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Attentats de 1995 : La Direction Sioniste du Terrorisme a nouveau accusee !


NDLR: Selon des informations provenant de sources dans le monde du renseignement, des revelations spectaculaires concernant le role des services francais dans les attentats de 1995 et le terrorisme en Algerie (Maghreb) seraient publiees dans les jours a venir, destabilisant le gouvernement de Sarkosy. Ces sources parlent aussi 'd'une provocation' de la part des services, diriges par Squarcini pour faire diversion et declencher un debut guerre civile afin de justifier de la mise en place de l'etat d'urgence en France.


Le meme scenario s'est deja produit en France aux mois d'Octobre-Novembre 2005 ou Sarkosy appuye par l'OTAN et les services secrets israeliens avaient declenche des emeutes et un debut de guerre civile dans les banlieues, suite a l'assassinat par la police de deux jeunes a Clichy sous Bois, dans une tentative de coup d'etat contre le couple Chirac-Villepin.


Les services israeliens infiltres par Sarkosy au ministere de l'interieur et au sommet de l'etat, avaient fait bruler vifs trois hotels ou residaient des familles de ressortissants Africains, plusieurs dizaines de familles avaient peri dans les incendies.


Ces memes commandos, couverts par la DST, aides logistiquement, par l'OTAN fournissent des reseaux de provocation 'barbouzes' de banlieues. La plupart des reseaux sont impliques dans le trafic de drogue a tres grande echelle, les revenus servent de caisse noires. Il semble que Squarcini se sent pousser des ailes, on se demande qu'est ce qui le retient ?




Aveux obtenus sous la torture et “vraix-faux” procès-verbaux de la police algérienne : la DST le savait !

Durant toute la décennie noire en Algérie, ainsi que nous l'avions signalé dans nos différents articles, les services secrets algériens (DRS) étaient les seuls “habilités” à soumettre les détenus à la “question” pour leur extraire des informations dites “opérationnelles” sur les activités des présumés réseaux terroristes actifs sur le sol européen, notamment en France.


C'est sur les ordres de l'ex-patron du contre-espionnage algérien, Smain Lamari, récemment décédé, que tous les détenus ayant des contacts à l'extérieur de l'Algérie étaient séquestrés dans les centres du DRS et soumis aux tortures les plus horribles. Les aveux obtenus lors de ces “séances de torture” étaient transmis à la DST sous forme de procès-verbaux d'audition. Pour être à l'abri des critiques en France sur le caractère légal de ces documents, la DST exigeait que ces procès-verbaux soient établis au nom de la police nationale algérienne pour éviter à leurs collègues algériens du DRS de comparaître éventuellement devant la justice française. La DST savait également que les informations étaient obtenues sous la torture.


De fait, pour satisfaire aux desiderata de la DST, le général Smain Lamari communiquait les procès-verbaux sous le sceau officiel de la police nationale algérienne. À titre d'exemple, signalons le cas d'un réseau GIA de trafic d'armes en Suisse et qui avait des ramifications en France dont le chef était le dénommé Bensouna Yazid, ressortissant algérien. Ce fut sur la base de ces “vrais-faux” procès-verbaux d'audition que la DST et les services suisses avaient mené leurs opérations.


Maintenant que le procès de l'affaire Ramda, présumé financier des attentats de Paris (1995), est en cours, il convient d'attirer l'attention des différentes parties sur le fait que les procès-verbaux éventuellement versés au dossier de ce procès et faisant état d'aveux ou d'informations obtenues sous la torture et illégalement validés par la police algérienne sont juridiquement sujets à caution.


Ce procès n'aurait en effet aucun sens si la justice française en général, et les parties civiles et la défense en particulier, n'exigeaient pas la comparution, au moins à titre de témoin, des responsables des services secrets et de la police algériens (le général Mohamed Mediene et Mohamed Issouli), et des services français de l'époque (Philippe Parant et Roger Marion). Mieux encore, entendre les victimes innocentes de torture, elles seules à même de révéler les méthodes du DRS et le silence complice des autorités françaises de l'époque, certainement informées par la DST et la DGSE.


Les victimes des attentats et leurs proches ont le droit de savoir toute la vérité sur les relations entre les services secrets algériens et français car d'importantes zones d'ombre planent encore sur les véritables commanditaires des attentats. Il n'est pas question ici de dédouaner Rachid Ramda qui, si sa culpabilité est établie, est à notre sens, un simple exécutant.


La justice française se doit de mettre au jour ces zones d'ombre pour que le procès ait toute sa plénitude et prenne le sens qu'il mérite. Tronquer ce procès reviendrait à un gigantesque mensonge par omission, insoutenable pour les victimes des attentats de 1995 et leurs familles.


Abdelkader Tigha


Anouar Koutchoukali, ONG Justitia Universalis, La Haye, Pays-Bas


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