La classe politique francaise reunie par Sarkozy apres l'operation des identitaires de la DCRI-OTAN a Toulouse-Montauban, dont le but etait de faire re-elire le parti de la guerre ouvertement pro-likud. Les partis politiques francais sont absolument tous ouvertement racistes, nazis, talmudistes, franc maconniques, et vivent sur le dos de rapines, des malettes, des massacres, des guerres civiles et des genocides au Maghreb-Sahel (Algerie, Libye) et dans toute l'Afrique (Mali, RDC, Niger, Congo, Cote-d'Ivoire, Senegal, Centre-Afrique, Angola, Somalie).
Ceux qui n'ont pas encore compris le role des identitaires, leurs liens avec les services et notament les reseaux terroristes clandestins de l'OTAN, liens parfaitement etablis dans les operations de Breivik en Norvege, de l'EDL et l'assassinat de plusieurs flics a Manchester, des identitaires de la DCRI a Toulouse-Montauban, ou la tuerie de Newton ou la encore des identitaires pro-israeliens ont assassine des enfants dans une ecole, sont la marque de fabrique de la guerre israelienne menee en occident pour ne pas perdre la bataille de l'opinion et rediriger constament le feu contre les populations Musulmanes et garder leurs interets intacts tout en detruisant les pays en y semant le chaos, a la maniere de la Syrie.
Le livre decrit ci-dessous est le manuel des reseaux clandestins terroristes de l'OTAN, dont les manuels courants sont ecrits par les israeliens et se basent sur l'ordre colonial etabli en Palestine occupee, Iraq, Algerie pour maintenir les populations sous domination coloniale. Plusieurs scandales ont emerge aux Etats-Unis l'an passe relatifs a ces manuels virulement racistes, islamophobes et menant ouvertement une guerre d'extermination des populations Musulmanes, au sein du FBI, de l'armee, de la police new yorkaise. La DCRI ne fait pas mieux, elle est geree depuis Tel Aviv et sa creation repond exactement aux plans de regionalisation de la France, avec comme substrat et matrice de diversion psychologique, les populations Musulmanes, l'Islaam et comment maintenir le statu-quo de la domination coloniale sioniste dans les rues d'Europe et notament au Maghreb-Sahel ou les americains reprochent aux francais de mal faire le travail en Afrique, car la France, etant vu par les Musulmans comme le financier et protecteur des GIA-AQMI (voir le rapport du CFR, second lien du dessous en anglais). L'ambassade des Etats-Unis a Londres et le CFR ont produit des documents confidentiels, lire ici, et ici traitant de soulevements de populations Musulmanes en Europe du fait des lois votees visant specifiquement les Musulmans, leurs isolement et la ghettoisation voulue par les elites politiques de confessions israelites comme Francois Hollande, Nicolas Sarkozy, David Cameron ou Angela Merkel. Ouvertement juifs, sionistes, pro-israeliens, se servant des etats europeens pour combattre au nom de la defense d'israel. Ces documents confidentiels ont ete discutes en Europe en 2010, les americains voyant que les Musulmans pourraient sortir vainqueur d'un conflit militaire contre l'OTAN et plusieurs etats europeens dont la France, ont abandonne l'application et la mise en oeuvre de nouvelles lois ouvertement racistes visant uniquement les Musulmans (ce que seule la France continue pour le moment).
