شبكة الإستخبارات الإسلامية

La France-Israel seme la guerre du choc des 'civilisations'

NDLR: Selon plusieurs rapports confidentiels, l'ambassade de France a Alger est directement citee comme ayant participe a la tentative d'assassinat sur Bouteflika, a Batna il y a une dizaine de jours. Les memes rapports confirment que la France-Israel organise une vague d'attentats meurtriers dans les transports en commun dans le sud de la France. Les israeliens parlent d'utiliser l'ETA ou les nationalistes corses, mais les analystes estiment que Sarkosy essait de se proteger face a son coup d'etat rate contre Abdelazziz Bouteflika. Le GSPC, sera probablement mis en accusation, pour tenter d'en finir avec Bouteflika le plus rapidement. Les gares ferrovieres et routieres, ainsi que les ports seront les cibles de la France-Israel. Les attentats seront executes a l'aide de voiture piegees, selon les informations, les vehicules sont en partance pour l'Afrique et le Moyen Orient et sont offertes par des reseaux de 'richissimes libanais' aux services de la France-Israel.
Ne dites pas que vous n'avez pas ete mis au courant. Nous confirmons que ces attentats sont le fait du gouvernement d'occupation sioniste enmene par le pantin de Tel Aviv, ni ETA, ni les nationalistes corses, ni qui que ce soit d'autres. Ce sont bien Sarkosy et ses maitres de Tel Aviv qui sont derrieres ces attaques !

A bon entendeur Salaam,

Iran : Que va faire la France dans cette nouvelle guerre américaine ?

Un article récent du Telegraph décrit une nouvelle fois les scénarios d’un conflit contre l’Iran, citant de nombreuses sources qui jugent de plus en vraisemblable une frappe américaine.
Il faut prendre en considération avec attention la montée subite de ce flot de fuites et d’avertissements qui bruissent à Washington et dans les rédactions.

Qu’ils proviennent de fonctionnaires sincèrement inquiets de la nouvelle tournure prise par la situation, ou qu’il s’agisse d’une campagne sciemment orchestrée, comme Jim Lobe l’avait annoncé, ils concourent à créer un état de fait, une accoutumance.

Le Telegraph illustre cet article avec les infographies de sinistre mémoire (pour partie fausses, d’ailleurs - cf infra) où s’alignent les silhouettes des forces en présence et les « cartes d’état major ».

Le décor médiatique est planté. La « justification » de la guerre n’est même plus interrogée. Son spectre est déjà là.

Le raccourci, la perpétuelle confusion entretenue entre programme nucléaire - parfaitement licite faut-il le rappeler, y compris l’enrichissement - et arme nucléaire, résout avant même de l’avoir posée la question du pourquoi.

Nous assistons cinq ans après la campagne hystérique anti-irakienne, qui a conduit aux résultats que l’on sait, à la réédition du même stratagème.

Les accusations fausses, la présentation biaisée du dossier, l’évocation de « terribles menaces » - créées de toutes pièces - destinées à provoquer la peur et paralyser la réflexion, préparent insidieusement à accepter une guerre que certains ne tarderons pas à nous présenter comme la seule solution, déplorable certes, mais nécessaire, attristante mais inévitable.
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A la différence de 2002 où la France a eu le courage de s’opposer au nom de la raison et du droit aux folles aventures concoctées à la Maison Blanche, la nouvelle équipe au pouvoir semble accepter par avance la légitimation de la guerre.

Comment ne pas qualifier d’irresponsables les propos du ministre des affaires étrangères ?
La France, par sa voix, agite la menace des armes contre une nation qui elle, à l’heure actuelle, ne menace personne.

Le différent qui existe au sujet du processus de contrôle international sur le programme nucléaire iranien fait l’objet d’une négociation qui a enregistré sous la conduite d’El Baradei des progrès notables, et qui semble-t-il déplaisent à certains, en permettant l’établissement d’un calendrier contraignant pour l’apurement des griefs de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique à l’encontre de Téhéran.

Agiter la menace d’une intervention militaire en ces circonstances ne peut conduire qu’à amenuiser les chances de succès de la diplomatie.

Quel pays accepterait sans réagir de se voir traité ainsi alors qu’il ne fait - jusqu’à preuve du contraire - que revendiquer l’exercice d’un droit souverain, garanti par les traités dont il est signataire ? La légitimité pour l’Iran de la poursuite du programme nucléaire iranien, initié du temps du Shah, est incontestable.

A de nombreuses occasions l’Iran a fait des appels du pied à l’occident pour normaliser sa situation. En 2003, Téhéran a adressé via les diplomates suisses une note proposant l’ouverture de négociations qui a été délibérément ignorée par le Département d’Etat.

Téhéran - qui à l’époque avait suspendu l’enrichissement de l’uranium - proposait alors de mettre tous les problèmes sur la table, du nucléaire à la coopération anti-terroriste avec les USA, du soutien à l’initiative de paix saoudienne à l’arrêt du financement des groupes palestiniens.

Interrogée par le sénat américain en février de cette année à ce sujet, Mme Rice a eu le front de répondre qu’elle ne se souvenait pas de cette affaire [1].

Comment Mme Rice peut-elle prétendre cela alors que M. Tim Guldimann, l’ambassadeur suisse en Iran qui avait transmis le document iranien au Département d’Etat commentait ainsi le contenu de la proposition :

« J’ai la nette impression qu’il y a une volonté forte de la part du régime de résoudre tous les problèmes avec les USA en ce moment, et que ce document est un essai pour y parvenir »
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La guerre préparée à Washington n’a - encore une fois - rien à voir avec le droit international ou la sécurité collective.

Elle fait partie d’un programme dont l’objectif avoué est de réduire au silence toute opposition à Washington, quelle qu’en soient la forme ou la nature.

L’Iran est dans la ligne de mire américaine depuis la prise d’otage de 1979. Les cercles néoconservateurs ne pardonneront jamais au régime de Téhéran l’humiliation subie alors.
La Maison Blanche est fermement décidée à en découdre, et les progrès de la diplomatie lui importent finalement peu.

Mais au moment où se profile une nouvelle guerre américaine, que vient faire la France dans cette aventure ?

Les écarts de langage de Kouchner sont sans doute la manifestation d’une personnalité vibrionnante aux impulsions mal maîtrisées.

L’homme qui justifiait en 2002 l’invasion de l’Irak n’est de toute évidence pas fait pour la fonction qu’il occupe, qui requiert plus de mesure dans l’expression et moins de fascination pour la lumière vive des plateaux de télévision.

Mais au delà du cas Kouchner, c’est la politique étrangère de la France qui est à la dérive.
Il est temps, grand temps, qu’une voix - tel Védrine pour ne pas le nommer - s’élève pour mettre en garde nos concitoyens sur l’abîme qui menace.

Contre Info

Le déploiement de forces américaines

Depuis le début de la crise, les spécialistes militaires s’accordent à penser que le déploiement de trois porte-avions constituerait le signal annonciateur d’une attaque.

L’infographie du Telegraph reproduite ici recense le porte avion Enterprise et le groupe d’assaut amphibie du Kearsarge, mais elle omet de mentionner celui du Bonhomme Richard, présent sur zone.

D’autre part, le porte-avion Nimitz qui participait il y a peu aux manœuvres « Malabar » avec l’Inde est annoncé en route vers le Golfe, et enfin le Truman est stationné à Norfolk, en l’attente d’un mission dans la région.

http://contreinfo.info/article.php3?id_article=1245

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