Al-Quds occupée – CPI,
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Les colonies sionistes perturbent de plus en plus les montagnes de la sainte ville d’Al-Quds. Le mur de séparation discriminatoire trouble ses vallées et serpente entre les maisons et les quartiers palestiniens. Les cyprès et les pins ne décorent plus les rues : elles sont désormais entourées de barbelés et de caméras de surveillance électronique. C’est le destin de la sainte ville depuis qu’elle est sous occupation. Elle a désormais l’air d’une caserne militaire encerclée par les occupants sionistes, leurs soldats et leurs armements, de partout.
Planification systématique
La transformation de la ville occupée d’Al-Quds en une caserne militaire ne se fait pas sans arrière-pensée ; c’est une politique sioniste bien planifiée destinée à chasser ses habitants natifs, à la judaïser et à y réaliser toutes les revendications des Juifs.
Dr. Jamal Omar est expert en colonisation. Il dit à notre Centre Palestinien d’Information (CPI) que les occupants sionistes appliquent une politique sécuritaire spéciale dans la ville d'Al-Quds et continuent à bâtir des casernes et des colonies, dans le dessein d’une mainmise totale sur la ville, de chasser ses habitants.
Les sionistes construisent leurs colonies l’une à côté de l’autre, de façon compacte, empêchant tout élargissement palestinien, souligne l’expert.
Des zones vertes
En outre, ajoute Omar, les occupants sionistes ne se suffisent pas de construire des colonies. Ils mettent aussi la main sur de larges terrains autour d’elles, les appelant de zones vertes et interdisant les Palestiniens de les approcher.
Et pour assurer des rues spéciales à leurs colons, les occupants sionistes ont ouvert des rues qui ont volé des milliers d’hectares de terrains aux Palestiniens, ajoute l’expert. Puis il y a toutes ces caméras de surveillance, des barrages militaires, permanents ou non, qui gâchent la vie des Palestiniens, jour et nuit.
Les facultés militaires
Khalil Al-Tof est un autre expert en colonisation. Il dit à notre Centre Palestinien d’Information (CPI) que les occupants sionistes construisent des casernes militaires à l’intérieur de la ville, délibérément, ainsi que des bâtiments et des facultés militaires.
L’expert indique que les occupants sionistes ont mis en place, en 1970, la direction de la région du Centre, dans le village de Beit Hanina. L’hôpital jordanien a été donné à la direction de la police sioniste. Sur la montagne d’Az-Zaytoun, ils ont installé une caserne pour contrôler la vallée du Jourdain.
La direction de l’état-major de l’armée de l’occupation sioniste planifie la construction d’une faculté militaire. Cette construction vise, souligne l’expert Al-Tofkaji, deux objectifs. Le premier est civil, disant que la ville d'Al-Quds est la capitale de tous les Juifs du monde entier. Le deuxième est religieux, pour dire que la ville n’appartient qu’à l’entité sioniste.
Finalement, l’expert ajoute que le serment de l’état-major sera mené dans des zones surplombant le Dôme du Rocher, une façon de dire qu’il fait partie de leur histoire, qu’il est le lieu de leur prétendu "Troisième temple".
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Les colonies sionistes perturbent de plus en plus les montagnes de la sainte ville d’Al-Quds. Le mur de séparation discriminatoire trouble ses vallées et serpente entre les maisons et les quartiers palestiniens. Les cyprès et les pins ne décorent plus les rues : elles sont désormais entourées de barbelés et de caméras de surveillance électronique. C’est le destin de la sainte ville depuis qu’elle est sous occupation. Elle a désormais l’air d’une caserne militaire encerclée par les occupants sionistes, leurs soldats et leurs armements, de partout.
Planification systématique
La transformation de la ville occupée d’Al-Quds en une caserne militaire ne se fait pas sans arrière-pensée ; c’est une politique sioniste bien planifiée destinée à chasser ses habitants natifs, à la judaïser et à y réaliser toutes les revendications des Juifs.
Dr. Jamal Omar est expert en colonisation. Il dit à notre Centre Palestinien d’Information (CPI) que les occupants sionistes appliquent une politique sécuritaire spéciale dans la ville d'Al-Quds et continuent à bâtir des casernes et des colonies, dans le dessein d’une mainmise totale sur la ville, de chasser ses habitants.
Les sionistes construisent leurs colonies l’une à côté de l’autre, de façon compacte, empêchant tout élargissement palestinien, souligne l’expert.
Des zones vertes
En outre, ajoute Omar, les occupants sionistes ne se suffisent pas de construire des colonies. Ils mettent aussi la main sur de larges terrains autour d’elles, les appelant de zones vertes et interdisant les Palestiniens de les approcher.
Et pour assurer des rues spéciales à leurs colons, les occupants sionistes ont ouvert des rues qui ont volé des milliers d’hectares de terrains aux Palestiniens, ajoute l’expert. Puis il y a toutes ces caméras de surveillance, des barrages militaires, permanents ou non, qui gâchent la vie des Palestiniens, jour et nuit.
Les facultés militaires
Khalil Al-Tof est un autre expert en colonisation. Il dit à notre Centre Palestinien d’Information (CPI) que les occupants sionistes construisent des casernes militaires à l’intérieur de la ville, délibérément, ainsi que des bâtiments et des facultés militaires.
L’expert indique que les occupants sionistes ont mis en place, en 1970, la direction de la région du Centre, dans le village de Beit Hanina. L’hôpital jordanien a été donné à la direction de la police sioniste. Sur la montagne d’Az-Zaytoun, ils ont installé une caserne pour contrôler la vallée du Jourdain.
La direction de l’état-major de l’armée de l’occupation sioniste planifie la construction d’une faculté militaire. Cette construction vise, souligne l’expert Al-Tofkaji, deux objectifs. Le premier est civil, disant que la ville d'Al-Quds est la capitale de tous les Juifs du monde entier. Le deuxième est religieux, pour dire que la ville n’appartient qu’à l’entité sioniste.
Finalement, l’expert ajoute que le serment de l’état-major sera mené dans des zones surplombant le Dôme du Rocher, une façon de dire qu’il fait partie de leur histoire, qu’il est le lieu de leur prétendu "Troisième temple".
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