Ce qui a immediatement provoque la chute de l'UDC (CIA-mossad) en Suisse, la chute de Geert Wilders (mossad) aux Pays-Bas, le demantelement en regle de l'English defense league en Angleterre, EDL (MI5-mossad), la perte de vitesse du Vlaam Beck en Belgique. Seules les tetes de chiens et de porcs des identitaires francais de la DCRI restent en place car la France-Israel revendique aupres du CFR de Brzezinsky la place de gerant local du Maghreb-Sahel et en Afrique. Alors que les Etats-Unis pensent que la France a perdu son role de leadership dans la region et a laisse la Chine s'installer, faisant son propre jeu, avec celui des israeliens, sur le dos de la politique americaine dans la region MENA. Les americains pensent qu'il est impossible de gerer 10 millions de Musulmans en France par le terrorisme et les operations sous faux drapeau de type 'Kelkal' ou 'Merah', (malgre les operations repetitives du meme type de FBI), tout en faisant croire que l'on soutient les 'printemps arabes'. L'etat francais est defaillant du fait de plusieurs facteurs endogenes, dont la tres grande corruption et l'anciennete des reseaux maconniques coloniaux, tous trop proche d'Israel pour pouvoir aider l'administration Obama, qui a pris le chemin de l'Asie et celui de remplacer la France en Afrique pour se replacer et ralentir au maximum la chute de son empire. Le CFR affirme que l'etat francais a deja perdu la guerre contre ses populations Musulmanes. La France-Israel pense qu'une guerre civile larvee peut permettre de continuer l'agenda de regionalisation tout en maintenant les populations Musulmanes en rangs serres et maintenir sa domination, economique, en Afrique par la co-localisation (transfert de son industrie lourde au Maghreb) pour rester competitifs face au BRICS. Mais les allemands affirment que la guerre civile en France compromettrait le marche transatlantique. La particularite de tous ces mouvements identitaires est qu'ils sont tous finances par de riches donateurs juifs sionistes, anglo-germano-americains, pro-israeliens, racistes, islamophobes, ils sont tous soutenus logistiquement par les services de plusieurs etats europeens (ministeres de la defense-DGSE, interieur-DCRI) et sont tous regionalistes, voir independantistes. Etranges coincidences! (AS)
Operations de basses intensites, subversion, insurrection, et maintien de la paix (ecrit par Frank Kitson)
"Ce
livre aux tirages confidentiels n'a jamais été traduit dans notre
langue et nous n'en connaissons que cinq exemplaires dans les
bibliothèques universitaires françaises
(voir le catalogue SUDOC). De fait, la diffusion à un large public de
ce texte pourrait à elle seule faire basculer des équilibres
géopolitiques entiers." (Gouverner par le chaos)
11
septembre 2001, attentat de la rue des Rosiers, profanations de
Carpentras, affaire Mohamed Merah, affaire Breivik, tuerie d’Aurora,
massacre de Raçak (voir B. I. n°138), génocide de Srebrenica (et
d’autres), Kosovo, Libye, Syrie, Iran, et probablement tuerie de Newton,
comme l’a sous-entendu l’ami Gendre… Toutes histoires qui ont en commun
de puer l’intox au vu des rapports officiels comparés aux incohérences
qu’elles manifestent. Des histoires banales de la guerre de quatrième
génération, dite G4G, celle de l’information. Mais comme l’écrit
l’auteur du présent livre, de bonnes communications permettent d’exercer
une influence sur les événements. En d’autres termes, selon l’Ecole de
Guerre Economique, la guerre est désormais cognitive, elle vise à
contrôler la réalité construite par l’individu pour garantir la
suprématie de l’intrigant.
Le
général Frank Kitson reste à ce titre l’une des figures de proue de la
guerre cognitive, bien qu’aucun de ses ouvrages n’ait été traduit en
français à ce jour. Sa doctrine découle de son expérience d'écrasement
des révoltes anti-coloniales autochtones dans les pays occupés, qu'il
consacra dans son manuel Low intensity operations. Subversion, insurgency & peace-keeping
(1971), que l'on pourrait rebaptiser « Petit manuel pratique de la
révolution colorée ». Le contexte géopolitique dans lequel écrit Kitson
s’illustre par trois facteurs qu’il énonce : 1) l’Angleterre défendra
ses intérêts nationaux, 2) elle ne pourra pas se contenter de
l’isolationnisme. Depuis des siècles elle a dû agir pour survivre, ce
qui reste valide aujourd’hui, 3) les pays doivent se battre pour
défendre leurs intérêts, dans des limites qui excèdent leurs frontières
géographiques. Si l’Angleterre s’allie aux Etats-Unis, leur alliance
devra combattre où leurs intérêts seront menacés. Comment faire pour
empêcher le pays-cible de se révolter (subversion & insurrection) ?
Kitson propose le peace-keeping (maintien de la paix),
appellation euphémisée de la contre-subversion. (1) Et à la lecture de
son exposé, il est plus qu’aisé de comprendre que ce livre soit quasi
introuvable.
