (son adjoint). Examen des dossiers. TibĆ©hirine. Seurat." Une flĆØche. "Encadrer le juge."
http://www.algeria-watch.org/fr/article/just/moines/enquete_relancee.htm
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Allez pour une fois seulement, courage! Publies mes commentaires !!