Laïcité française – guerre génocidaire et Évangélisation !
Malgré son apparente intolérance étatique, les dérogations à la laïcité continuent principalement en faveur des Églises catholiques, protestantes et juives mais contre d’autres religions, en particulier l’Islam, malgré que la France compte entre 5 et 6 millions de Musulmans. Aujourd'hui la laïcité en France est devenue une arme anti-sémite anti-arabe et anti-islamique dans une pratique d'intolérance sélective.
La secte talmudique, franc-maconnique au pouvoir utilise la laicite pour provoquer une guerre des civilisations en occident. La laicite est la religion incréée de la franc-maconnerie, jamais mise reellement en pratique, elle est l'arme de la haine, du racisme, de la division, de l'occupation, de la discrimination contre les minorités et contre les Musulmans qui ne se soumettront jamais a la secte talmudo franc maconique jacobine ni a ses partis politiques responsables des genocides des peuples au service du sionisme mondialisant de ce debut de 21 ieme siecle. Il n'y aura jamais d'Islaam 'de France' ni d'Islaam 'laic', la laicite etant un instrument de domination coloniale en France comme ailleurs, les israeliens de France ont un agenda de guerre civile, ils ne font que se jetter dans leurs propres tombes tant il est aisé de lire dans le livre des chiens enragés de Tel Aviv.... comme l'histoire se repete.
« Ainsi, le bon stratège manipule l’ennemi tout en cachant ses propres intentions. » (Sun Tzu, l'Art de la guerre).
1. Introduction
La laïcité (il faut le répéter) est un concept français qui sépare l’Église catholique de l’État, y compris l’enseignement.
Un laïc (laïque) est un catholique qui n'appartient pas au clergé. Alors, un laïcat se réfère à un « ensemble des laïques dans l’Église catholique ». La laïcité [dérivée de laïque ou laïc adj. et n. (latin: laicus; grecque: laikos, qui appartient au peuple)] est un terme qui préconise l’indépendance des conceptions religieuses ou partisanes, et désigne un système qui exclut l’Église catholique de l’exercice du pouvoir politique ou administratif, et en particulier de l’organisation de l’enseignement public. Le laïcisme est la « doctrine des partisans de la laïcisation des institutions ». Laïcisation est l’action de laïciser, qui, à son tour, veut dire « rendre laïque ».
La laïcité est un signe d’une sécularisation de la société. Le terme séculariser veut dire rendre (des clercs) à la vie laïque. Séculier ou séculière (du latin: saeculum, siècle) « se dit d’un prêtre qui n’appartient à aucun ordre ou institut religieux (par opp. à régulier) »; qui vit dans le siècle, et n’a pas fait de vœux monastiques.
Dans la France pré-1789, le Catholicisme était reconnu comme la religion officielle. Le concept de la laïcité fut affirmé pour la première fois en matière politique avec la Révolution française [1789], qui renversa la Monarchie Bourbon et pour objectif de séparer l’Église Catholique de l’État. La laïcité apparaît comme un des fondements du pacte républicain. L’affirmation de la laïcité ne postule pas la disparition du principe spirituel, mais fait de celui-ci une pratique individuelle, relevant exclusivement de la sphère privée. Mais il y a eu beaucoup de dérogations et de controverses durant l’ère post-Révolution française.
Le système laïque français ne reconnaît, au niveau de l’État, ni l’existence d’un principe religieux, et ni les spécificités des communautés, laissant ainsi les croyances religieuses uniquement aux niveaux individuels. En France, l’histoire de la laïcité présente une originalité certaine, et les termes « laïque », « laïcité » sont intraduisibles hors des langues latines. Quoique la laïcité dénote la sécularisation de l’état, un état séculier n’est pas nécessairement laïque.