Précisons
que la subversion, telle que définie par Roger Mucchielli, est une
pré-progagande ou sub-propagande, « action préparatoire ou concomitante
destinée uniquement à déconsidérer le pouvoir et à détacher de lui ceux
qui auraient eu l'intention de le défendre en cas de péril. » (2)
Intrinsèquement désymbolisante, elle cherche à détruire la Loi sous de
faux prétextes, pour ensuite faire appel à d'autres valeurs au moyen de
la propagande. La nouvelle configuration – asymétrique – du conflit
détonne d'avec la guerre traditionnelle. Elle constitue désormais (« modern warfare ») un enclenchement (interlocking)
d'actions dans les domaines politique, économique, psychologique et
militaire. Déstabilisatrice, il s'agit d'une guerre de contournement
destinée à atteindre l'objectif principal. Pour cela, les scénarios
possibles doivent être anticipés, et il faut avant tout connaître les
facteurs propices au déclenchement de la subversion et de
l'insurrection, au nombre de trois : 1) changement de l'attitude des
peuples envers l'autorité, 2) développement des techniques d'influence
sur la pensée et les actions des hommes (littérature, télévision, avec
diffusion de photos pour influencer l'opinion etc.), 3) limitation
imposée dans les formes de conflit par la dissuasion nucléaire. Ce
dernier principe est déterminant. La guerre a changé de nature. Roger
Mucchielli précisait qu'auparavant, la guerre psychologique était
l'auxiliaire de la guerre armée. Désormais, les rapports se sont
inversés. La paix, note-t-il, n'est d'ailleurs qu'une appellation de la
guerre psychologique, omniprésente même dans les pays alliés, et dont le
but est la menée d'une guerre économique. De manière plus actuelle,
Kitson nous permet de comprendre comment le mondialisme organise la
contre-insurrection quand des patriotes s’insurgent contre l’ingérence
de pays étrangers dans leurs affaires. Au cas où des naïfs penseraient
encore que le false flag relève du délire…
Plusieurs
traits saillants émergent de la doctrine Kitson. Les agents de
subversion doivent endoctriner et organiser le peuple (après une
désorganisation préalable de sa structure sociale – tribaliser pour
détruire). Si une cause n'existe pas, il faudra l'inventer (faux-débats
style théorie du genre, faux-problèmes, etc.). Si elle existe mais
n'attire pas assez, il faudra la modifier en conséquence. Et si une
« bonne » cause existe mais a perdu de son attrait, il faudra la
revivifier. Territoire et population doivent être maillés et infiltrés
pour être subvertis. Kitson propose de créer un pseudo-gang (counter-gang)
et de l'entretenir par des soutiens locaux, afin de lui faire infiltrer
un véritable groupe ennemi – avec une histoire suffisamment crédible
(selon l’illustration proposée par Kitson – voir diagramme de Kitson en
annexe au bas de cette chronique –, dans des organisations subversives
secrètes, nous trouvons des membres des corps politique, financier,
propagandiste et enfin militaire). Pour précision, ce groupe ennemi peut
être par exemple un gouvernement non-aligné, ou une association, disons
Soros-sceptique. Mais la manière d'organiser la contre-subversion est
aussi importante que l'opération elle-même. Il faut par exemple
introduire un élément allié, tel un ambassadeur – voir le projet Rivkin
(3) – pour s'assurer de la direction d'une politique conforme aux
intérêts alliés. Les hommes-liges doivent être introduits dans les
postes-clés pour agir sur la direction du pays en amont. En conséquence,
l'usage de la force doit être restreint, qui plus est pour limiter la
mauvaise image répercutée dans l’opinion mondiale, et les agents
parvenus se doivent de réaliser les concessions promises pour ne pas
être accusés de mauvaise foi.
