Quand Gueant annoncait que les exercices 'anti-terroristes' du 17 Juin 2011 en banlieue parisienne etaient tenus secrets, il devait etre sous effet de la cocaine.... Nous apprenons que les dealers de came ont maintenant peur que leurs cargaisons soient coulées en Méditerannée. Il faudrait que le GIGN et le RAID s'entrainent a voler de Paris jusqu'en Corse pour pouvoir eviter que le came ne soit pas perdue en mer. Ce serait bien que les francais voient qui fait rentrer la dope en France! Tu crois vraiment que le RAID peut voler de Paris avant que le bateau ne coule ? Qu'est ce que tu prends avec Pasqua? De l'israelienne ? Il y a une seule et unique grille de lecture pour ces exercices de manipulations.
Pour ceux qui suivent le blog assidument, nous avons prevenu la semaine derniere et les semaines auparavant d'operations terroristes sionistes en Europe pour l'été 2011, le gouvernement francais travaille a une fausse attaque AQMI depuis Novembre 2008, la DCRI n'a jamais pu se remettre de cette affaire et la elle vient de se prendre encore une gifle. Vous devez avoir l'habitude maintenant bande d'incompetents racistes, le jour meme !
Avertissement d'attentats sous fausse banniere allant du 10 Juin 2011 au 26 Novembre 2011. Cliquez-ici. !
Anti-terrorisme : trois attaques simulées en Ile-de-France
Une opération sans précédent de simulation d'attentats de type NRBC (nucléaire, radiologique, biologique et chimique) ont eu lieu vendredi en région parisienne.
Paris et sa région ont connu vendredi une simulation d'attentats d'une ampleur exceptionnelle. Le scénario du ministère de l'Intérieur et de la préfecture de police, révélé par Marianne 2, a imaginé simultanément une attaque chimique d'un kamikaze à l'Ecole militaire (Paris VIIe), une autre offensive chimique suivie d'une explosion dans un train à Massy-Palaiseau (Essonne), tandis qu'une troisième bombe toxique explosait au centre d'essais des propulseurs de Saclay (Essonne).
Le bilan imaginaire de ces trois attaques s'élève à six morts et une centaine de victimes contaminées, tandis que deux prises d'otages sur des sites pétrochimiques étaient simultanément reconstituées sur un site militaire à Beynes (Yvelines) mais virtuellement distantes de plusieurs dizaines de kilomètres. L'objectif de l'opération est de faire collaborer les effectifs du Raid et du GIGN.
Au total, ce sont 1300 policiers, gendarmes, secouristes du Samu et pompiers, ainsi que des services de la Justice, qui ont été mobilisés pour cette opération baptisée NRBC 11. Le ministre de l'Intérieur Claude Guéant a supervisé l'exercice depuis le bunker souterrain de la place Beauvau. Trois hôpitaux franciliens (Percy à Clamart, Necker et Lariboisière à Paris) ont également participé à cette simulation, qui prévoit également le passage au niveau écarlate du plan Vigipirate. Ce niveau d'alerte maximal permet aux autorités d'interrompre les transports en commun et de fermer les grands lieux de rassemblements.
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LeParisien.fr
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