LAISSEZ LE MAGHREB FAIRE SA REVOLUTION ! SARKOSY, RECOLTE LA HAINE QUE TU AS SEMÉ, RIEN, NI PERSONNE SUR TERRE NE POURRA NOUS ARRETER ...
POURQUOI LE BOYCOTT, PAR LE SHEYKH ALI BENHADJ :
http://rachad.org/index.php?option=com_content&view=article&id=308:2009-04-01-08-37-11&catid=76:articlesar&Itemid=103
Les motifs du boycott du régime corrompu
Communiqué numéro 7 du cheikh Ali Benhadj
Dans son septième communiqué, long de 9 pages, consacré au boycott de la présidentielle du 9 avril, le cheikh Ali Benhadj a rappelé qu’il a précédemment expliqué en toute clarté et avec preuves à l’appui que « le candidat indépendant s’est détourné de la solution légale qui peut assurer la vraie réconciliation à laquelle nous aspirons, tous. »
Et le vice-président du FIS d’ajouter « Il appartient au "candidat indépendant" de résoudre le conflit en se conformant au livre saint et à la sunna comme l’énonce Allah qui dit « si vous vous disputez en quoi que ce soit, renvoyez-là à Allah et au Messager, si vous croyez en Allah et au Jour dernier. Ce sera bien mieux et de meilleur interprétation (et aboutissement). (…)Non!... Par ton Seigneur! Ils ne seront pas croyants aussi longtemps qu'ils ne t'auront demandé de juger de leurs disputes et qu'ils n'auront éprouvé nulle angoisse pour ce que tu auras décidé, et qu'ils se soumettent complètement [à ta sentence].»
Plus loin, le cheikh Ali Benhadj qualifie la charte de la réconciliation nationale , considérée comme l’un des plus importants acquis du président, "de texte ambigu et anticonstitutionnel. Tout comme elle est contraire au serment constitutionnel qui expose le président à des poursuites judiciaires en ca s de violation de la constitution."
Dans une longue analyse de la situation prévalant en Algérie durant la décennie Bouteflika, le cheikh Ali Benhadj a insisté sur "l’ampleur prise par la corruption" en s’appuyant sur une déclaration faite par le premier ministre qui avait dit que « La mafia planifié la prise du pouvoir depuis 2007 » et en reprenant le ministre Temmar qui avait déclaré que « l’état est incapable de contrôler 90 milliards de dollars » et le ministre Medelci qui avouait que « 15 milliards de dollars circulent hors circuit bancaire »
Après avoir effectué un état des lieux sans complaisance aucune de ce qu’a réalisé le président Bouteflika durant deux mandats et dont le bilan est des plus négatifs, le cheikh Ali Benhadj a conclu son communiqué en expliquant que par « le boycott de la présidentielle il entend le rejet d’un régime politique pourri et corrompu qui a perdu toute légitimité et qu’en vérité le candidat indépendant n’est qu’un outil de ce régime »
Lire le communiqué
http://www.assawt-alhor.com/bayane7.html
Algérie : Présidentielles du neuf avril 2009 illégales.
Élections illégales causées par l'abolition française de l'identité arabe dans la constitution nationale.
Les électeurs et les candidats aux élections présidentielles du neuf avril 2009 s’engagent comme durant les deux élections précédentes à abolir l’identité-arabo-islamique de l’Algérie, du Maghreb et de la Nation Arabe. Chose qu'aucun algérien ou algérienne, qu'il soit candidat ou candidate, électeur ou électrice n'acceptera de faire, s'ils étaient bien informés car c’est la plus haute trahison qu’ils puissent commettre envers leur pays.
Pour bien comprendre ce que nous venons de mentionner nous devons passer immédiatement à l’article : Elections illégales !
Que j’ai Publié le vendredi 23 juillet 2004 et que je reprends ici intégralement tel qu’il a été publié dans aqolad.net
. Elections illégales !