Le
gouvernement colonial (allez disons sous contrôle Bilderbergo/Round
Tablo/Commission Trilatéralo/Sièclo/Sionisto/Maçonnique) doit organiser
sa propre propagande pour saper les fondements de la subversion qui
s'oppose à lui. Ce procédé doit s’effectuer en trois temps : 1)
Evaluations et appréciations doivent être faits par des hommes entraînés
qui rapporteront leurs informations au gouvernement à divers niveaux
pour la mise en place d’une politique adaptée, 2) cette politique
prendra une forme spécifique via des media de
propagande tels les films, émissions, articles de journaux, prospectus,
etc., 3) cette propagande devra être diffusée grâce à tous les moyens
techniques disponibles. Les agents d'influence créeront une réalité à
laquelle ils feront adhérer le peuple, au moyen d’opérations
psychologiques (ou psy-ops). En effet, Kitson note que les
guerres subversives et insurrectionnelles se jouent en dernier ressort
dans l’esprit des gens. On comprend mieux le rôle primordial joué par
les media en tant que caisse de résonnance de la subversion
pratiquée par l’Etranger. Par la désinformation (notamment l’image) et
une habile ingénierie des perceptions, ces media de masse
peuvent conditionner le peuple pour lui inculquer des idées subversives
et s’en servir à point nommé (cf. le « choc des civilisations » ou la
peur de l’extrême-droâââte). Sur le plan cognitif, il suffit de penser à
l’hypothèse Sapir-Whorf sur l’interconnexion entre langage et pensée,
l’un et l’autre se conditionnant mutuellement dans une cybernétique (la
causalité circulaire stimulus-réponse). On obtient des glissements
sémantiques novlangue où contre-insurrection et contre-subversion sont
rebaptisées « défense intérieure et développement », tandis que le
rétablissement de l’ordre est appelé opération de stabilisation. En
outre, Kitson regrette que les gens écrivent rarement à propos de leurs
mécontentements car il serait alors possible d’anticiper sur les menaces
subversives. On comprend dès lors depuis plusieurs années l’explosion
de la propagande en faveur des réseaux sociaux et des diverses formes de
storytelling (4), afin de tenter de réduire progressivement
l’incertitude à zéro dans les procédés d’essais-et-erreurs de
l’ingénierie sociale.
Des
éléments autochtones (collabos) doivent par ailleurs être incorporés,
recrutés car ils limitent la marge d'erreurs, étant natifs du pays et
intégrés dans la culture locale. Kitson rappelle que l’utilisation
d’étrangers durant l’épreuve de force en Malaisie fut en effet peu
concluante. De préférence, ces autochtones doivent être jeunes (car plus
malléables). Ils aideront à proposer une forme de propagande efficace
pour agir contre l'ennemi. Ils aideront également à identifier les
agents réellement subversifs (le rôle délateur des sacs à merde
gauchistes), ce qui facilitera leur élimination, tandis que les
subversifs (prioritairement) non agressifs seront cooptés / corrompus
par le gouvernement et se feront ainsi les hérauts de la cause du colon,
à l’instar du virus nécessaire au vaccin. En complément, Kitson promeut
un dernier élément contributif de l’armée : la contre-organisation, où
le gouvernement contrôle le peuple pour empêcher la subversion (la
dissidence donc) de le faire, une démarche qui doit passer plus par
l’action que par la propagande. Là où Kitson rappelle que le contrôle de
la population algérienne s’est fait par l’armée française par
l’introduction de cartes d’identité ou le marquage du bétail, nous avons
droit aujourd’hui aux passeports biométriques et aux puces RFID, ou
dans un autre style à l’instauration de luttes horizontales et au
soutien du pouvoir aux erreurs génétiques que sont les racailles.
En
dernier lieu, la pacification peut se pratiquer par divers moyens
d'influence et de pression. Le contrôle de l'information en fait partie,
en s'assurant des amitiés et sujétions au sein des divers organes de
presse. La pression économique est elle aussi un moyen de subversion
(une certaine loi de 1973 ?). Dans les divers domaines, des
organisations séparées sont utilisées pour opérer à différents niveaux
de ce type G4G de la campagne militaire. Le tout sans oublier, bien
entendu, de former l'ensemble du corps militaire aux opérations
psychologiques pour les appliquer au moment opportun… (5)
Au-delà de Low intensity operations,
Michel Collon offre des éléments complémentaires qui parsèment les
autres écrits de Kitson, non traduits en français eux non plus. Kitson
est considéré comme le théoricien des attentats sous fausse bannière ou
faux drapeau, dits false flags. Il s'agit de commettre un
attentat terroriste, ou un massacre, ou toute autre action, qui sera
attribué à l'ennemi afin non seulement de le discréditer aux yeux de
l'opinion internationale mais également de légitimer une intervention et