2. La philosophie des Lumières et la naissance de la laïcité
Les hiérarchies qui dominèrent les sociétés occidentales au Moyen Âge reproduisaient la primauté du spirituel sur le temporel, tel que le concevait par exemple Saint Augustin [354-430] dans la Cité de Dieu. Le roi de France était « le lieutenant de Dieu sur terre ». Sacré à Reims par l’archevêque de la ville, il reçoit alors l’onction et prête serment de défendre l’Église catholique et sa foi. La Réforme affirma le principe de l’identité entre le souverain et les sujets, selon l’adage « cujus regio, ejus religio » - telle la religion du prince, telle celle du pays. Cette primauté du spirituel sur le temporel se traduisait dans tous les actes de la vie sociale (à la naissance, au mariage et à la mort); elle avait de plus une incidence très directe sur le statut sociale des fidèles qui ne pratiquaient pas la religion principale du pays, le Catholicisme, comme dans le cas des Protestants et des Juifs dans la société française.
La philosophie des Lumières [1745-1785] se veut en France - Descartes l’annonçait - essentiellement laïque. Elle refuse d’être la servante de la théologie. Les circonstances propres à la France - sa centralisation, son catholicisme d’État, une Église catholique qui continue ses procès de sorcellerie, une agriculture défaillante, son intolérance de Contre-Réforme - ont fait, dans ce pays, de la philosophie anticléricale. La philosophie des Lumières est celle qui retire la France de l’ « obscurantisme catholique ». [v. Descartes, Malebranche, Fontenelle, Fénelon, Voltaire, Montesquieu, Diderot, Rousseau, quelle que soit leur diversité].
Aux États Unis, la Révolution Américaine [1776] fut inspirée de la philosophie des Lumières. Quoique la séparation de l’Église et de l’État est formellement insérée dans le 1er Amendement de la Constitution [1791], démontrant le principe de la sécularisation de l’État, le système américain permet, en cœxistence sociale, l’existence de la liberté religieuse et l’existence d’une religion civile qui perdure encore aujourd’hui. La France révolutionnaire et post-révolutionnaire ne pourra pas réaliser cette cœxistence et elle inventera une solution différente: la laïcité, terme emprunté à l’Église catholique.
Des auteurs comme Voltaire se firent les défenseurs de la tolérance tandis que, pour la France, la théorie de Rousseau s’averrait très paradoxale, car elle faisait partie des dogmes élémentaires de la religion civile : « hors de l’Église, point de salut ». Sans nommer le catholicisme, religion civile coïncidait avec religion positive, autrement dit dogmes de base de la morale sociale et système ecclésial particulier. Cela était inacceptable pour les partisans de la liberté religieuse, et, avec la Révolution française, dès 1789, la Déclaration des droits de l’Homme affirma dans son article 10 le principe de la liberté de conscience: « nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi ». Les Juifs et les Protestants étaient alors ‘égaux’ avec les Catholiques. Ce principe confirmait que la citoyenneté primait l’appartenance confessionnelle. Tout en allant dans le sens d’une laïcisation, l’État assurait désormais les actes de l’état civil à la place de l’Église catholique, et se préoccupait de mettre en place les fondements d’un enseignement public.
3. Les controverses
Durant les années sous le Consulat, Napoléon Bonaparte définissait le cadre institutionnel de la laïcité. La signature du Concordat avec Rome [1801] reconnaissait le Catholicisme comme «religion de la majorité des Français», mais n’excluait pas la reconnaissance des autres cultes (protestant et israélite) et leur organisation et structures capables de représenter ces communautés auprès des pouvoirs publiques. La laïcisation de l’état civil et le droit au divorce étaient confirmés. L’organisation du système éducatif échappait ainsi au contrôle de l’Église, sauf pour l’enseignement primaire.
Mais cet ordre restait toujours instable. Le régime de la Restauration [1814], tout en confirmant le principe de la liberté religieuse, rétablit l’interdiction du divorce [1815] et promulgua la loi sur le sacrilège [1825]. Dans l’enseignement, la neutralité subissait de multiples dérogations, comme la dérogation au monopole étatique pour l’enseignement primaire [loi Guizot, 1833] puis secondaire [loi Falloux, 1850]. Ces dérogations marquaient aussi la IIe République [1852-1870].
