Petit message aux neophytes du Djihad: Les services francais ont bien cree le GIA (Algerie), le GICM (Maroc), et le GICL (Libye) pour s'ingerer directement dans les affaires interieures de ces pays afin de proteger les tyrants de la France-Israel, dont Gaddafi. Qu'est ce que tu ferais si tu etais au pouvoir apres que les services francais t'aient livre pieds et poings lies, apres un deal avec Gaddafi, comme Abdelhakim Belhadj? Tu organiserais leurs represailles et tu liquiderais l'etat francais et l'ambassade de France sur le champ, mais ca a pas l'air d'etre la volonte de Belhadj a Tripoli, qui torture pour proteger son maitre Sarkozy. Car le GICL etait aux mains de la France des sa creation pour aider Gaddafi a se maintenir au pouvoir! Moi je dis que ca va chauffer pour les services francais durant leur proces, va y avoir de la casse aux ministeres de l'interieur et celui de la defense a Paris... Vivement que le rat d'egouts Mangoux fasse sauter toute la France, car on a hate de voir ca et de le voir crever la bouche ouverte!!!! Mais comme c'est une pedale sioniste avec une grande gueule comme la pedale Squarcini, qui m'a menace de mort je sais plus combien de fois, mais qui a ferme sa grande gueule d'israelien des que j'etais a portee de tirs sur lui. Tu vas mentir la dessus aussi Squarcini? Deposes plainte contre moi pour diffamation et tu verras que je montrerai combien je pouvais te detruire a la tete de la DCRI, que dire quand tu n'es plus au pouvoir, le rat Mangoux est ton assurance vie? Observes comment il est facile de le detruire comme toi ...
Abu-Suleyman,
Islamic Intel Blog
Il avait confirmé le financement de Sarkozy:
L'ex-premier ministre libyen voulait parler au juge Van Ruymbeke
Par Mediapart.fr,
L’ancien premier ministre libyen voulait parler à un juge français.
Extradé vers la Libye, dimanche, en catimini par le gouvernement
tunisien, Baghdadi Ali al-Mahmoudi avait pris
contact via son avocat, vendredi, avec Renaud Van Ruymbeke, le juge d’instruction de l’affaire Takieddine, pour lui faire des révélations. « Il allait être amené
à parler des financements des campagnes électorales et des questions d’enrichissement personnel », révèle son avocat, MeMarcel Ceccaldi à Mediapart.
Le 25 octobre 2011, l'ancien chef du gouvernement libyen avait déjà affirmé devant la cour d'appel de Tunis avoir « en tant que premier ministre supervisé le
dossier du financement de la campagne de Sarkozy depuis Tripoli » (voir ici).
Selon Me Ceccaldi, Baghdadi
Ali
al-Mahmoudi aurait été, hier, victime d’un malaise et hospitalisé
après un premier interrogatoire en présence de Abdelhakim Belhadj, le
chef militaire islamiste de Tripoli.« M. Baghdadi
Mahmoudi aurait été frappé et insulté », assure son conseil.
L’extradition, décidée par le gouvernement tunisien, sans l’aval de la
présidence de la République, a provoqué une crise au
somment de l’Etat. De nombreuses associations de défense des droits
de l’homme avaient mis en garde les autorités tunisiennes sur les
risques encourus par Baghdadi Ali al-Mahmoudi s’il
venait à être livré.
Quel a été votre dernier contact avec l’ancien premier ministre libyen, Baghdadi Ali al-Mahmoudi ?
Marcel Ceccaldi. Quand
je l’ai rencontré dans sa prison tunisienne, le 16 juin, M. Baghdadi
Mahmoudi m’a dit un
peu solennellement qu’il voulait être entendu par un juge
d’instruction français. Il m’a demandé de prendre les contacts, ce que
j’ai fait, vendredi, auprès du juge Renaud Van Ruymbeke. Et cette
démarche n’était pas dilatoire. Il s’attendait à son extradition, mais
ce n’était pas la question.
A-t-il évoqué auprès de vous le financement de la campagne de Nicolas Sarkozy, comme il l’avait fait en octobre 2011, devant la cour d’appel de
Tunis ?
Il m’a dit que le moment était venu pour lui de rétablir la vérité.
Sur les causes réelles de l’intervention de l’OTAN en Libye, sur les
raisons de l’acharnement manifesté par Nicolas Sarkozy et,
enfin, sur la nature réelle des relations franco-libyennes. Il
allait être amené à parler des financements des campagnes électorales et
des questions d’enrichissement personnel. Jeudi, l’un de
mes collègues avocats tunisiens, Me Salah Hassen, a pu revoir M. Baghdadi en prison,
et l’ancien premier ministre lui a fait part de sa volonté de “tout révéler” au juge français.
Que savez-vous des conditions de son extradition ?
Il a été emmené, dimanche, à 5 heures du matin, alors que le
président de la République tunisienne n’avait pas signé le décret
d’extradition. Il a été transféré sur un petit aéroport au sud de
Carthage, où il a été mis dans un avion pour Sfax, où l’attendait un
appareil libyen. L’irrégularité de cette extradition ne s’arrête pas là
puisqu’il semble que le procureur général de Libye
lui-même n’était pas informé. C’est un geste de solidarité islamiste
de la part du gouvernement tunisien.
D’ailleurs, dès dimanche, Abdelhakim Belhadj, le chef militaire de
Tripoli, a semble-t-il lui-même interrogé l’ancien premier ministre,
dans des conditions telles qu’il a dû être hospitalisé en
fin d’après-midi. D’après nos informations, M. Baghdadi Mahmoudi
aurait été frappé et insulté par M. Belhadj. J’ajoute que l’homme que
j’ai vu, il y a dix jours, était déjà extrêmement affaibli.
II a perdu trente kilos.
Quels sont les scénarios juridiques envisageables pour M. Baghdadi aujourd’hui ?
C’est très difficile parce qu’en réalité, il n’y a toujours pas
d’Etat en tant que tel en Libye. Au mieux, l’on s’achemine vers une
parodie de procès. Rendez-vous compte qu’il y a quatre membres
de la Cour pénale internationale (CPI), pourtant protégés par
l’immunité diplomatique conférée par les Nations unies, qui sont détenus
depuis le 9 juin en vertu d’un ordre de détention du
procureur général de Libye. Le comble, c’est que la milice armée de
Zentane qui a exécuté cet ordre, et qui détient les membres de la CPI,
est celle qui, par ailleurs, refuse de livrer Saïf
al-Islam à Tripoli !
De mon côté, j’ai saisi la Cour africaine des droits de l’homme pour
tenter d’empêcher l’extradition (voir sous l'onglet Prolonger), en
soulignant que les droits fondamentaux ne seraient pas
respectés en Libye, et que les conditions d’un procès équitable pour
lui n'étaient pas réunies à Tripoli. Je craignais, et je crains
toujours, qu’il ne soit victime de dommages irréparables.
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