ainsi l'invasion d'un pays stratégiquement précieux. Ces false flags
serviront de justificatif à une stratégie de la tension qui donnera au
pouvoir les arguments légitimes pour se montrer répressif. Ceci entre
dans une stratégie de la diversion comme la fabrication, poursuit
Collon, d'une guerre de religions, et que le général Francart qualifie
de « création d'incidents » : « créer une diversion, diviser une
coalition, entraîner la confusion entre les unités d'un même camp,
etc. » (6) De faux documents, de type propagande noire, pourront être
fabriqués pour servir les vues du gouvernement. La démocratie, explique
Francart, doit entretenir le consensus sur le « sens significatif » (les
faits) pour légitimer l'action entreprise et assurer la conviction du
sujet collectif. La musique devra servir à attirer les jeunes avec un
message faussement dépolitisé. Enfin, point qui apparaît le plus
important à Michel Collon, Kitson promeut la mise en place et la
popularisation de faux mouvements « spontanés », « présentés comme
neutres et indépendants, en réalité financés et téléguidés afin de
diviser et affaiblir le soutien au camp adverse. » (7) Cette méthode
reste la plus actuelle dans les stratégies de déstabilisation d'un pays
adverse. La pragmatique anglo-saxonne applique la propagande aussi bien
aux pays amis qu'ennemis et cela même en temps de paix, précise
Francart. Quant aux États-Unis seuls, révèle Didier Lucas dans La guerre cognitive,
le Pentagone créa en novembre 2001 le Bureau d'influence stratégique,
qui autorise la manipulation, la propagande et les opérations sous
couverture dans les pays amis comme ennemis. La désinformation à l'égard
des agences de presse y est encouragée (Reuters, AFP). Et si le bureau a
été fermé parce que l'opération a été révélée au public, rien n'est
cependant remis en cause dans ses fondements par l'administration
américaine. (8)
Concluons en notant qu'au vu des allégeances des membres de notre gouvernement (9), le changement, ce n'est pas maintenant.
Notes :
(1) Le peace-keeping selon Kitson : « preventing by non-warlike methods, one group of people from fighting another group of people. », p.4.
(2) La subversion et l’insurrection selon Kitson : « Subversion,
then, will be held to mean an illegal measures short of the use of
armed force taken by one section of the people of a country to overthrow
those governing the country at the time, or to force them to do things
which they do not want to do. It can involve the use of political and
economic pressure, strikes, protest marches, and propaganda, and can
also include the use of small-scale violence for the purpose of coercing
recalcitrant members of the population into giving support. Insurgency
will be held to cover the use of armed force by a section of the people
against the government for the purposes mentioned above. », p.3.
Le
général précise que les deux peuvent se dérouler en même temps et être
soutenus par des pays étrangers (cf. les psy-op contre la Serbie,
l’Irak, la Libye, la Syrie, l’Iran, l’Ossétie du Nord, etc.). Selon
Kitson, l’échec de la subversion entraîne un glissement vers
l’insurrection.
(3) Pour rappel : http://www.defrancisation.com/le-projet-rivkin-comment-la-mondialisation-utilise-le-multiculturalisme-pour-assujettir-des-nations-souveraines/
(4) Le lecteur peut se reporter à Storytelling, de Christian Salmon. Egalement, le reportage tiré de son livre : Orliange (Anthony) & Salmon (Christian), Storytelling. La machine à raconter les histoires, 2009. Documentaire visible (trois vidéos) sur http://www.notre-ecole.net/le-storytelling-ou-lart-de-raconter-les-histoires/
(5)
Certes, concède Kitson, les opérations psychologiques représentent un
danger pour la liberté, mais moindre comparé à la subversion et à
l’insurrection d’une population. Ou comment justifier hypocritement
l’état d’exception, Batman-CIA et Jack Bauer contre chaque Bane qui
sommeille en nous.
(6) Francart (Loup), La guerre du sens. Pourquoi et comment agir dans les champs psychologiques, p.286.
(7) Collon (Michel), « Comment la CIA mène la « guerre psychologique » », http://www.michelcollon.info/Comment-la-CIA-mene-la-034-guerre.html,
6 mars 2008. Le lecteur peut également se reporter aux articles
« Actualité des stratégies de manipulation de Gregory Bateson, ancien
agent de l'OSS », Horizons et débats n°35, http://www.horizons-et-debats.ch/index.php?id=2317,
13 septembre 2010 et Price (David H.), « Gregory Bateson et l'OSS : la
Seconde Guerre mondiale et le jugement que portait Bateson sur
l'anthropologie appliquée », Horizons et Débats n°35, http://www.horizons-et-debats.ch/index.php?id=2316, 13 septembre 2010.
(8) La guerre cognitive, pp.236-237.
***
Annexe : Diagramme de Kitson
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