Les débuts de la IIIème République furent marqués par un affrontement entre légitimistes et républicains opportunistes et radicaux (les deux France). Ces derniers partagèrent une philosophie de rationalisme kantien, avec une appartenance à la franc-maçonnerie, et estimèrent que la laïcité était indissociable des valeurs de la République à construire. Les lois Ferry [1882 et 1886] avaient pour ambition d’enraciner la République, en faisant de l’école lieu d’enseignement d’une morale laïque, fondée sur les valeurs de la Révolution française [1789], le creuset de la nation. Pour Jules Ferry, la religion n’est pas le fondement de la morale mais, au contraire, la morale constitue l’élément solide et stable des religions. Une « morale laïque » peut donc devenir la valeur commune assurant le lien social. La laïcité est fondée sur le refus implicite d’une religion civile. La séparation de l’Église catholique et de l’État (1905), réalisé par le ministère Combes, marqua l’apogée de cette crise entre légitimistes et républicains. Cette loi réaffirmait le principe de la liberté de conscience tout en indiquant ne plus reconnaître aucun culte (religion).
Quoique le principe de la laïcité fût l’objet de nombreuses dérogations sous le gouvernement de Vichy, le régime des lois de 1905 est implicite dans la constitution de 1946, repris en 1958, aux « principes fondamentaux reconnus par les lois de la République ». Les deux textes constitutionnels réaffirmaient par ailleurs le caractère laïque de la République française.
4. La tendance internationale
L’histoire de la laïcité en France présente une originalité certaine, au point de n’être, selon certains auteurs, que « l’exception française ». Cette exception, réelle, n’est pourtant que relative. Le premier piège est ici la langue : « laïque », « laïcité » sont intraduisibles hors des langues latines. En anglais, secular (par opposition à lay) apparaît comme une catégorie générale. Ainsi s’explique que, sur les 170 États internationalement reconnus, seuls 9 États francophones d’Afrique et la Turquie (qui a démarqué le mot français) se sont proclamés « laïques ». Beaucoup plus nombreux sont ceux qui se pensent comme « séculiers », y compris les États-Unis. Les colons britanniques ou européens avaient fui leur pays pour trouver en Amérique la liberté religieuse. C’est cette liberté que les constituants voulurent préserver contre tout empiètement du nouvel État, à l’inverse de la France qui se heurtait à la dominance de l’Église catholique.
En vertu de la Déclaration universelle des droits de l’homme [1948], tous reconnaissent le droit de chaque homme à la liberté publique (et non seulement privée) de conscience et de religion. Plusieurs pays, de moins en moins nombreux, continuent à reconnaître l’autorité supérieure de l’Église catholique (c’était le cas de l’Espagne, de l’Italie, de plusieurs pays latino-américains et quelques cantons suisses; c’est encore le cas de Monaco et du Liechtenstein, du Guatemala, du Costa Rica et de la Colombie) ou de l’Église orthodoxe (Grèce). La formulation la plus crue se trouve dans la Constitution de Malte, qui reconnaît à ses évêques « le droit et le devoir de dire le vrai et le faux, le bien et le mal en matière de principes » (art. 2.2). Radicalement différente est la situation des pays nordiques (Suède, Norvège, Danemark, Islande) et de l’Angleterre : la situation privilégiée d’une Eglise dite établie, nationale ou populaire, peut faire peser ses contraintes sur la population, voire sur la personne du souverain : elle laisse entière la souveraineté de l’État qui a autorité sur elle.
Une question reste ouverte : comment qualifier ces États qui font référence non à une Église particulière, mais à l’autorité souveraine de Dieu? Ce fut le cas de la France déclarant les droits de l’homme « en présence et sous les auspices de l’Être suprême » (ainsi que l’a rappelé la Constitution de 1958). C’est toujours celui des Etats-Unis, placés « under God », sous la souveraineté de Dieu, et dont la monnaie rappelle que « in God we trust », c’est-à-dire, nous ne faisons confiance qu’en Dieu; comme de la Suisse : « Au nom de Dieu tout-Puissant » de sa Constitution fondatrice (1291).