... Linguistique berbère
- par Bettaz
- vendredi 23 juillet 2004
Aqolad rend un service historique inéstimable à l’information et à la science, en rendant public l’article ci dessous, que j’ai envoyé à tous les candidats aux élections présidentielles algériennes du huit avril dernier, y compris le président sortant Bouteflika et que malheureusement, aucun journal algérien , auquel il a été envoyé, n’a voulu le mettre à la disposition de ses électeurs. Cette presse a causé un déséquilibre dans l’information entre les électeurs nom informés et les candidats informés. Heureusement, une grande chaine de télévision : Alalamnews, l’a diffusé le sept avril.
Elections illégales !
La Constitution nationale est invalide. Les ambassadeurs Mourad Bencheikh et Mohamed Benhocine n’ont pas voulu permettre au Président Zeroual de corriger la Constitution et de la rendre valable pour gouverner et élire.
La Constitution nationale falsifie I’identité et I’histoire de I’Algérie, de tous les pays et de tous les peuples concernés par I’utilisation du mot artificiel AI amâzîghiyyatou. D’abord et avant tout Tamâzîght est I’affaire du Maroc et du Maroc seul comme Tamâhaq est I’affaire de I’Algérie et Tamâcheq du Mali. Tamâjeq n’est pas issue de Tamâzîght comme le français, l’est du Latin ou le Latin l’est de indo-européen. La seule façon de retrouver la langue prototype est de la reconstruire. L’emploi de Tamâzîght comme langue mère comme c’est le cas dans la Constitution nationale est une falsification extrêmement grave de I’histoire. Tamâzîght est une langue arabe contemporaine pratiquée au Maroc Central qui a subi des transformations énormes depuis I’apparition de I’islâm contrairement à la langue du Coran qui est resté stable. AI amâzîghiyyatou est une falsification déguisée des preuves irréfutables de I’identité arabe, causée par le programme colonial qui est purement idéologique. L’arme la plus dangereuse du programme colonial est la négation de Inexistence de I’article défini qu’il nomme pronom d’appui. Malheureusement aucun pays ( les pays arabes en général et ceux du Maghreb en particulier ) parmi ceux qui sont concernés n’a essayé de détruire ledit programme et de le remplacer par un programme scientifique, objectif et constructif pour I’enseigner à ses enfants afin de les immuniser et de les rendre de bons citoyens. La destruction du programme colonial est un pas légitime et nécessaire pour I’achevement de I’indépendance national. L’exemple de la Constitution nationale est idéal pour nous d’atteindre cet objectif. II déguise les éléments grammaticaux historiques indéniables de I’identité arabe comme le veut le programme colonial. En plaçant l’article défini de l’arabe classique al et en suffixant iyyatou au nom amâzîgh, la constitution nationale falsifie et transforme comme le veut le programme français deux éléments grammaticaux en une racine fictive composée de trois consonnes : mzgh ( m, z, gh ) et interprète le a initial de ( a-mâzîgh ) comme alif prothétique qui en plus de l’allongement du a dans mâ-zîgh sert comme marque du pluriel fractus indéfini de I’arabe classique.
