شبكة الإستخبارات الإسلامية

Israel active son plan de guerre regionale avec l'OTAN en provoquant le Hezbollah pour demanteler la Syrie, et en poussant au pouvoir des partis politiques lui étant hostiles sur le papier dans les pays ou les revoltes populaires ne pourront etre contenues a proprement parler, mais ces partis islamiques sont a peu pres tous infiltrés et manipulés pour permettre a Israel de passer pour la victime d'une agression 'islamiste' et justifier de la guerre d'extension de ses frontieres. Un rimec des guerres pré-planifiées de 1967 et 1973 ou les armées arabes sous controles de traitres sefarades sionistes ou de corrompues ont aidé a placer Israel sur orbite dans la region en organisant 'la defaite arabe'. Israel n'a plus besoin des larbins sefarades des Al Saud, des Al Sabah ou Al Nahyan, ni Al Qaeddafi, ni Ben Ali, ni Saleh, ni Tewfik qui ont joue leur roles de pantins et sont demasqués. Une nouvelle phase d'extension de la domination sioniste est en marche depuis le 11 septembre 2001 et les Musulmans doivent maintenant savoir distinguer la veritable resistance islamique des harkis mis en place par l'OTAN directement ou indirectement, sinon c'est la guerre civile qui les guette, la Libye est un cas d'ecole, comme l'Iraq!

Manipulations sionistes :Jarar accuse Abbas de vendre l'illusion  
Ramallah – CPI


La membre du bureau politique du Front populaire pour la Libération de la Palestine (FPLP), Khaleda Jarar, a décrit, la mesure du président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, d'aller à l'ONU pour demander une adhésion de la Palestine aux Nations Unies, comme une illusion et une tactique pour restaurer les négociations bilatérales entre l'Autorité palestinienne et l'entité sioniste.

 Prochaine phase d'extension des frontieres sionistes.



Dans une réunion intitulée "Echéance de Septembre" organisée par la fédération des comités d'étudiants à Ramallah, le dimanche 18/9, Jarar a affirmé que la décision d'Abbas d'aller aux Nations Unies par la formule annoncée par la direction vise à gérer la crise des négociations après avoir atteint une impasse, et constitue une tactique pour faire pression sur le parrain américain aux négociations.


Elle a déclaré que cette exigence menée par le FPLP depuis plusieurs années pour aller aux Nations Unies n'est pas la même réclamée par l'actuelle direction.


Elle a souligné que le FPLP a salué la requête d'Abbas au Conseil international de sécurité, lors d'une discussion sur ce sujet au Conseil central de l'OLP avec plusieurs recommandations, dont le fait que cette décision doive être une alternative à la voie des négociations dont l'échec s'est avéré au cours des dernières années, et doit être basée sur l'application de tous les droits nationaux, et en particulier le droit au retour et l'autodétermination.


"Le FPLP ne s'oppose pas à l'idée de se rendre aux Nations Unies tant que le but n'est pas d'améliorer les conditions des négociations et qu'elle soit soutenue par la continuation de la résistance sous toutes ses formes sur le terrain", a-t-elle ajouté.


Malgré le voyage d'Abbas avec sa délégation aux Nations Unies pour remettre au Secrétaire Général des Nations Unies, Ban Ki-Moon, la demande palestinienne d'obtenir une adhésion permanente à l'ONU, Jarar a déclaré que "le FPLP, en tant que membre du Comité exécutif de l'OLP a demandé à s'informer sur la formulation de cette lettre, mais il n'a reçu aucune réponse".


La dirigeante du FPLP a exprimé sa crainte que la formulation de la demande comporte une confirmation que les négociations sont le choix stratégique et une tentative d'améliorer ses conditions seulement.

Elle prévoit que le discours d'Abbas à l'assemblée générale des Nations Unies sera similaire à son discours prononcé vendredi dernier.


L'acceptation de la Palestine comme membre des Nations Unies comporte beaucoup de risques contre le droit au retour des réfugiés palestiniens qui allait devenir un sujet de discussions et sera réduit au retour d'un nombre limité dans les terres de l'Etat palestinien sur les frontières de 1967 seulement, selon Jarar.




Haniyeh décrit la mesure d'Abbas comme "aventurisme politique"

Gaza – CPI


Le premier ministre palestinien, Ismaïl Haniyeh, a décrit la mesure du président de l'autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, d'aller au Conseil international de sécurité pour obtenir une reconnaissance d'un Etat Palestinien d'un aventurisme politique, ce qui n'exprime pas la volonté palestinienne et arabe, tout en confirmant qu'elle est dans le sens inverse de la renaissance arabe.

"Pas d'autorisation pour toute commande qui veut salir avec le droit des Palestiniens et toute personne qui fournit des concessions", a déclaré Haniyeh dans une séance du conseil législatif palestinien tenue dimanche 18/9 à Gaza.

Haniyeh a ainsi souligné:"Nous soutenons la création d'un Etat sur toute partie des territoires palestiniens en acceptation du peuple palestinien, sans reconnaître l'entité sioniste, ni de renoncer à toute parcelle de terre".
Il a ajouté: "Nous sommes devant une nouvelle réalité de l'insupportable aventure politique et exige un état de conscience et de refuser toute démarche dans la politique de l'ancien régime".

Le premier ministre palestinien a appelé à retourner au peuple palestinien pour s'entendre sur une stratégie découlée du printemps arabe, confirmant que la réconciliation palestinienne est en vrai risque à cause des tendances négatives loin de son âme.

Il a insisté que la réconciliation avec l'exclusivité dans la prise des décisions représentent deux lignes parallèles ne se rencontrent pas et que la mesure des Nations Unies est loin de l'âme de la réconciliation et les réconciliations sociales.

Le responsable palestinien a considéré que la décision d'aller aux Nations Unies est une bouée de sauvetage pour l'entité sioniste et les Etats-Unis après les révolutions arabes, ajoutant: "Nous devons attendre la révolution arabe et profiter du soulèvement des peuples arabes pour renforcer la position palestinienne et protéger les droits palestiniens.

Il a assuré que l'Etat est une exigence palestinienne et que son gouvernement soutient la création d'un Etat pleinement souverain sans fournir des concessions.

Hainyeh a confirmé que la position du Hamas et de la résistance palestinienne se distingue totalement de celle américano-sioniste;

Il a finalement confirmé qu'il y a des réelles menaces issues de la volonté américaine de garder le contrôle de cette question.

Post a Comment

0 Comments