À l’opposé se trouvent - ou se trouvaient - les États communistes professant le marxisme athée. L’État restait celui de tous les citoyens, même s’il privilégiait le Parti officiellement athée.
Hors du domaine chrétien, la situation est analogue : la Chine et le Vietnam restent dans la tradition marxiste; le Népal est un État hindou; le Bhoutan est un État Bouddhique; les Philippines suivent le modèle américain; la Corée du Sud interdit toute religion d’État, ainsi que le Japon depuis 1946. Le monde musulman présente à peu près tous les cas de figure, et l’État islamique n’est qu’une des situations possibles.
Un tour du monde montre ainsi que bien des États contemporains sont encore loin d’une conception laïque et se montrent inégalement avancés sur cette voie. Par ailleurs, bien des États dont le caractère séculier est incontestable ne sont pas disposés à se dire « laïques ». Dans les enceintes internationales, c’est la sécularisation qui donne le ton.
5. L'intolérance d'un État laïque ou une laïcité à la carte
La laïcité est considérée comme « une exception française » :
(1) s’opposant non seulement aux modèles politiques à religion d’État, même s’ils sont élus par voie de la démocratie (par exemple, l’Algérie), mais
(2) s’opposant également à une tradition anglo-saxonne qui reconnaît, sans adopter, dans le cadre de l’État, l’existence d’un principe religieux, tout en laissant chaque citoyen adopter la croyance qu’il souhaite, et
(3) s’opposant aussi à la solution américaine qui reconnaît les spécificités de toutes les communautés, tout en séparant la religion de l’État Civil.
En Turquie la laïcité était carrément imposée par une constante violation des droits de l'homme. Avec le nouveau gouvernement turc, cette politique a bien changé.
Le système laïque français ne reconnaît, au niveau de l’État, ni l’existence d’un principe religieux, système basée sur l’athéisme : « Après 1945 : anticléricalisme composite irréligieux, laïc (opposition aux écoles catholiques) ou matérialiste athée »], et ni les spécificités des races et des communautés (principe intégrateur), laissant les croyances religieuses et leurs enseignements à la sphère privée. Même les langues et l’habillement deviennent par force sujets à la laïcisation. L’enseignement des langues non européennes en France ne prend pas en considération les dimensions culturelles et religieuses de ces langues, comme les langues hébraïques, arabe, indiennes.
Par contre, la laïcité autorise et impose l’enseignement de la théorie de l’évolution biologique de l'espèce humaine, basée sur l’athéisme, mais elle interdit catégoriquement l’enseignement de la théorie de la création biblique ou autre. [v. les ouvrages du Dr Kent Hovind [USA] sur le créationnisme v/s l’évolutionnisme]. L’athéisme préconise, entre autre, que c’est la nature temporaire de la vie qui pousse les humains vers une croyance divine incertaine, et que la divinité, si elle existe vraiment, n’est que d’ordre spirituel et non temporel, entravant ainsi le progrès et le développement, ce qui est tout à fait faux, bien sûr !
Malgré son apparente intolérance étatique, les dérogations à la laïcité continuent principalement en faveur des Églises catholiques, protestantes et juives mais contre d’autres religions, en particulier l’Islam, malgré que la France compte entre 5 et 6 millions de Musulmans. Aujourd'hui la laïcité en France est devenue une arme anti-sémite anti-arabe et anti-islamique dans une pratique d'intolérance sélective. Quoique la laïcité n’a rien à voir avec l’habillement, par son racisme étatique, la France s’élève contre toute tenue islamique, voir le hijab ou le jilbab, alors qu’elle encourage la tenue indécente. Charles Pasqua, ancien Ministre de l’Intérieure, prétend avoir inventé un ‘Islam de France’ qu’il voulait non seulement imposer sur les Musulmans en France mais aussi exporter dans le but de détruire la langue arabe et la culture islamique. Le Président juifiste Nicolas Sarkozy poursuit cette politique raciste et inflammatoire contre les Musulmans. À savoir que ce sont bien les pays que se disent laïques ou séculiers qui ont créé un état religieux juifiste en Palestine. La France elle-même est dirigé par le CRIF, le lobby juifiste, et le Quai D’Orsay est souvent décrit comme un « nid de juifistes », alors qu’ils parlent à tort d’islamistes. Il existe en France la « Ville Juif », l’Hôtel-dieu (établissement public), Rue Saint Denis, etc. C’est bien la laïcité française, deuxième version !