II faut savoir que le A de A-mazigh est historiquement I’article défini qamarique al et il est extrêmement important de connaître cet historique pour comprendre le changement général de la structure de I’arabe préislamique ( berbère ). Nous avons deux sortes d’arabe. L’un préislamique en pleine mutations, I’autre islamique fixé grammaticalement et protégé politiquement. Alors que La grammaire islamique a bloqué le changement de l’article défini au stade chamsique ( le chamsique est la loi d’assimilation du lam a toutes les consonnes apicales ), I’article défini al de I’arabe préislamique continue de changer librement et le lam qamarique qui ne s’assimile pas au q et aux autres consonnes non apicales a disparu a son tour par le déplacement de I’accent principal vers la fin du mot. Le alif dépourvu de son accent a fusionné avec le mot déterminé. Finalement I’article proclitique a s’est assimilé au t final marque du féminin. Voici le passage illustré de I’article défini qamarique ( al mouaqqarou ) au chamsique ( arrikzou : argâz ), au postchamsique ( amghâr ) et au métapostchamsique ( tamghârt ). Le k dans arrikzou est passé au g dans argâz et le q dans al mouaqqarou est passé au gh dans amghâr et tamghârt. Les formes obtenues par I’article défini soudé : argâz, taqchicht ( al qichchatou en arabe classique ) s’assimileront par analogie selon le contexte aux formes similaires arabes. Ainsi argâz s’assimile à la forme du pluriel fractus indéfini af ?âl ( aqlâm des stylos ) et reste singulier malgré sa forme de pluriel. Argâz signifie un homme et pas des hommes et taqchicht s’assimile a taf ?ilat, ismu al marrati, nom féminin indéfini alors que taqchicht est défini. Même processus d’assimilation pour amghâr que pour argâz qui est composé de trois éléments grammaticaux : a+m+ghr au lieu de deux :a+rgz, alors que tamghârt féminin est assimilée à la forme taf ?âlt ismou al ouahdati,examlpe : tal ?âbat. Les assimilations des formes nominales définies aux formes nominales indéfinies sont tirées du dictionnaire mental et devenues realitées dans la pratique sociale.
L’assimilation des formes définies affaiblies aux formes indéfinies ont rendu l’article défini proclitique encore plus faible. L’accent d’intensité ( chadda ) au chamsique devient accent de longueuer ( madda ) au postchamsique. La distinction qamarique chamsique n’existe plus en arabe préislamique.
Le nom amâzîgh se compose de trois éléments grammaticaux :
A : article défini proclitique, c’est-à-dire qu’il forme une unité phonétique avec mâzigh auquel il s’est soudé.
M : marque d’ism maf ?oul, c’est-à-dire un nom déverbal.
ZGH : racine qui donne la base lexicale, et comme le nom amâzîgh possède le sens de ne pas se mélanger, la notion de pureté saute aux yeux, cette notion sémantique culturelle et mentale arabe, nous la retrouvons exprimée par les termes hurr, qouh, zakiy, asîl,.... donc zgh ne peut -être autre chose que la racine zk donc A- mâzîgh est mouzakkâ de I’arabe classique, la consonne k est confirmée par le nom historique de tribu Mazikes ( le s est la marque du pluriel indo-europeen ) donc mouzakkawna en arabe classique et imâzighan actuellement. Imâzighan signifie plutôt étymologiqement les nobles, libres est une extension de sens.
AI amâzîghiyyatou se compose de deux articles définis : al et a pour dissimuler I’article défini postchamsique, de deux racines I’une fictive m,z.gh pour camouler le m marque de I’adjectif verbal et la racine réelle zgh.
Les deux lois de changement sans lesquelles, il est impossible d’analyser porteront également mon nom :
La loi postchamsique ou la première de Bettaz
La loi métapostchamsique ou la deuxième loi de Bettaz
Les noms qui ne comportent aucune difficulté pour un élève arabophone de quatorze ans et que j’ai cités pour illustrer mes deux lois de changement sont jugés par les berbèrologues sans exception d’être inéxistants dans les dictionnaires arabes. C’est facile à verifier dans les travaux des berbèrologues et dans les lexiques arabes.
Très respectueusement,
Abdelkrim Bettaz,
Linguiste.
P.S. Je reviendrai autant que cela est possible pour rendre le texte accessible par la multiplication des exemples et les éclaircissements nécessaires pour tous ceux qui sont intéressés. N’hésitez-pas à intervenir.
Voici un des forums où l’article été débattu :
Falcification de l'identité arabo-islamique du Maghreb!
http://www.algerie-dz.com/forums/archive/index.php/t-1991.html
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