L’île sœur, la Réunion, département français, s’exprime parfois politiquement à contre-courant de la métropole, par exemple, en reconnaissant la spécificité des différentes ethnies et religions. Mais, dans le but d'empêcher les Créoles de ses D.O.M.-T.O.M., Départements et Territoires Outremers français, de faire des recherches plus approfondies sur leurs véritables identités ancestrales basées sur leurs langues (comme le Swahili, le Zulu) et religions (comme l'Islam), la France inventa aussi l'idéologie créoliste pour ses communautés dits créoles, la « créolité » étant une dérogation à la laïcité. La laïcité française est alors une laïcité à la carte !
6. Conclusion
La sécularisation et le déclin de la croyance et pratique religieuse étaient considérés par certains comme le cachet de la modernisation et de la démocratie libérale de l’ouest. Mais récemment, depuis la Révolution iranienne [1979], la prise de conscience des valeurs fondamentales de l’Islam, la résurrection de la Nouvelle Droite et les valeurs fondamentales dans la politique des États Unis dans les années 1980, le démantèlement des régimes communistes les plus séculiers (ultra laïques) vers la fin de cette décennie, les révolutions tunisienne (2011) et égyptienne (2011), la religion est largement reconnue comme un puissant facteur tant dans la vie individuelle que dans la vie publique . Quoiqu’il en soit, malgré que, d’après Jules Ferry, c’est la morale qui constitue l’élément solide et stable des religions, et non vice versa, il est de plus en plus reconnu qu’un ordre moral ne peut pas être laïque car la moralité et les religions du monde sont inexorablement liées. Pendant que la France distrait les esprits par une laïcité trompeuse, elle soutient en même temps le monde occidental et est directement imbriquée surtout depuis que Sarkozy, trahissant De Gaulle, a rejoint l’OTAN, dans des guerres génocidaires contre les Musulmans et l’Islam s’alliant en même temps à des dizaines de millions de Croisés chrétiens évangélistes (v. « Christian Invaders » (« Envahisseurs Chrétiens », par le Prof. Sam Richards, Penn State University).
M Rafic Soormally
Londres
22 février 2011
Article original 29 juin 2002 sous le titre « Laïcité française, intolérance de l’état laïque ».
2 Comments
Attention à bien faire la différence, entre l'église Catholique qui est autant attaquée que l'islam, voir plus car elle a quasiment été détruite par la juiverie et ses sbires FM et autres paravents illuminés.
L'évangélisme et le protestantisme, mais aussi le jésuitisme sont des christianisme judaisé, et n'ont rien à voir avec le catholicisme. Ils en sont devenu l'antithèse.
L'intérêt de la juiverie est que nous confondions tout de façon à nous diviser. Bien sûr le Catholicisme a été infiltré depuis longtemps et dévié par petites touches de sa voie première, mais ne peut on en dire autant de l'Islam ? Quand on vois sur daily et youtube le nombre de soit disant musulmans sunnites qui laissent ISRAEL tranquille et s'attaque en priorité à l'Iran et au chiisme. Mais aussi le Wahhabisme on peut se poser la question.
Sinon comme d'hab, ton site est excellent et tes infos toujours percutante, quoi que parfois elles ne se réalisent pas, mais on ne te reprochera pas de leur mettre les bâtons dans les roues, et de les empêcher de comploter rond..
Salutations.
En esperant qu'elles ne se realisent pas car denoncée a temps...
Et Allah swt est le plus SAvant, toujours !